[Event] APOCALYPSE

Imponite

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"Action fenêtre. Opacité à 15%."

Dans la nuit, une large baie optique se clarifie, comme se lèverait le rideau d'un théâtre d'ombres. Un bureau encombré, où se mêlent de lourds ouvrages et les restes de quelques repas frugaux. Un guéridon, où patiente le verre bombé d'un uracognac de caractère. Une silhouette roide, dans un uniforme impeccable. Un éclat solaire, cependant qu'elle lève un nez proéminent vers la voûte céleste.

Loin, en contrebas, s'installent les mangroves. Les gros flots ronronnants charrient la poussière des dernières ruines marranites. Héritage de la fange primordiale, les esprits luttent entre la fascination d'un spectacle rare, et la crainte de voir tomber le ciel. Un geste bref; le verre bombé est maintenant vide. A tir d'aile, un banc d'hermatodontes s'élève hors des toits et se perd à travers la nappe diaphane de l'eau, dans un pépiement entêtant.

"Action messagerie. Reprendre le brouillon. Je me barricade naturellement, à vrai dire. Et je n'ai, ce soir, rien de bien mieux à faire; le tout-Marran semble décidé à regarder tomber la pluie en prenant un air concerné."

A la lueur d'un luminaire rond, la silhouette élève un petit flacon de verre, où tinte un cristal carmin. Un silence qui se prolonge, le temps d'une projection mémorielle. Dans les rues engorgées, trois tentacules musculeux s'élèvent, et fouettent l'air avec rage. Un grondement tonne, difficilement couvert par la plainte stridente de l'acier rompu et du béton éventré. Un éclair ardent, une vague de chaleur infernale, le spectre poussiéreux d'un champignon qui s'élève, et la douleur.

"Action messagerie. Envoyer."

Un geste bref. Le verre bombé n'est plus vide. Les rue sont calmes. Trois nouveaux-nés célèbrent la vie, nus, détrempés. Ils se pressent contre les flanc d'une large carcasse métallique. Ils s'embrassent. Derrière la baie optique, quelqu'un les suit du regard, immobile. Quelqu'un jalouse la vitalité perdue. La pluie les emporte plus loin, hilares. Un geste bref. Le verre bombé est vide. Un geste bref. Le verre bombé n'est plus vide.

"Action fenêtre. Opacité à 100%."

[taille=2][c=noir][b]"Action fenêtre. Opacité à 15%."[/b]

Dans la nuit, une large baie optique se clarifie, comme se lèverait le rideau d'un théâtre d'ombres. Un bureau encombré, où se mêlent de lourds ouvrages et les restes de quelques repas frugaux. Un guéridon, où patiente le verre bombé d'un uracognac de caractère. Une silhouette roide, dans un uniforme impeccable. Un éclat solaire, cependant qu'elle lève un nez proéminent vers la voûte céleste.

Loin, en contrebas, s'installent les mangroves. Les gros flots ronronnants charrient la poussière des dernières ruines marranites. Héritage de la fange primordiale, les esprits luttent entre la fascination d'un spectacle rare, et la crainte de voir tomber le ciel. Un geste bref; le verre bombé est maintenant vide. A tir d'aile, un banc d'hermatodontes s'élève hors des toits et se perd à travers la nappe diaphane de l'eau, dans un pépiement entêtant.

[b]"Action messagerie. Reprendre le brouillon. Je me barricade naturellement, à vrai dire. Et je n'ai, ce soir, rien de bien mieux à faire; le tout-Marran semble décidé à regarder tomber la pluie en prenant un air concerné."[/b]

A la lueur d'un luminaire rond, la silhouette élève un petit flacon de verre, où tinte un cristal carmin. Un silence qui se prolonge, le temps d'une projection mémorielle. Dans les rues engorgées, trois tentacules musculeux s'élèvent, et fouettent l'air avec rage. Un grondement tonne, difficilement couvert par la plainte stridente de l'acier rompu et du béton éventré. Un éclair ardent, une vague de chaleur infernale, le spectre poussiéreux d'un champignon qui s'élève, et la douleur.

[b]"Action messagerie. Envoyer."[/b]

Un geste bref. Le verre bombé n'est plus vide. Les rue sont calmes. Trois nouveaux-nés célèbrent la vie, nus, détrempés. Ils se pressent contre les flanc d'une large carcasse métallique. Ils s'embrassent. Derrière la baie optique, quelqu'un les suit du regard, immobile. Quelqu'un jalouse la vitalité perdue. La pluie les emporte plus loin, hilares. Un geste bref. Le verre bombé est vide. Un geste bref. Le verre bombé n'est plus vide.

[b]"Action fenêtre. Opacité à 100%."[/b][/c][/taille]

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Rat de laborato.

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Cela devait maintenant faire trois quatre jours que la volatile s'était terrée sous ses deux couvertures dans son large lit deux places de sa grande villa. Peut-être son corps avait-il senti les intempéries avant le cycle ou peut être était ce le hasard, mais cela faisait maintenant un bout de temps qu'elle se sentait faible. Très faible. A vrai dire, tout son petit être tremblait et la faim l'avait quitté. Rien n'avait pu troubler son sommeil de plomb si ce n'est un grondement sourd au loin ainsi qu'un tappotement continu sur la baie vitrée du balcon transversal, celui qui reliait sa chambre au gros salon.

Et ce tappotement qui lui fit ouvrir un oeil vitreux n'était autre que les caprices du temps, au dehors. Ne pouvant le refermer, cet oeil, elle se traina alors à cette fenêtre longiligne, emmitoufflée dans une de ses couvertures. Sur le carreau glissait autant de goutte d'eau que de sueur avait perlé sur ses plumes.

Le petit visage aviaire, renfrogné, scruta alors au loin d'un regard de warpé tandis qu'un grommellement inintéligible passa la barrière de son bec. Quelque chose se rapprochant sûrement d'un "Vie de merde" sans doute.

[I]Cela devait maintenant faire trois quatre jours que la volatile s'était terrée sous ses deux couvertures dans son large lit deux places de sa grande villa. Peut-être son corps avait-il senti les intempéries avant le cycle ou peut être était ce le hasard, mais cela faisait maintenant un bout de temps qu'elle se sentait faible. Très faible. A vrai dire, tout son petit être tremblait et la faim l'avait quitté. Rien n'avait pu troubler son sommeil de plomb si ce n'est un grondement sourd au loin ainsi qu'un tappotement continu sur la baie vitrée du balcon transversal, celui qui reliait sa chambre au gros salon. [/I]

[I]Et ce tappotement qui lui fit ouvrir un oeil vitreux n'était autre que les caprices du temps, au dehors. Ne pouvant le refermer, cet oeil, elle se traina alors à cette fenêtre longiligne, emmitoufflée dans une de ses couvertures. Sur le carreau glissait autant de goutte d'eau que de sueur avait perlé sur ses plumes.[/I]

[I]Le petit visage aviaire, renfrogné, scruta alors au loin d'un regard de warpé tandis qu'un grommellement inintéligible passa la barrière de son bec. Quelque chose se rapprochant sûrement d'un "Vie de merde" sans doute. [/I]

Défenseur

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Singulière soirée...

Tout avait commencé la veille au soir.
Attends, j'gère un truc, là..!
Il sentait bien que quelque chose se passait, quelque chose dont elle ne pouvait parler, du moins pas de suite. Quelques temps plus tard, il aurait la réponse, avec cet avis, lancé sur l'AITL, presque dans l'indifférence.

"D'ici 24 CH, et pour une durée allant de 48 à 120 cycles, le secteur sera soumis à de fortes précipitations."

Ils en parlèrent, même si évoquer un évènement dont on ne savait rien, ou pas grand chose, ne servait pas à grand chose

Le lendemain, finalement, la vie avait repris son cours, presque normalement, le smog semblait le même que d'habitude. Glane, fouille, et autres joyeusetés.
Les choses s'accélereraient, finalement, la fin d'après-midi arrivée

Faute d'informations suffisantes sur ce qu'il nous attend avec certitude, il est demandé à la population de faire acte de prudence. Réduisez vos déplacements. Le risque élevé de pluies acides et radioactives étant présent, nous demandons à chacun de se protéger en conséquence.

Et la pluie, tant redoutée, finit par arriver, d'abord rien ne semblait différent, puis elle prit de la force, devenant battante par moments, dessinant de multiples ruisseaux sur les vitres de la maison, qui dominait le quartier comme à son habitude.

Singulière soirée, dans cette maison, devenue soudain vide. Elle finit par le rejoindre, un peu désabusée, enveloppée de silence, comme ces jours où vos vieux démons sont partis à votre chasse et sur le point de vous rattraper. Pluie, rime avec mélancolie.
Soudain, elle prit la bouteille, sa main... Viens!

A travers la pluie qui trempait leurs combinaisons, rendait floue les contours des habitations à travers leurs masques sortis pour l'occasion, il la suivit.
Tout était nouveau. L'endroit dans lequel il pénétrait était chargé de passé, d'un passé lourd, et fort. Et la pluie, qui tombait et tombait encore. Une pluie qui rimait toujours avec mélancolie, voire aussi peut être nostalgie?
Faillait-il parler, fallait-il se taire? Affirmer le présent, sans nier tout ce qui avait existé? Il écoutait, entre deux gorgées, habité de sentiments, partagés, pas forcément nouveaux, mais qu'il avait volontiers feint d'oublier.
La pluie tombe encore, la vitre de ce lieu inédit dans sa vie, est maculée de gouttes qui dansent, éclairant la pièce chargée de souvenirs qui ne lui appartiennent pas, qu'il découvre, et qu'il vit au présent.

Le silence, à nouveau se fit, qu'il respecte comme un temps de recueillement à la domus.

Faut qu'on y aille non?
Presque surpris, il opine, et pluie finit par rimer avec mili. Concert improvisé, qu'il goutera encore avec délectation, comme à chaque fois, fatigue, silence et attente de savoir tout ce que ces flots qui courent dans les rues, changera, ou pas, à leur vie Dreadcastienne.

Singulière soirée, décidément. Revenus dans la maison, les lumières de la ville jouent entre les gouttes ruisselantes des vitres de la chambre. Yeux fermés, à pas d'heure, devisant sur eux-même, comme si la pluie ruisselait aussi au plus profond de leur être pour, une fois de plus, s'ouvrir l'un à l'autre en toute sincérité

Je t'aime fort..
T'aime.

Singulière nuit, partagée de tant d'émotions, étrange journée, dans le fond.
Et alors que le jour se lève et que la pluie est toujours là, il ne bouge pas, regarde à travers la fenêtre, ce secteur humide, se demandant ce que cette nouvelle journée pourra encore leur réserver.

[taille=3]
[centrer][img=https://i.ibb.co/DLG5bCN/image-2021-01-24-102807.png] 
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Singulière soirée...

Tout avait commencé la veille au soir.
[b][i]Attends, j'gère un truc, là..![/i][/b]
Il sentait bien que quelque chose se passait, quelque chose dont elle ne pouvait parler, du moins pas de suite. Quelques temps plus tard, il aurait la réponse, avec cet avis, lancé sur l'AITL, presque dans l'indifférence.

[quote]"D'ici 24 CH, et pour une durée allant de 48 à 120 cycles, le secteur sera soumis à de fortes précipitations."[/quote]

Ils en parlèrent, même si évoquer un évènement dont on ne savait rien, ou pas grand chose, ne servait pas à grand chose

Le lendemain, finalement, la vie avait repris son cours, presque normalement, le smog semblait le même que d'habitude. Glane, fouille, et autres joyeusetés.
Les choses s'accélereraient, finalement, la fin d'après-midi arrivée

[quote]Faute d'informations suffisantes sur ce qu'il nous attend avec certitude, il est demandé à la population de faire acte de prudence. Réduisez vos déplacements. Le risque élevé de pluies acides et radioactives étant présent, nous demandons à chacun de se protéger en conséquence.[/quote]

Et la pluie, tant redoutée, finit par arriver, d'abord rien ne semblait différent, puis elle prit de la force, devenant battante par moments, dessinant de multiples ruisseaux sur les vitres de la maison, qui dominait le quartier comme à son habitude.

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Singulière soirée, dans cette maison, devenue soudain vide. Elle finit par le rejoindre, un peu désabusée, enveloppée de silence, comme ces jours où vos vieux démons sont partis à votre chasse et sur le point de vous rattraper. Pluie, rime avec mélancolie.
Soudain, elle prit la bouteille, sa main... [b][i]Viens![/i][/b]

A travers la pluie qui trempait leurs combinaisons, rendait floue les contours des habitations à travers leurs masques sortis pour l'occasion, il la suivit. 
Tout était nouveau. L'endroit dans lequel il pénétrait était chargé de passé, d'un passé lourd, et fort. Et la pluie, qui tombait et tombait encore. Une pluie qui rimait toujours avec mélancolie, voire aussi peut être nostalgie?
Faillait-il parler, fallait-il se taire? Affirmer le présent, sans nier tout ce qui avait existé? Il écoutait, entre deux gorgées, habité de sentiments, partagés, pas forcément nouveaux, mais qu'il avait volontiers feint d'oublier. 
La pluie tombe encore, la vitre de ce lieu inédit dans sa vie, est maculée de gouttes qui dansent, éclairant la pièce chargée de souvenirs qui ne lui appartiennent pas, qu'il découvre, et qu'il vit au présent.

Le silence, à nouveau se fit, qu'il respecte comme un temps de recueillement à la domus.

[b][i]Faut qu'on y aille non?[/i][/b]
Presque surpris, il opine, et pluie finit par rimer avec mili. Concert improvisé, qu'il goutera encore avec délectation, comme à chaque fois, fatigue, silence et attente de savoir tout ce que ces flots qui courent dans les rues, changera, ou pas, à leur vie Dreadcastienne.

Singulière soirée, décidément. Revenus dans la maison, les lumières de la ville jouent entre les gouttes ruisselantes des vitres de la chambre. Yeux fermés, à pas d'heure, devisant sur eux-même, comme si la pluie ruisselait aussi au plus profond de leur être pour, une fois de plus, s'ouvrir l'un à l'autre en toute sincérité

[b]Je t'aime fort..[/b]
[b][i]T'aime.
[/i][/b]
Singulière nuit, partagée de tant d'émotions, étrange journée, dans le fond.
Et alors que le jour se lève et que la pluie est toujours là, il ne bouge pas, regarde à travers la fenêtre, ce secteur humide, se demandant ce que cette nouvelle journée pourra encore leur réserver.

[centrer][img=https://i.ibb.co/DLG5bCN/image-2021-01-24-102807.png] 
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SOLARA

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Après une harassante journée de travail, la brune quitta son atelier escortée par son mâle pour rentrer se mettre à l'abris du déluge.
Bien sur, ils avaient pris toutes les précautions avant de sortir, en s'équipant de vêtements stylés et adaptés sans oublier leur Parapluie clouté...

• L’excellence n’est pas un acte mais une habitude •
"Honestas ante honores."
"L'honnêteté avant la gloire."

Klendatus

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Comme tout le monde, l'outrilien avait lu l'alerte, celle-ci diffusée un peu partout pour informer au maximum la population rebelle. En situation normale il serait sans doute allé aider autant que possible sécuriser les sites à risques mais, la volonté et le courage ne sont pas au rendez-vous.
Son petit monde à lui s'étant écroulé, pour l'heure, il se fichait bien de mourir noyé et il laisse les rebelles faire le travail commun sans lui.

Quelques messages envoyés, par ci, par là. Il ne peut s'empêcher de la recontacter encore pour s'assurer qu'elle va bien. Evidemment que non, mais comme toujours, elle est déterminée à s'en sortir seule.
Il sait qu'il doit lâcher prise, et pourtant, il continue à s'accrocher. Encore. L'amour et la raison se mélangent dans sa tête, déchirant son âme comme jamais auparavant. Il aurait mile fois préféré être torturé physiquement que vivre cela.

Tard dans la soirée après quelques escarmouches en souterrain pour se changer les idées, il revient au Pinatubo, seul point de repère et de possible réconfort. Il passerait cet évènement météorologique principalement ici, à veiller sur l'établissement et ceux qui y serait, un des derniers repères de son monde.
La pluie ne semblait pas vouloir s'arrêter, comme si elle pleurait pour lui.

"Le temps est décidément sorti de ma tête, espérons qu'il ne sorte pas de la sienne.." se dit-il..

[i][couleur=noir]Comme tout le monde, l'outrilien avait lu l'alerte, celle-ci diffusée un peu partout pour informer au maximum la population rebelle. En situation normale il serait sans doute allé aider autant que possible sécuriser les sites à risques mais, la volonté et le courage ne sont pas au rendez-vous.
Son petit monde à lui s'étant écroulé, pour l'heure, il se fichait bien de mourir noyé et il laisse les rebelles faire le travail commun sans lui.

Quelques messages envoyés, par ci, par là. Il ne peut s'empêcher de la recontacter encore pour s'assurer qu'elle va bien. Evidemment que non, mais comme toujours, elle est déterminée à s'en sortir seule.
Il sait qu'il doit lâcher prise, et pourtant, il continue à s'accrocher. Encore. L'amour et la raison se mélangent dans sa tête, déchirant son âme comme jamais auparavant. Il aurait mile fois préféré être torturé physiquement que vivre cela.

Tard dans la soirée après quelques escarmouches en souterrain pour se changer les idées, il revient au Pinatubo, seul point de repère et de possible réconfort. Il passerait cet évènement météorologique principalement ici, à veiller sur l'établissement et ceux qui y serait, un des derniers repères de son monde.
La pluie ne semblait pas vouloir s'arrêter, comme si elle pleurait pour lui.

"[b]Le temps est décidément sorti de ma tête, espérons qu'il ne sorte pas de la sienne..[/b]" se dit-il..[/couleur][/i]

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Le Roi des Rois

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Quelque part en Secteur Impérial, le Kobold amélioré arpente les rues sous la pluie battante, il semble curieux et surpris.

Ils sont passé ou tout ces connards ? On dirait qu'ils se sont tous passé le mot que le Roi était de sortis.
Ils sont bien mignon mais moi j'ai besoin de bosser, aller bande de tocard sortez de vos poches que je puisse remplir les miennes !

Après deux heures de marches sous les torrents d'eaux qui s'abattent sur toute la ville, voila que le Roi se décide à rentrer chez lui.
Face à son squat qu'il a bâtis sous les débris d'un vieil immeuble abandonné, un mauvais pressentiment lui attrape les tripes.
Il n'y a avait même pas encore pensé que son flair animal le met en alerte et le voilà donc accourir à toute vitesse sous les décombres en criant.

MA DROGUE ! MES CHAMPI ! MES STOCKS ! PUTIN DE FLOTTE !

Dans une course effréné il saute d'escalier à rambarde d'une agilité déconcertante après tout il connaît le lieu comme sa poche, mais plus il s'enfonce sous terre et plus le niveau de l'eau augmente.
Le voilà face à une immense porte blindée de l'eau jusqu'au niveau de son cou. Il tente tout de même d'attraper l'écoutille qui maintiens la porte fermé semble mais qui semble bloqué par la pression de l'eau qui s'est accumulé dans la pièce.

L'eau continue de s'acculer devant la porte et en réalité il ne lui reste plus beaucoup de temps avant de se prendre sa première cuve "noyé" de sa vie.
Il finit par lâché une larme qui se mêle a la grande étendu d'eau et commença à faire marche arrière vers la surface désormais trop concentré pour ne pas cuver.

Dans le Sud du Secteur Impérial, assied dans la boue laissant la pluie le recouvrir il souffle un long soupire suivie d'un.

Qu'elle putin de journée de merde.

[i]Quelque part en Secteur Impérial, le Kobold amélioré arpente les rues sous la pluie battante, il semble curieux et surpris.[/i]

Ils sont passé ou tout ces connards ? On dirait qu'ils se sont tous passé le mot que le Roi était de sortis. 
Ils sont bien mignon mais moi j'ai besoin de bosser, aller bande de tocard sortez de vos poches que je puisse remplir les miennes !

[i]Après deux heures de marches sous les torrents d'eaux qui s'abattent sur toute la ville, voila que le Roi se décide à rentrer chez lui. 
 Face à son squat qu'il a bâtis sous les débris d'un vieil immeuble abandonné, un mauvais pressentiment lui attrape les tripes. 
Il n'y a avait même pas encore pensé que son flair animal le met en alerte et le voilà donc accourir à toute vitesse sous les décombres en criant. [/i]

MA DROGUE ! MES CHAMPI ! MES STOCKS ! PUTIN DE FLOTTE !

[i]Dans une course effréné il saute d'escalier à rambarde d'une agilité déconcertante après tout il connaît le lieu comme sa poche, mais plus il s'enfonce sous terre et plus le niveau de l'eau augmente. 
Le voilà face à une immense porte blindée de l'eau jusqu'au niveau de son cou. Il tente tout de même d'attraper l'écoutille qui maintiens la porte fermé semble mais qui semble bloqué par la pression de l'eau qui s'est accumulé dans la pièce.

L'eau continue de s'acculer devant la porte et en réalité il ne lui reste plus beaucoup de temps avant de se prendre sa première cuve "noyé" de sa vie. 
Il finit par lâché une larme qui se mêle a la grande étendu d'eau et commença à faire marche arrière vers la surface désormais trop concentré pour ne pas cuver.

Dans le Sud du Secteur Impérial, assied dans la boue laissant la pluie le recouvrir il souffle un long soupire suivie d'un. [/i]

Qu'elle putin de journée de merde.

Le communicateur du blond se met à biper. Il inspire longuement, lui qui était déjà bien assez occupé, à mettre en place des projets en lien avec son Pôle. Son regard vague quelques instants sur le nom du message, « [PS] Terra Formation H20] ». Rien de bien alarmant se disait-il, même s'il provenait du Chef de Pôle Scientifique, directement. Il s'applique ensuite à lire le message.

« Salut,

Voici une pop'up reçu au AA, qu'en pensez vous :

"Attention, module Terra entre en phase génération H2O dans 24H, forte précipitation a prévoir. Duré de la phase 48 à 120H." »

C'est super ! Il allait pleuvoir. Enfin, qu'est ce qu'il y avait de bien alarmant ? La Cité avait été construite pour supporter la terraformation, ce n'est pas elle qui mettra en danger.

Les ajouts s'effectuent, et ils passèrent rapidement du Triumvirat des Pôles, à l'entièreté du gouvernement rebelle. Les idées fusent dans tous les sens, la peur se fait bel et bien ressentir.

Il s'habille, se coiffe et rejoint rapidement les Archives Abandonnés, proche d'un brun, observant ce qu'il fait. Un peu plus loin, le père du brun semblait là, après son retour du SI. Quelques plaisanteries, une discussion pas des plus intéressantes. Une seule phrase à retenir :

« T'as bien conscience, gamin, que c'est toi qui va devoir gérer tout ce bordel? »

Il esquisse un fin sourire. Pauvre petit brun qui allait devoir gérer une crise presque planétaire. Pour une fois que ce n'était pas l'Elfe qui devait le faire...! Après quelques salutations, ce même blond repart vaquer à ses occupations. Ils avaient encore vingt quatre heures avant de devoir trouver un nouveau Noé pour les sauver, de toute façon.

Et puis, il ne pouvait rien faire de plus que laisser les foutus scientifiques décider de ce qu'ils pourraient faire. Puis, ces scientifiques-là, qu'est-ce qu'ils sont chiants. Ils parlent pendant 30 années, pour au finalement ne rien faire, parce qu'ils ne sont pas d'accord.

Mais bon. On a bien besoin d'eux, ce n'est pas avec des azmats qu'il risque de sauver le secteur, si celui-ci est en danger.

Et même le lendemain, tout le monde s'affolait. Le monde semblait s'écrouler autour d'eux pour une simple pluie. Il hausse une épaule, allant directement chercher le chef des opérations.

« Et si y a des catastrophes, que c'est la merde, et que c'est mal organisé, ça va tomber sur qui d'après vous? Les nuages? Non, sur vous, les CDP, et les LR... »

Mh. Ça l'aura fait réfléchir, sûrement. C'est vrai qu'il vaut mieux être très préventif et ne pas être en danger, que l'inverse.

L'Enfant de Lance se redresse. Il lui aura tout se même fallu quelques dizaines d'heures avant de réellement se mettre dans le plat. Puis, il le fallait. Pour la Rébellion, pour le pauvre petit brun qui allait sûrement finir par se suicider.

« Vous êtes ok pour faire parti de l'équipe d'intervention ? »

Vous savez ? En réalité, le pire, c'était le mieux pour eux. Ils pourraient peut-être enfin se confronter à autre chose que des apprivoisés. L'adrénaline en face d'un illuminé, et d'une créature qui veut vous broyer, ce n'est décidément pas la même. Enfin, il espère.

Avec un peu de chances, les derniers retranchés dans l'idée que la menace provient des marranites comprendront qu'il existe bien plus dangereux que 30 débiles avec un agrimensor, ou même juste des fusils lasers, qui reviendront après une heure cinquante huit de cuve.

Pour l'instant, ce n'était que de la pluie. Mais tout pouvait arriver. Ils s'attendaient au pire.

[quote][centrer][couleur=0b2161] Le communicateur du blond se met à biper. Il inspire longuement, lui qui était déjà bien assez occupé, à mettre en place des projets en lien avec son Pôle. Son regard vague quelques instants sur le nom du message,  « [PS] Terra Formation H20]  ». Rien de bien alarmant se disait-il, même s'il provenait du Chef de Pôle Scientifique, directement. Il s'applique ensuite à lire le message. [/couleur]

[c=vert] [b] « Salut,

Voici une pop'up reçu au AA, qu'en pensez vous :

"Attention, module Terra entre en phase génération H2O dans 24H, forte précipitation a prévoir. Duré de la phase 48 à 120H."  »[/c] [/b]

[c=0b2161] C'est super ! Il allait pleuvoir. Enfin, qu'est ce qu'il y avait de bien alarmant ? La Cité avait été construite pour supporter la terraformation, ce n'est pas elle qui mettra en danger.

Les ajouts s'effectuent, et ils passèrent rapidement du Triumvirat des Pôles, à l'entièreté du gouvernement rebelle. Les idées fusent dans tous les sens, la peur se fait bel et bien ressentir.

Il s'habille, se coiffe et rejoint rapidement les Archives Abandonnés, proche d'un brun, observant ce qu'il fait. Un peu plus loin, le père du brun semblait là, après son retour du SI. Quelques plaisanteries, une discussion pas des plus intéressantes. Une seule phrase à retenir :[/c]

[couleur=051572][b] « T'as bien conscience, gamin, que c'est toi qui va devoir gérer tout ce bordel?  »[/b] [/couleur] 
[c=0b2161]
Il esquisse un fin sourire. Pauvre petit brun qui allait devoir gérer une crise presque planétaire. Pour une fois que ce n'était pas l'Elfe qui devait le faire...! Après quelques salutations, ce même blond repart vaquer à ses occupations. Ils avaient encore vingt quatre heures avant de devoir trouver un nouveau Noé pour les sauver, de toute façon.

Et puis, il ne pouvait rien faire de plus que laisser les foutus scientifiques décider de ce qu'ils pourraient faire. Puis, ces scientifiques-là, qu'est-ce qu'ils sont chiants. Ils parlent pendant 30 années, pour au finalement ne rien faire, parce qu'ils ne sont pas d'accord.

Mais bon. On a bien besoin d'eux, ce n'est pas avec des azmats qu'il risque de sauver le secteur, si celui-ci est en danger.

Et même le lendemain, tout le monde s'affolait. Le monde semblait s'écrouler autour d'eux pour une simple pluie. Il hausse une épaule, allant directement chercher le chef des opérations.[/c]

[b] [c=noir]« Et si y a des catastrophes, que c'est la merde, et que c'est mal organisé, ça va tomber sur qui d'après vous? Les nuages? Non, sur vous, les CDP, et les LR...  »[/c][/b] 
[c=0b2161]
Mh. Ça l'aura fait réfléchir, sûrement. C'est vrai qu'il vaut mieux être très préventif et ne pas être en danger, que l'inverse.

L'Enfant de Lance se redresse. Il lui aura tout se même fallu quelques dizaines d'heures avant de réellement se mettre dans le plat. Puis, il le fallait. Pour la Rébellion, pour le pauvre petit brun qui allait sûrement finir par se suicider.

[b] « Vous êtes ok pour faire parti de l'équipe d'intervention ?  »[/b]

Vous savez ? En réalité, le pire, c'était le mieux pour eux. Ils pourraient peut-être enfin se confronter à autre chose que des apprivoisés. L'adrénaline en face d'un illuminé, et d'une créature qui veut vous broyer, ce n'est décidément pas la même. Enfin, il espère.

Avec un peu de chances, les derniers retranchés dans l'idée que la menace provient des marranites comprendront qu'il existe bien plus dangereux que 30 débiles avec un agrimensor, ou même juste des fusils lasers, qui reviendront après une heure cinquante huit de cuve.

[titre] Pour l'instant, ce n'était que de la pluie. Mais tout pouvait arriver. Ils s'attendaient au pire.[/titre][/c][/centrer][/quote]

Fantassin Lége.

Administrateur
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L'heure de l'Apocalypse aurait-elle enfin sonné ?
Le smog habituellement lourd s'est éclairci au cours des heures précédentes, et pour cause la pluie qui s'abat sur la Cité ne semble pas décidée à s'arrêter. Pire encore, elle s'intensifie.
Elle est partout, elle ruisselle, s'infiltre et stagne. Si les bouches d'égout tenaient le rythme, absorbant avec peine le flux quasi-indomptable qui se déversait des cieux, les heures auront eu raison de leur résistance. Plutôt que de la drainer, voilà qu'elles se mettent à la rejeter, dégueulant dans les rues une eau sombre qui ne tarde pas à envahir les trottoirs, les porches et même les taudis. Boue lourde et déchets innommables dévalent maintenant les avenues pour finir par s'entasser dans les cours et les espaces vides. Les systèmes d'urgence s'enclenchent et si les lumières des lieux de vie restent allumées, celles des lampadaires qui tentaient de percer le rideau opaque, lâchent une à une, plongeant les rues dans le noir. Au point que même se déplacer devient un véritable défi. Rien ni personne n'était prêt à subir ce qui s'abat sur la Cité.

Spoiler (Afficher)

[quote][centrer][i]L'heure de l'Apocalypse aurait-elle enfin sonné ?[/i][/centrer]
Le smog habituellement lourd s'est éclairci au cours des heures précédentes, et pour cause la pluie qui s'abat sur la Cité ne semble pas décidée à s'arrêter. Pire encore, elle s'intensifie.
Elle est partout, elle ruisselle, s'infiltre et stagne. Si les bouches d'égout tenaient le rythme, absorbant avec peine le flux quasi-indomptable qui se déversait des cieux, les heures auront eu raison de leur résistance. Plutôt que de la drainer, voilà qu'elles se mettent à la rejeter, dégueulant dans les rues une eau sombre qui ne tarde pas à envahir les trottoirs, les porches et même les taudis. Boue lourde et déchets innommables dévalent maintenant les avenues pour finir par s'entasser dans les cours et les espaces vides. Les systèmes d'urgence s'enclenchent et si les lumières des lieux de vie restent allumées, celles des lampadaires qui tentaient de percer le rideau opaque, lâchent une à une, plongeant les rues dans le noir. Au point que même se déplacer devient un véritable défi. Rien ni personne n'était prêt à subir ce qui s'abat sur la Cité.
[/quote]

[spoiler]Message également remis à la suite du premier poste, pensez à vérifier le premier post pour suivre les évolutions éventuels.[/spoiler]

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- 1/323.4 - 20:31

L'information s'arrache, de main en main, de bouche en bouche, des avalanches de regard parfois de trop près inquiet dévalent sur les écrans. Le Réseau est actif, les plus sombres théories s'envolent. Et pourtant dehors tout semble encore à peu près calme.

- A peine quelques heures plus tard...

Le déluge s'annonce, fracassant les taules et le bitume, à une fréquence nouvelle. Une mélodie d'ordinaire moins chaotique.
L'Elfe quitte la réunion de crise, après avoir éludé les problèmes d'ordre matériel, les discutions et les inquiétudes laissent place à la fascination d'une Cité au bord de l'Apocalypse diluvienne. Le duo Narrelheim se chamaille autour d'un bivouac improvisé sous le porche de l'Hydre. En faction sur le trottoir, ils pataugent dans ce qu'ils connaissent déjà trop. Fange alourdissant leurs semelles usées par d'autres Contrées tandis que des conserves alignées au sol récoltent à leur place le carburant de leurs entrailles. Les reflexes sont encore là.

Alors que la Rébellion, souffle à son tour de combativité, la pluie et les orages balayent le smog. Les colères s'abattent, la rage gronde. Un spectacle qui appelle à toutes les solidarités et audaces du moment.
La Blonde se décide à grimper aux premières loges, escaladant la carcasse d'une usine quasi abandonnée, pour en rejoindre les hauteurs. L'opération est délicate, la gouttière ripe à plusieurs reprises entre ses mains. Les appuis au mur s'effritent, la contraignent à repousser ses limites jusqu'à l'escalier extérieur de secours. Du haut du mirador improvisé, la Sentinelle Elfique veille sur les rues à portée d'Azures. Le rideau quasi rigide d'une pluie toujours trop acide, des artères bondées d'eau, des bouches qui en avalent des litres étouffées par des amas de déchets.

La purge commence.
Le secteur est traversé sur sa maigre superficie, par des pas et des attentes. Chaque Rebelle se donne une mission plutôt que de se contraindre à la peur ou l'ignorance.
La surveillance se poursuit dans les souterrains cette fois. La crainte n'est pas seulement de voir déborder cette Nature artificielle, mais aussi leurs prédateurs. L'instinct de survie résonne à leurs tempes. Mais hormis les odeurs putrides des galeries et leurs moirures, les territoires sont encore bien distincts. Les époux, finiront la nuit dans les rouages de leur Usine, participants aux derniers élans Rebelles de la soirée, sous l'onde martelant des moteurs et l'atmosphère humide.

N'auront-ils tous jamais autant dressés leur pupilles vers le Smog cette nuit là.

[quote][code]- 1/323.4 - 20:31 [/code]
[taille=2][couleur=noir][b]L[/b]'information s'arrache, de main en main, de bouche en bouche, des avalanches de regard parfois de trop près inquiet dévalent sur les écrans. Le Réseau est actif, les plus sombres théories s'envolent. Et pourtant dehors tout semble encore à peu près calme.[/taille][/couleur]

[code]- A peine quelques heures plus tard... [/code]
[taille=2][couleur=noir][b]L[/b]e déluge s'annonce, fracassant les taules et le bitume, à une fréquence nouvelle. Une mélodie d'ordinaire moins chaotique.
L'Elfe quitte la réunion de crise, après avoir éludé les problèmes d'ordre matériel, les discutions et les inquiétudes laissent place à la fascination d'une Cité au bord de l'Apocalypse diluvienne. Le duo Narrelheim se chamaille autour d'un bivouac improvisé sous le porche de l'Hydre. En faction sur le trottoir, ils pataugent dans ce qu'ils connaissent déjà trop. Fange alourdissant leurs semelles usées par d'autres Contrées tandis que des conserves alignées au sol récoltent à leur place le carburant de leurs entrailles. Les reflexes sont encore là.

[centrer]Alors que la Rébellion, souffle à son tour de combativité, la pluie et les orages balayent le smog. Les colères s'abattent, la rage gronde. Un spectacle qui appelle à toutes les solidarités et audaces du moment.[/centrer]
[b]L[/b]a Blonde se décide à grimper aux premières loges, escaladant la carcasse d'une usine quasi abandonnée, pour en rejoindre les hauteurs. L'opération est délicate, la gouttière ripe à plusieurs reprises entre ses mains. Les appuis au mur s'effritent, la contraignent à repousser ses limites jusqu'à l'escalier extérieur de secours. Du haut du mirador improvisé, la Sentinelle Elfique veille sur les rues à portée d'Azures. Le rideau quasi rigide d'une pluie toujours trop acide, des artères bondées d'eau, des bouches qui en avalent des litres étouffées par des amas de déchets.

[centrer][i]La purge commence.[/i]
Le secteur est traversé sur sa maigre superficie, par des pas et des attentes. Chaque Rebelle se donne une mission plutôt que de se contraindre à la peur ou l'ignorance.[/centrer]
[b]L[/b]a surveillance se poursuit dans les souterrains cette fois. La crainte n'est pas seulement de voir déborder cette Nature artificielle, mais aussi leurs prédateurs. L'instinct de survie résonne à leurs tempes. Mais hormis les odeurs putrides des galeries et leurs moirures, les territoires sont encore bien distincts. Les époux, finiront la nuit dans les rouages de leur Usine, participants aux derniers élans Rebelles de la soirée, sous l'onde martelant des moteurs et l'atmosphère humide.

[centrer]N'auront-ils tous jamais autant dressés leur pupilles vers le Smog cette nuit là.[/centrer]
[/couleur][/taille][/quote]

Assistante sexy.

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La blonde admire le monde en panique, tandis qu'elle se dit que y a de l'eau gratuite à volonté et qu'elle en profite pour remplir des bassines et des bassines de flotte.

"Fini de payer 900 Crédits pour un verre d'eau !"

Impérial

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La journée avait été calme, bien que l'Elfe n'ait pu s'empêcher de passer son temps sur son lieu de travail tant chéri. Elle y avait fait un peu de ménage, et de l'inspection, car après tout, qui sait ce que les Détenus peuvent laisser en partant. Ce n'est qu'au moment de se poser en salle de réunion qu'elle vit les informations défiler sur les EMs et l'AITL.

"Hm'bon.. j'ai encore le temps avant de rentrer."

L'Elfe décida alors de travailler sur son projet, concentrée, avant que d'autres informations lui parviennent de son frère. Lui arrachant un long soupir de dépit, elle rangea ses affaires et pris le chemin de la maison afin de retrouver les bras de son compagnon, encore assoupi. Vingt cycle-horaire sonna, et la pluie se mit à battre contre les fenêtres et les toits, comme un grondement sourd, laissant un sentiment d'appréhension.

"Cette pluie me donne la migraine..."
"Ah bon ? .. Moi, ça m'apaise.."

* * *

Au petit matin, la Blonde s'éveille au sifflement du vent entre les volets. S'étirant d'abord, elle se glisse hors du lit conjugal pour regarder distraitement entre les volets. Un grognement s'échappe de ses lippes, et l'Elfe se précipite vers les escaliers qu'elle dévale en enfilant sa Tech pour apercevoir l'entrée déjà inondé par l'eau boueuse.

"Eh merde... j'en étais sûre. Ca n'annonce rien de bon, toute cette flotte..."

La journée s'annonce alors pénible, elle remonte les escaliers après avoir pris le temps de jeter sans scrupule quelques serviettes pour éponger l'eau, retournant contre la chaleur du mâle.

[taille=3]La journée avait été calme, bien que l'Elfe n'ait pu s'empêcher de passer son temps sur son lieu de travail tant chéri. Elle y avait fait un peu de ménage, et de l'inspection, car après tout, qui sait ce que les Détenus peuvent laisser en partant. Ce n'est qu'au moment de se poser en salle de réunion qu'elle vit les informations défiler sur les EMs et l'AITL.[/taille]
 
[taille=3][i][b]"Hm'bon.. j'ai encore le temps avant de rentrer."[/b][/i][/taille]
 
[taille=3]L'Elfe décida alors de travailler sur son projet, concentrée, avant que d'autres informations lui parviennent de son frère. Lui arrachant un long soupir de dépit, elle rangea ses affaires et pris le chemin de la maison afin de retrouver les bras de son compagnon, encore assoupi. Vingt cycle-horaire sonna, et la pluie se mit à battre contre les fenêtres et les toits, comme un grondement sourd, laissant un sentiment d'appréhension.[/taille]
 
[taille=3][b][i]"Cette pluie me donne la migraine..."[/i][/b][/taille]
[taille=3][b][couleur=vert]"Ah bon ? .. Moi, ça m'apaise.."[/couleur][/b][/taille]
 
[centrer]* * *[/centrer]
 
[taille=3]Au petit matin, la Blonde s'éveille au sifflement du vent entre les volets. S'étirant d'abord, elle se glisse hors du lit conjugal pour regarder distraitement entre les volets. Un grognement s'échappe de ses lippes, et l'Elfe se précipite vers les escaliers qu'elle dévale en enfilant sa Tech pour apercevoir l'entrée déjà inondé par l'eau boueuse.[/taille]
 
[taille=3][b][i]"Eh merde... j'en étais sûre. Ca n'annonce rien de bon, toute cette flotte..."[/i][/b][/taille]
 
[taille=3]La journée s'annonce alors pénible, elle remonte les escaliers après avoir pris le temps de jeter sans scrupule quelques serviettes pour éponger l'eau, retournant contre la chaleur du mâle.[/taille]

~ Nelwenn Vakarian Rosenvald ~

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Super se dit t'il !

Regardant de la fenêtre de l'étage da sa maison , la terre serra ramollie pour les coups de pelle, et le farin va remonté.

Regarde sa femme lui souriant , bon pas vraiment grand chose a faire , se boit une pinte , regarde le grand lit devant lui , la situation se prêtant a de gros câlins, un oeil surveillant la ville.

Pose son com sur la table restant en alerte en cas ou !
Le reste étant confidentiel....................

https://cdn.discordapp.com/attachments/1102192871823654935/1102697467826417794/banniere_tarex_animee.gif

Bouyaveur de ch.

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Après une soirée plus que rude, la bête fit des allers-retour entre sa boutique et l'une de ses habitations des quartiers sud de la cité, s'entêtant à creuser des tranchées autour du bâtiment afin de contenir au possible les arrivées d'eau. Il entreprit également d'installer diverses grilles aux entrées de la bâtisse, mais également au niveau des bouches d'égouts les plus proches afin de filtrer au mieux l'engeance mêlée de restes organiques et de purée d'apoptose remontant des tréfonds. Quelques heures plus tard, il revient se mettre au chaud dans la demeure, continuant d'être attentif à son communicateur en cas d'évènement imprévu et plus tard, la ronde sous-terraine allait reprendre.

« Mhrrmf, ça m'a tout l'air d'une bonne grosse pluie ... Pourvu que le réseau tienne. »

Rêveur Désabu.

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Le cyborg en profitait allègrement de sa compagne, pour ne rien changer, gardant son agréable chaleur lovée contre lui. Mais il semblait que le déluge rendait la chose encore plus délicieuse, le titillant encore un peu plus dans son instinct a profiter du sec, de la chaleur en promiscuité.

Il avait eu une nuit chargée il faut dire, entre les plus hautes tours de la Cité, a des bâtiments en apparence abandonnés, puis un de ses centres, trimbalant du matériel nouveau comme ancien, prévoyant. Le Cyborg avait eu quelques idées pour ce qui restait 'le cycle du crime' de celui qui demeurait sans doutes l'infâme Dissident.
Le com' du gouv' a propos de l'alerte lui avait laissé le temps d'y songer il faut dire, bien que peu au contenu prévisible du dit com'. Qu'ils aient volés des informations du Bataillon ne le surprenait absolument pas, et c'est bien pour cela qu'il avait fait une promesse. Mais il fallait le faire pour arriver a exiger dans le même temps leur participation, qu'il ne soient pas dit qu'ils ne sont culottés !

- "Bonsoir, après avoir tentés d'arrêter le Bataillon, puis songé a vous tuer déf', après vous avoir sabotés, taupés, exigés des infos, on vient vous dire qu'on vous a une fois de plus dérobés des données sans contrepartie. Maintenez, venez aider et prendre vos ordres."

Il grogne un rire en songeant a si la formulation eut été ainsi : il aurait moins perdu de temps a répondre !
En l'absence du Premier-Né et de sa progéniture, les rats dansent... Il fallait de nouveau marcher très prudemment dans le champ de mine pour servir l'Humanité, et uniquement la servir, non l'asservir...

Il s'agite un peu en pensant a tout cela, alors que la sensation d'une main qui le papouille le tire un peu plus de son sommeil songeur sur un sourire à son aimée.

"Grrrmmmmhh... ~"

[couleur=noir]Le cyborg en profitait allègrement de sa compagne, pour ne rien changer, gardant son agréable chaleur lovée contre lui. Mais il semblait que le déluge rendait la chose encore plus délicieuse, le titillant encore un peu plus dans son instinct a profiter du sec, de la chaleur en promiscuité.

Il avait eu une nuit chargée il faut dire, entre les plus hautes tours de la Cité, a des bâtiments en apparence abandonnés, puis un de ses centres, trimbalant du matériel nouveau comme ancien, prévoyant. Le Cyborg avait eu quelques idées pour ce qui restait 'le cycle du crime' de celui qui demeurait sans doutes l'infâme Dissident.
Le com' du gouv' a propos de l'alerte lui avait laissé le temps d'y songer il faut dire, bien que peu au contenu prévisible du dit com'. Qu'ils aient volés des informations du Bataillon ne le surprenait absolument pas, et c'est bien pour cela qu'il avait fait une promesse. Mais il fallait le faire pour arriver a exiger dans le même temps leur participation, qu'il ne soient pas dit qu'ils ne sont culottés !
[i]
- "Bonsoir, après avoir tentés d'arrêter le Bataillon, puis songé a vous tuer déf', après vous avoir sabotés, taupés, exigés des infos, on vient vous dire qu'on vous a une fois de plus dérobés des données sans contrepartie. Maintenez, venez aider et prendre vos ordres."[/i]

Il grogne un rire en songeant a si la formulation eut été ainsi : il aurait moins perdu de temps a répondre !
En l'absence du Premier-Né et de sa progéniture, les rats dansent... Il fallait de nouveau marcher très prudemment dans le champ de mine pour servir l'Humanité, et uniquement la servir, non l'asservir...

Il s'agite un peu en pensant a tout cela, alors que la sensation d'une main qui le papouille le tire un peu plus de son sommeil songeur sur un sourire à son aimée.

[b]"Grrrmmmmhh... ~"[/b][/couleur]

[/centrer]

Margoulin

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- Putain de temps de Gnoll..!

L'humain pesta tandis qu'il essaya d'avancer péniblement dans la rue, sous le rythme endiablé des sploutch sploutch des bottes s'enfonçant dans la boue.
Mais quelle vie.. Jamais tranquille dans cette ville.
Heureusement qu'il avait son équipement de campeur du dimanche made in Galibran, légère, souple et surtout a l'épreuve du temps de merde. Mais en vrai, c'était peu accommodant, il avait froid aux pieds, mais chaud en haut, le nez qui coule dans le casque. Quel enfer..

Full leva son avant bras pour atteindre son communicateur tactile avant de se rendre compte qu'il n'avait plus de pile dans le doigt... La joie de l'eau sur les écrans, sélectionnant des mots aléatoires : Aaaah.. putain.. mais non ! Hé merde.

Message envoyé. :
Genre il est possible que vous allez tous très bien merci beaucoup de choses a la cool

Tarvitz souffla longuement du nez avant de juste poursuivre son chemin vers la maison. Croisant a l'intérieur le punk et sa rose avant de se faire un café.
Seul, les mains tenant la tasse chaude il souffla..

Eternité éreinté,
pluie diluvienne,
Cafey réconfortant..

Quel poète..

[couleur=FE179A]- Putain de temps de Gnoll..![/couleur]

L'humain pesta tandis qu'il essaya d'avancer péniblement dans la rue, sous le rythme endiablé des sploutch sploutch des bottes s'enfonçant dans la boue.
Mais quelle vie.. Jamais tranquille dans cette ville.
Heureusement qu'il avait son équipement de campeur du dimanche made in Galibran, légère, souple et surtout a l'épreuve du temps de merde. Mais en vrai, c'était peu accommodant, il avait froid aux pieds, mais chaud en haut, le nez qui coule dans le casque. Quel enfer..

Full leva son avant bras pour atteindre son communicateur tactile avant de se rendre compte qu'il n'avait plus de pile dans le doigt... La joie de l'eau sur les écrans, sélectionnant des mots aléatoires : [couleur=FE179A]Aaaah.. putain.. mais non ! Hé merde.[/couleur]

Message envoyé. :
[i]Genre il est possible que vous allez tous très bien merci beaucoup de choses a la cool[/i]

Tarvitz souffla longuement du nez avant de juste poursuivre son chemin vers la maison. Croisant a l'intérieur le punk et sa rose avant de se faire un café.
Seul, les mains tenant la tasse chaude il souffla..

[couleur=FE179A]Eternité éreinté,
pluie diluvienne,
Cafey réconfortant..[/couleur]

Quel poète..

NaN

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Sÿ se reveilla en soirée et consulta son comm... Impossible... Pouvait-elle avoir raison?
Sa douce lui parlait qu'elle sentait une catastrophe la veille pour aujourd'hui, du genre cataclysmique annociatrice d'une nouvelle ere.

Quoi qu'il en soit, le temps n'etait plus au repos. Il fallait organiser les mesures a prendre pour eviter tout debordement dans la zone CEV et des siens. Ils se dirent au revoir, se partageant les taches a faire et se mirent au travail.

"Saleté de cité, pas possible d'etre tranquille plus de 24h..."

-- Espace Dreadcastien --

Quand le sage désigne le smog, l'idiot regarde le doigt.

Perdue entre ses datacenters au beau milieu de Marran, bien trop occupée dans son travail, dans sa tête, ses projets ou encore ses conneries, la vaut n'avait pas eu le temps de mettre le nez dehors. Son IA lui envoyait régulièrement des nouvelles sur le temps, mais qu'importe, elle avait autre chose à fouttre en ce moment pour s'occuper d'une petite pluie.

Générateur de.

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Caïn profita de ses anciens accès a l'Usine pour aller produire des panneaux d'étanchéité ainsi que deux échelles a rivet en tout discrétion, il n'aurait jamais cru devoir en arrivait là.
La progression jusque l'Usine pourtant a proximité était déjà laborieuse. Ramenait le matériel l'avait considérablement épuiser. Même avec l'aide d'un drone de transport, habituellement utiliser pour les livraisons.

Le drone une fois lâcher sa cargaison entreprit un retour a l'Usine. Et pendant que Caïn s'affairai a souder as même l'entrée pour créer un forme de proue au quels il riva deux échelles pour offrir un passage au bar. Il vit le drone repasser devant lui emporter par le courant. Un malaise le submergeât devant l'idée de devoir justifier le sort du drone déjà loin, ainsi que de la carte d'accès garder en secret.

Après quelque cycles d'effort dans la boue crasseuse qui s'infiltré partout, notamment as l'entrée du bar. Il était content de sa tenu Tech5 et de sa lourde armure A300P en dessous lui offrant protection et lest. Le barrage était enfin en place, un travail qui avait de quoi le rendre fière ! Le plus dur avait était de fixer un pare-pluie au dessus de la protubérance protectrice.

Les clients, s'il osé venir pourris au moins rentrée pour trouver un abri. Et une fois le ménage as l'entrée fait, il allait réglé le thermostat du bar pour que la chaleur monte un peu plus. Les précipitations avait fortement fait baisser la température et le Nain avait encore plus horreur du froid que de la pluie.

Posé au comptoir un pinte a la main pour ce réchauffer, il guette l'entrée écoutant la musique qui rend l'ambiance encore plus mystique. Avants d'appercevoir une première silhouette passée l'entrée.

Caïn profita de ses anciens accès a l'Usine pour aller produire des panneaux d'étanchéité ainsi que deux échelles a rivet en tout discrétion, il n'aurait jamais cru devoir en arrivait là. 
La progression jusque l'Usine pourtant a proximité était déjà laborieuse. Ramenait le matériel l'avait considérablement épuiser. Même avec l'aide d'un drone de transport, habituellement utiliser pour les livraisons.

Le drone une fois lâcher sa cargaison entreprit un retour a l'Usine. Et pendant que Caïn s'affairai a souder as même l'entrée pour créer un forme de proue au quels il riva deux échelles pour offrir un passage au bar. Il vit le drone repasser devant lui emporter par le courant. Un malaise le submergeât devant l'idée de devoir justifier le sort du drone déjà loin, ainsi que de la carte d'accès garder en secret.

Après quelque cycles d'effort dans la boue crasseuse qui s'infiltré partout, notamment as l'entrée du bar. Il était content de sa tenu Tech5 et de sa lourde armure A300P en dessous lui offrant protection et lest. Le barrage était enfin en place, un travail qui avait de quoi le rendre fière ! Le plus dur avait était de fixer un pare-pluie au dessus de la protubérance protectrice.

Les clients, s'il osé venir pourris au moins rentrée pour trouver un abri. Et une fois le ménage as l'entrée fait, il allait réglé le thermostat du bar pour que la chaleur monte un peu plus. Les précipitations avait fortement fait baisser la température et le Nain avait encore plus horreur du froid que de la pluie.

Posé au comptoir un pinte a la main pour ce réchauffer, il guette l'entrée écoutant la musique qui rend l'ambiance encore plus mystique. Avants d'appercevoir une première silhouette passée l'entrée.

Héritier de To.

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"Sergent, 

Il se tiendra au Militarium une réunion exceptionnelle, vers le quatorzième cycle, tâchez d'être présent.

Je vous remercie."

Ainsi, au son du Kender qui carillonnait, le militaire obliqua son regard sévère vers celui-ci pour prendre connaissance du message entrant. Il fronça, davantage perplexe. Alors qu'il relisait encore avec brièveté ledit message pour en comprendre la nature de l'urgence, un deuxième, émanant d'une autre source d'information officielle, l'informa aussi d'un événement exceptionnel à venir. Une cellule de crise allait être mise en place.

Ses marrons se tintèrent de la couleur rougeâtre de l'écran, plusieurs cyclo-secondes durant. Comme happé par le caractère impératif que l'affaire semblait revêtir. Le militaire arbora son éternel air dubitatif, caractéristique.

Puis, il comprit enfin de quoi il en retournait réellement. Il était donc question de déluge diluvien, semblait-il. Le grand nettoyage par les eaux, peut-être. Comme jadis, lorsque les Antiques Cités devenues bien trop dégénérées, disparaissaient par la force des choses dans un cataclysme qu'elles avaient elles-mêmes préparé de leurs mains. DreadCast était bel et bien une cité en décrépitude totale. C'était un sujet auquel il n'y avait plus aucun doute.

Mais incrédule, tout comme sa nature profonde, il douta de la mise en marche de la fin du monde pour quelques caniveaux débordés. Cependant, forcé au devoir et au service auquel il avait prêté allégeance et dédié toute son existence, il s'exécuta stricto sensu et pleinement dans l'exercice de ses fonctions.

"Edi, les impériaux sont invités à venir se mettre à l'abri au Milit'. Je t'y attendrai. 

Les pluies annoncées seront abondantes mais surtout acides, sois équipée dûment lorsque tu traverseras la cité. 

Mets ton A300. Fais attention à toi.

ฅʕ•̫͡•ʔฅ"

Vers le vingt-deuxième cycle, le Militarium s'était fortement rempli de civis en tout genre, alors que le corps militaire s'affairait à leurs responsabilités. Le brun a pu même y voir parfois filtrer des revenants et d'inconnus-à-cette-adresse, qui semblaient s'être totalement perdus sur le palier de la Salle Ouest. Lui, mutique, était engoncé dans un divan à l'écart, tandis que son armure rougeoyante s'entrechoquait parfois avec celle de sa voisine, lorsqu'ils échangeaient des mots.

Le militaire ne reconnaissait plus sa vieille institution avec toute cette agitation et ses allers et venues. Ce brouhaha continuel et ininterrompu lui cassait les oreilles; du futile, du frivole, des commentaires et des blagues, tout ce qui lui était étranger, volaient en ces lieux pourtant si paisibles d'habitude pour sa quiétude.

Au fil des cycles, il prenait de plus en en plus conscience qu'il n'y avait strictement rien d'inhabituel, comme lui suggéra son instinct. De la pluie, rien que de la pluie. Un samedi soir de pluie acide ou salée, où il était coincé avec des habitués de bars et même des ménestrels et autre troubadour, comme à la cour du Roi. D'ailleurs un saltimbanque se tenait debout devant eux, pour gratter ses quelques cordes, et lui, dans son armure hermétique, croisa ses bras indifférent, voire agacé, comme un souverain trop aigris par un jour de pluie.

[quote][quote][couleur=B22222][code][b]"Sergent, 
Il se tiendra au Militarium une réunion exceptionnelle, vers le quatorzième cycle, tâchez d'être présent.
Je vous remercie."[/b][/code][/couleur][/quote]

Ainsi, au son du Kender qui carillonnait, le militaire obliqua son regard sévère vers celui-ci pour prendre connaissance du message entrant. Il fronça, davantage perplexe. Alors qu'il relisait encore avec brièveté ledit message pour en comprendre la nature de l'urgence, un deuxième, émanant d'une autre source d'information officielle, l'informa aussi d'un événement exceptionnel à venir. Une cellule de crise allait être mise en place.

Ses marrons se tintèrent de la couleur rougeâtre de l'écran, plusieurs cyclo-secondes durant. Comme happé par le caractère impératif que l'affaire semblait revêtir. Le militaire arbora son éternel air dubitatif, caractéristique.

Puis, il comprit enfin de quoi il en retournait réellement. Il était donc question de déluge diluvien, semblait-il. Le grand nettoyage par les eaux, peut-être. Comme jadis, lorsque les Antiques Cités devenues bien trop dégénérées, disparaissaient par la force des choses dans un cataclysme qu'elles avaient elles-mêmes préparé de leurs mains. DreadCast était bel et bien une cité en décrépitude totale. C'était un sujet auquel il n'y avait plus aucun doute.

Mais incrédule, tout comme sa nature profonde, il douta de la mise en marche de la fin du monde pour quelques caniveaux débordés. Cependant, forcé au devoir et au service auquel il avait prêté allégeance et dédié toute son existence, il s'exécuta stricto sensu et pleinement dans l'exercice de ses fonctions.

[quote][couleur=B22222][code][b]"Edi, les impériaux sont invités à venir se mettre à l'abri au Milit'. Je t'y attendrai. 
Les pluies annoncées seront abondantes mais surtout acides, sois équipée dûment lorsque tu traverseras la cité. 
Mets ton A300. Fais attention à toi.
ฅʕ•̫͡•ʔฅ"[/b][/code][/couleur][/quote]

Vers le vingt-deuxième cycle, le Militarium s'était fortement rempli de civis en tout genre, alors que le corps militaire s'affairait à leurs responsabilités. Le brun a pu même y voir parfois filtrer des revenants et d'inconnus-à-cette-adresse, qui semblaient s'être totalement perdus sur le palier de la [i]Salle Ouest[/i]. Lui, mutique, était engoncé dans un divan à l'écart, tandis que son armure rougeoyante s'entrechoquait parfois avec celle de sa voisine, lorsqu'ils échangeaient des mots.

Le militaire ne reconnaissait plus sa vieille institution avec toute cette agitation et ses allers et venues. Ce brouhaha continuel et ininterrompu lui cassait les oreilles; du futile, du frivole, des commentaires et des blagues, tout ce qui lui était étranger, volaient en ces lieux pourtant si paisibles d'habitude pour sa quiétude.

Au fil des cycles, il prenait de plus en en plus conscience qu'il n'y avait strictement rien d'inhabituel, comme lui suggéra son instinct. De la pluie, rien que de la pluie. Un samedi soir de pluie acide ou salée, où il était coincé avec des habitués de bars et même des ménestrels et autre troubadour, comme à la cour du Roi. D'ailleurs un saltimbanque se tenait debout devant eux, pour gratter ses quelques cordes, et lui, dans son armure hermétique, croisa ses bras indifférent, voire agacé, comme un souverain trop aigris par un jour de pluie.[/quote]

Raciste

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La bleue quitte avec difficulté le confort du lit appartenant à son amie pour s'habiller en enfilant son armure et, une fois qu'elle ait prise connaissance de la situation météorologique, prend toute de même la peine de sortir en embarquant son neuvopack sous le bras.

Une fois dans la rue, le déluge et l'obscurité lui font décrocher un énième râle, peinant à s'avancer pour jeter son appareil au sol, qu'elle maintient en place sous sa lourde botte. La pluie battante sur le blindage de son casque, , elle met en route l'appareil cabossé, observant les détritus défiler sur le sol en secouant la tête, espérant profiter de cet afflux pour récolter un peu plus de cristaux qu'à son habitude.

" Faut croire que la terraformation reprend son cours.
Mais bon.. Un temps à l'image de cette ville, merdique. "

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