1/249.1 - 00CH01

Le smog semble être plus léger, aujourd'hui. Une quantité incroyable de rayons puissants, nocifs et mutagènes réussit à pénétrer le smog et s'introduire dans la ville... Quels en seront les conséquences ?

La jeune humaine était tranquillement installée chez elle.

Fourrée dans son canapé, elle dévorait le livre d'un certain Devdas Zaitsev, sur la race Vautour.
Son cher mentor le lui avait fourni, et elle avait entrepris de le dévorer en se rendant jusque chez elle.

Ni une ni deux, elle se débarrasse de ses ravissantes, et surtout nouvelles bottes à talons.

Voilà que sa lecture la passionne, quand soudain, une douleur cuisante lui brûle les pieds. Une douleur rapide, et brève. Et lorsqu'elle baisse son bouquin...

... Deux moignons roses terminent ses chevilles.
Horrifiée, elle hurle de terreur.

- AAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!

Le cauchemar n'était pas fini pour elle. Voilà encore autre chose qui venait perturber le cours de sa petite vie.

L'elfe ce réveilla la tête couchée sur son bureau comme tout les soirs pour commencer son service de nuit, une douleur ce fit sentir dans le bas et son dos et il senti une chose bouger sous son trench'.

Il n'y prêta sur le moment pas plus d'attention, les soucis commencent déjà dans la salle, la douleur le fit sortir de son légendaire calme, retira la sécurité de son fusil et tira un coup de somation, s’ensuivit plusieurs échange musclé, la douleur s'intensifiant, l'énervement l'accompagnant.

Une fois la situation sous contrôle il retourna dans son bureau, retira ses vêtement pour découvrir en plus des cicatrices et brulures habituelles... une queue d'écureuil....

Une nouvelle journée qui commençait mal.

Il est des soirs comme ça... Rien ne vous arrive de bien...

On a l'impression que la ville a décidée de se jouer de vous...

L'impression fugace que quelque part, quelqu'un vous observe et s'amuse à changer le labyrinthe si habituel dans lequel vous autre cobayes évoluez quotidiennement pour vous rajouter une crasse...

Petite soirée pour voir si les chiffres sont vos amis... Visiblement non... On se console comme on peu en se disant que "Malheureux au jeu... "

On rentre chez soi, trouvant sa compagne toujours dans les bras de Morphée. On avance dans son travail, histoire de... Un com... Ha... Les livres... Mmhh... Commençons par les bases... Les livres des deux personnes qu'on a toujours suivit...

L'élève arrive... Le temps qu'on revienne de la bibliothèque, elle se retrouve face à face avec votre compagne... Gros silence... Si encore la jeunette ne s'était pas retrouvée nue sur votre canapé quelques jours avant... La... Le malaise s'installe...

L'élève repart... On se prends un vent quand on cherche à prendre la main de sa compagne... On se retrouve devant un distributeur de nourriture à attendre... Attendre qu'elle daigne sortir de son silence...

Et la elle s'enfuit...

Des coms, une course dans la ville.. On se retrouve seul... Perdu...

Bon sang, j'espère que tu te marre à me regarder au moins...

Et pourquoi ça me gratte les épaules comme pas possible depuis tout à l'heure... j'ai l'impression de me sentir serré dans mon armure... Bon sang de bon sang...

Poulpo était en réunion quand une douleur indescriptible lui traversa le corps.
Pris de spasmes, sa frangine, Mik, lui procura quelques soins mais en vain. La douleur était toujours présente.
Après de longues minutes, la douleur s'estompa peu à peu. Seuls quelques pics faisaient une apparition de temps à autre.

Voyant le regard des personnes présentes sur lui, l'orc regarda ses bras

"merde, c'quoi tous ces poils ?" Un duvet recouvrait le corps entier de l'orc...

Et plus les heures passaient, plus la pilosité de Poulpo devenait importante...

"nan mais sans dec, je vais plus sortir moi, c'la honte, on dirait un gnoll..."
L'orc se mit à grogner, un peu bizarrement...

Valfaria etais avec un client quand tout ses déclancher une sourditée anormal pour une droide. Nentendant pas les demande du client celle ci devait faire un truc mais elle n'entendait rien... Le client lui jette une CP de 10 000cr et repart frustrée et insatisfait. La pauvre droide ne peu que crier n'entendant meme plus le son de sa voix. Elle ramsse le CP tout en pleurant quelques larmes. Ce soir elle doit faire un truc important ... mais elle nentent memeplus le doux son de sa voie. Mélencolique elle repond en criant a quelque com. Ne voyant que les levre bougée de ses interlocutrices. Toute facon elle a fait ce quelle devait faire. laissée celle quelle aime... Pleurant le sens perdu et lamour de sa vie elle entre dans le cercle des fille de joie , la ou elle trouve encore un sens a sa vie.

La naine vécut ce soir là une soirée plutôt chargée de sens et d'évènements, laissant avec désinvolture les détails superficiels au lendemain.
Se laissant gagner par la fatigue, oubliant ses articulations douloureuses, elle étira ses jambes sur la table devant elle en laissant divaguer ses pensées. Elle avait promis de faire un gâteau à quelqu'un de très particulier et elle ne savait absolument pas cuisiner.
S'endormant sur l'odeur d'un gâteau chaud et épicé sortant du four, elle étira un peu plus ses jambes.

La mutante s'éveille, ne se sentant pas très bien dans ses baskets ce matin la... Mal de crâne, mal au ventre, mal partout d'ailleurs. Elle se redresse dans son lit, étirant les draps qui la couvre, et se passe une main sur le visage, tendant l'autre pour tatoner en quête du verre d'eau sur sa table de chevêt, qu'elle ramène a elle et porte a ses lèvres.
Son com' vibre, la laissant maugérer quelque seconde a propos des gens assez con pour l'appeler a pas d'heure, et envoi sa main le chercher pour l'amener devant ses yeux et consulter son message...

... Et c'est alors que vient la vraie question. Comment peut-elle tenir son com', ainsi que son verre d'eau, tout en se tenant la tête ? Elle cligne des yeux, commençant a réaliser que quelque chose ne tourne pas rond, et a abaisse son regard sur son corps, manquant de faire chuter son verre de stupéfaction... Elle ne vit non plus ses deux bras habituels, l'un d'acier et l'autre muté, mais six... Six bras...

- ... Putain d'merde. C'est quoi ce bordel.

Remses, habituellement dans un appartement accompagné de la personne qu'il entraînait, se prit soudain d'un coup de fatigue.
Installé dans le canapé pour se reposer, il commence se tortiller dans tous les sens. Quelque chose n'allait pas. Ça grattait beaucoup trop, ça chatouillait beaucoup trop ... et à mesure que le Troll se passait les doigts dans la fourrure pour assouvir ses démangeaisons, ce dernier sentait des points d'air frais sur son torse, puis sur ses côtes et son cou ....
Ce n'est qu'en baissant le regard sur ses mains qu'il comprit qu'il se passait quelque chose qu'il n'allait pas aimer du tout.

Remses vit son corps se transformer, devenir hideux et honteux à ses yeux.

Quelques minutes passèrent ou Remses continua de se gratter, de se tortiller et de s'horrifier jusqu'à ce que son corps ne le torture plus. Le Troll baissa le regard, et pu apercevoir son corps dénué de tous les poils qui le recouvrait. Ils étaient tombés par terre.

Moi ? Imberbe ? Roh hé merde, c'est quoi cette blague ! Pas à un Troll !

Karak,comme d'habitude,dormais chez lui dans sa maison,tout seul,quand dans la nuit des démangeaison se fessait sentir,une sensation étrange mais qui ne l’empêchas pas de s'endormir.
Se ne fut que le matin quand il se réveilla avec les fesse qui lui lançait des pic de douleur,
se fut avec un mélange de joie,de peur et de stupéfaction qu'il découvre une deuxième queux reptilienne,jumelle a la premiere.

Bordel de merde,ses quoi cette farce débile!!

sur cette phrase il haussât les épaule et se dit que sa peut pas être très gênant,et il retourna a sa petite vie en espèrent que les gens n'y feront pas attention.

Un entrainement... Un banal entrainement passé à regarder suspicieusement ce qui pouvait bien tendre ainsi le tissu de la blouse de son adoré... Elle objecte, pointe le fait établi à coup de billes qui sifflent dans l'air et viennent frapper les écailles luisantes, comme autant de points de suspension aux phrases qu'elle ne parvient pas à clore. Il faut qu'elle arrête, qu'elle porte sa main à ce qui la démange tant, à ce qui devient une obsession au point de ne plus la faire penser droit. Alors elle gratte, de cette envie qui lui ferait jusqu'à écorcher la peau si elle s'écoutait. Puis sent que quelque chose cloche. Que l'oreille qu'elle frôle n'a pas la forme habituelle, ça non...

Stupeur. Et quelques tremblements il faut bien le dire. Elle lâche aussitôt le pistobille qui retombe dans un ploc sonore sur le sol carrelé et deux yeux inquisiteurs suivent ses mouvements erratiques. La main griffue vient soulever doucement le voile des cheveux noirs et elle ne peut alors échapper à l'humiliation. On vient directement de s'en prendre à l'intégrité elfique, ô drame, ô désespoir, ô mutation ennemie... N'a-t-elle tant vécu que pour cet infamie ? Bref, lecteur tu l'as compris, l'heure est grave !

C'est fascinant.
Qu.. quoi. Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?

Elle veut fuir, ou plutôt nier l'évidence. Mais rien ne peut nier des protubérances aussi immenses qui semblent vouloir blobloter à chaque mouvement de tête tandis qu'elle déraille. Les elfes sont si fiers de leurs oreilles pointues... Mais ici, plus aucune pointe, dans ces oreilles telles des feuilles d'un chou transgénique provenant directement de l'extérieur. Non, des oreilles décollées, que les cheveux sombres ne peuvent plus masquer. Ce n'est plus Callian, c'est Dumbo et on se demande bien où est la plume magique... Ah lecteur, comment parviendrons-nous à contrer le sort et rendre dignité elfique à une elfe qui n'en a certainement que trop.

Ça ne me fait pas rire !

Et pourtant... petite. Ça devrait !

Ce soir là, elle s'était réveillée fiévreuse et fébrile, frissonnante dans les bras de sa femme. Un mal de tête atroce comme elle n'en avait connu depuis bien longtemps.
Soutenue par sa Gynoïde, l'humaine entra dans la douche et s'immergea sous l'eau chaude...
Se réchauffer...faire tomber cette foutue fièvre...
Mais alors qu'elle sortait de la douche, quelques minutes plus tard... elle sentait que quelque chose n'était pas normal.
Baissant son regard vers son entre jambe, elle poussa subitement un cri d'effroi

AAARRRHHHHHGGGG putain c'est quoi ça !!!!
La gynoïde se tourna aussi sec vers sa femme, inquiète
quoi, quoi ? qu'est ce qu'il y a???

Aussitôt l'humaine porta instinctivement ses mains sur ce membre en plus, pour le cacher. Mais l'horreur et la stupeur au toucher la fit lâcher ses mains et les secouer en tout sens, par dégoût

Yeurk...oh mon dieu c'est horrible !

La gynoïde, intriguée, s'approcha.
Qu'est-ce que.... elle pencha la tête pour mieux regarder

L'humaine se tourna pour se cacher, remplie d'humiliation

Non..non non non, t'approche pas.. me regarde pas !!
Non d'une pipe...Non..non non..pas pipe...
Hummf....

Le cyborg traverse la Haute-Ville pour rejoindre la banque. Le smog a l'air différent... mais difficile à dire ce qui avait changé.

Il repense sur le chemin à la dernière apparition de champignons, probablement quelques spores transportés par dessus le mur.

Hum...

N2 leva un sourcil puis remonta son col, pressant le pas vers sa destination en jetant un oeil autour de lui aux alentours.

Le réveil n'allait pas vraiment améliorer votre vie en plus... Pas de nouvelle de votre compagne. Visiblement, on vous en voulait pas la...

Ce dos qui gratte... Franchement...

Et impossible de passer cette armure de mes fesses ! On a pourtant pas gross... Mes fesses ? C'est quoi ce truc sur mon dos ?

On file vers un miroir... Et la... Consternation... Qu'est ce ... Quoi ? Une blague... C'est pas possible... Une fichue blague de mauvais gout.

On se cache... Elle réponds pas... Tant mieux...Au moins elle ne me verra pas dans cet état affreux...

Filer au labo... Analyse de sang... Scanner... Test du génotype...

Sacré comique...

Une douce nuit accompagnée, de quoi dormir la tête dans le smog... Le smog..
Le réveil lui n'était pas aussi doux qu'elle l'attendant.

C'est en se levant, un froncement de sourcils, une étrange sensation. Une forme apparaît derrière elle, on lui demande de se retourner, et c'est la panique.
Deux ailes apparue dans son dos, le sang encore présent sur les plumes récentes.

C'est seulement après plusieurs minutes qu'elle finit par se calmer et observer cette étrange nouveauté, qui au final ne la dérange pas trop.

Après une bonne douche pour enlever les taches de sang de sang séché, elle ne peut s’empêcher de se contempler dans le miroir, curieuse, appréciant de plus en plus sa nouvelle apparence.

Ayane : Elles sont plutôt mignonnes en fait..

Elle enfile alors son cosmo et c'est parti pour une drôle de journée.

Après un réveil difficile, l'elfe ce leva et vérifia le miroir.

Et merde... toujours là

Il s'habilla tant bien que mal, tentant de diriger son nouveau membre sous son trench', et le dissimula tant bien que mal.

Vient ensuite le test de la rue, il s'installa sur le site de fouille et commença à remuer la poussière, espérant que le smog suffirait à dissimuler la bosse ce déplaçant sous ses vêtements dans son dos... D'après les premiers passant s'attardant longuement sur lui c'était visiblement peine perdu...

Fait chier, c'est officiel, j'vais devenir le premier elfebold ou kobelfe de la ville..

Ektör travaillait à l'usine depuis plusieurs heures, sa journée était d'ailleurs sur le point de se terminer alors qu'il entamait la construction d'un ultime produit pour aujourd'hui : une puce pour aitl. Il était cependant dans une petite forme depuis le réveil, des picotements lui démangeait toute sa peau artificielle, sa chaleur corporelle ne faisait que croitre bien que devant son atelier il ne faisait jamais froid, ce jour-là détenait une atmosphère anormalement suffocante. Tant est si bien qu'il fut obligé de retirer son masque de protection forcé de travailler à visage découvert.

Puis ce fut le regard de ses collègues qui éveillèrent ses soupçons, tous le dévisageait sans rien dire comme s'ils redécouvraient qu'il n'était pas un véritable humain mais un cyborg. Il était habitué à ses regards là, remplis de dédains, mais jamais lui ne pourrait les accepter. Il reprit son travail dans un soupir allant vers un autre poste de la production où il manqua de s'effondrer au milieu de l'atelier principal. Il se maintenait le ventre, comme s'il venait soudainement de prendre un violent coup : "J'ai trop bouffé de vers de terre radioactif hier soir !" fut sa première pensée. Les coups ne cessèrent pas... il devait vomir et il le fit.

Alors qu'il finissait de se nettoyer le contour de la bouche et le devant de son bleu de travail dans le lavabo des chiottes de l'usine, il aperçu son reflet dans le miroir.

...

Le mouvement de panique passé, le stress surmonté, il prit son élan et sortit des toilettes tout sourire traversant l'usine d'un pas vif. "Qui sait ? Sa peut passer inaperçu si je prends un air naturel... ?"

Ce soir là même les bêtes avaient muté... et elles sortaient de leur trou.

Lors de sa balade le long des murs, cherchant à éviter la foule et les regard sur sa mutation il tomba sur un attroupement. Sa curiosité prit le dessus et il ce retrouva face à un monstre, déjà engagé par plusieurs militaires et policiers, il leva donc son fusil et attendit la moindre ouverture pour faire feu.

Malgré le feu nourrit, la bête ne semblait pas broncher et de plus petits rats sortirent à leur tour, à défaut d'aider sur le plus gros, il s'arrangea pour nettoyer le terrain pour le gros des forces combattantes.

Après plusieurs tirs dans le dos et un beau spectacle la bête fini par tomber... Mais une pensée le traversa:

Ils ont muté comme moi... vraiment l'heure d'aller le faire examiner, prions pour ne pas finir comme ce truc.

Il reprit sa route avant de retourner dans son terrier à lui, espérant ne pas y être dérangé.

Lou était dans les ST regardant les impérialistes fuir face à la force rebelle, quand elle se fit attaquer par une bête mutante.
Heureusement elle fut vite rejoint par ses comparses, car la bête avait la forme et c'est pas peu de le dire, Lou cassa deux de ses meilleurs armes et en abima une autre pendant que la bête tenait encore debout, l'Orcquette finit au sol par une méchante morsure.
Aidé par Meyna et Mik pour les premiers secours Lou regarda la bête faiblir face à la force Rebelle de ce soir, heureuse et fier mais en mauvais état elle croisa de petites bêtes inoffensives, Lou avait trop bon coeur et voulait pas leur faire de mal pendant que d'autre jugèrent que c'était une menace, ne voulant pas assisté au massacre elle finit par rentré se reposer.