La vaut' s'engageait dans les souterrains. Pas de crainte vis-à-vis des Rebelles, espérant ne pas avoir de soucis avec les autorités, parce qu'après tout, les règlements... M'bref. Le temps passant, les opportunités se raréfiant, elle ne contenait que difficilement une certaine amertume face à l'Impérium qui demandait tant, interdisait tout autant et donnait si peu, ou si inégalement.

L'impression d'avoir fait plus que son possible pour un résultat plus que médiocre, vis-à-vis de la Matrice, de l'Impérium, d'elle-même. Elle se décevait et se sentait déçue, voilà tout. Dès lors, le message reçu lui faisait une agréable opportunité de se promener un minimum, d'échapper à tout cela, d'en apprendre plus, de comprendre davantage, avant son plus grand plaisir, maintenant l'un des seuls qui lui semblaient rester. Cela, et la boite de couquiz dans une main ainsi que la Pix dans l'autre, tout de même. En espérant ne pas attirer les bestiaux... En route, donc.

Thallys apparait tel que prédit dans la matrice uniquement dédiée à sa consultation

15 Cycles horaires et 45 minutes




16 Cycles horaires et 44 minutes




16 Cycles horaires et 58 minutes




20 Cycles horaires et 24 minutes

Miles passe et croque une cahuète.

Bah alors quel mystère s'cache par là ?

Alors que la situation ne cessait de se dégrader d'heures en heures, Homan T.Morduch décida que le mieux qu'il pouvait faire, c'était encore d'aller planquer sa peau dans les bureaux "sécurisés" du siège du DCN. Une fois arrivé là-bas, il tenta tant bien que mal de "coordonner" les équipes de techniciens kobolds qui assistaient Jerry Kane, le présentateur vedette, qui assurait un live sur le plateau principal.

*

Quelque part dans un bar, un poivrot elfe brancha un écran pour savoir qui foutait tout ce putain-de-bordel-qui-me-relance-mon-imperiale-gueule-de-bois.

Le Militarium 21éme cycle 30 minutes :

Les groupes de traqueurs se font et se défont dans un mélange d'excitation et d’appréhension. Elle attend, la fatigue de la journée, celle de la nuit précédente. Elle voudrait y aller également non pas pour découvrir mais pour accomplir sa part. On l'en dispense.

Elle s'assied, elle écoute. L'improvisation bonne enfant semble dominer. Elle interroge l'officier présent sur les créatures ciblées. De vieilles connaissances, visiblement tellement connues en ville que personne ne cherche rien à en savoir tout en voulant absolument les capturer pour les étudier.

Elle ferme les yeux, se souvient de leurs points faibles, de leurs attitudes. Comme elles éclatent lors d'un tir à la jointure de l'abdomen, le bruissement de leurs ailes...

Oui, ce bruit là !

Elle ouvre les yeux, en voici une qui pousse l'impudence jusqu'à venir narguer les préparatifs du militarium. Les réactions sont vives, certains s’émerveillent, d'autres prennent peur. Quant à elle, elle sourit. Sans même épauler la bestiole elle vise celle-ci avec le pointeur laser de son arme. Pas un instant son doigt n'approche la gâchette tandis que dans une foire d'empoigne les volontaires ouvrent le feu en tout sens vers le plafond.

Halinna sourit, sa visée toujours sur l'abdomen de la créature avant que au gré des errements du volatiles celle-ci ne finisse par lui échapper dans le tumulte des impacts. Elle se lève alors, plus pour suivre l'agitation que pour y prendre part. Et voici que sortant de nulle part la bestiole vient se cacher dans son dos. La jeune femme sourit, pas effrayée pour un crédit, elle hésite, rester sans bouger entre la foule et la créature, rempart humain ? Finalement elle serre son fusil de précision se retourne et assène un rapide coup de crosse vers la chose.

Celle-ci s'évade d'un battement d'aile, saine et sauve. Immédiatement le regret la prend, elle murmure un pardon inaudible pour cette compagne d'exile, tandis que la chose déjà quitte le bâtiment.

Même les monstruosités font leur devoir... elles jouent leur rôle.

Quant à elle, elle devrait profiter ce soir encore de la rupture matriciel.

Bip ... Bip ... Bip ...

Allongé sur son lit de l'hôpital Impérial, l'orc dormais profondément, loin de toute l'agitation dont était secouée la ville.

8 cycles plus tôt.

Ayant entendu de grands bruits vers le sud, Betred contacte des proches et leur demande de le rejoindre, puis les guide jusqu'à la basse-ville, qu'ils observent, avant d'entendre des détonations et des tirs au Sud-Est. Ils se rendent sur les lieux, et se rendent compte que les portes Sud-Ouest de la ville sont ouvertes, et que des êtres exogènes pénètrent dans le secteur. Quelques personnes tentent déjà de ralentir le flux, tranchant, tirant.
Aussitôt, l'orc saisit sa tronçolame et se rue à l'assaut des bestioles. Un homme proche de lui tombe, et il le couvre à l'aide de son fusil impérial, en lachant des rafales sèches et précises, criant à des personnes de le dégager de là. Betred tente ensuite d'organiser la défense, et demande à ceux en retrait de contacter des renforts, tenant le front avec Zwei et Kailienna.
Mais bientôt, les créatures rampantes ne suffisent plus et de gros insectes à l'allure inquiétante s'approchent. Les trois font mouches et les bêtes tombent les unes après les autres, mais le nombre fait la force et Betred n'a pas le temps de voir l'une d'entre elle s'approcher par le côter et lui lacérer le flanc. Protégé par son armure, la blessure est faible mais envenimée, et sa chair se nécrose rapidement. Il essaie de reculer le plus loin possible, pendant que les renforts arrivent enfin. L'orc tombe au sol, la douleur le lançant, et bientôt Lady Shivah s'approche pour l'examiner, envoie L-X préparer un puissant anti-venin. Rattrapée par les prioritées, elle doit aller jusqu'à la porte essayer de la refermer à l'aide de sa carte électronique, demandant à XIX de veiller sur Betred.
C'est à travers le voile qui couvre les yeux que l'orc voit une importante masse de personne, de tout statut et des deux secteurs, ramener le front jusqu'à la porte et tenter diverses méthodes pour refermer la porte, tandis qu'un médecin rebelle lui prodigue les premiers soins et que quelques personnes l'entourent. L-X revient lui administrer l'anti-venin, puis il est transporté jusqu'à une chambre de l'hôpital, où il allait pouvoir se reposer et être soigné. Des instruments d'analyse sont branchés et son com' lui est retiré, un message laconique répond automatiquement à toutes les tentatives de communication. Combien de temps y restera-t-il ?

Ce qui est sûr, c'est qu'il dort paisiblement, bercé par les légers bruits des appareils ...

Bip ... Bip ... Bip ...

Voilà des heures que l'elfette sanguinaire tenez son poste de garde, allant-venant entre les deux portes du sud du secteur rebelle. Une bête était entrée par la porte Ouest. Combat engagé par les plus expérimentés mais elle avait réussi à s'échapper.

La nuit allait être longue... Très longue...

Alors que le semi Orc sortait de la matrice , il entreprit de chercher les betes.
Il en trouva une et appela vite du renfort pendant qu'il l'attaquait , il tenait bon mais un seul mouvement de tete de sa part lui couta la vie.
Le coup de griffes lui arracha la peau sur le torse , il tomba a terre , la bete vint sur lui le manger avec appetit alors qu'elle poursuivit ensuite son frere.



PUTAIN DE SALE BEBEYTE J'LUI AURAIT PAS DONNER DE STEAK A CELLE CI !

La sanguinaire s'ennuyait ferme. Après une autorisation accordée, elle part patrouiller non loin des ST. RAS... comme d'hab... Sauf que sur le retour, elle se retrouve nez à nez avec LA bête, Ranidé et Norhs qui lui courrait après en la carnadant.

Ni une ni deux, elle voit des com' prévenant des renforts et donnant l'alerte dans les ST pour prévenir les plongeurs. Elle avait passé l'aprem a gérer des équipes de patrouille... Là elle décida de prendre les devant, récupérants quelques combattants sur sa route, elle vas se poster avec eux devant le Cm, afin de servir de barrière et d'avoir le temps de prévenir Junajo dans la salle marticielle, au besoin.

Eda etait sorti des sous terrains quand elle croisa un truc volant non identifié. Du coup, elle se joignit au combat, cependant, la bestiole la piqua avec son dard, tétanisant la petite humaine sur place, donnant encore plus de travail aux forces de l'ordre.

Réception des données de la réparation

Archives X
*servo-moteur démonté, réparation = impossible.
cause : broyé
incidence : lenteur et déplacement du point de gravité G1
Effet G1 : équilibre principale de type primordial
Travaux : débranchement du servo-moteur de la partie droite de la jambe. remplacement du servo-moteur. intégration au système. configuration. test de fonctionnement.

Résultat : Opérationnel
Lieu : Arrière boutique Larobaze


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*réception des données sur son deck éteint depuis des cycles*

...Boot des deck...réception des données...

Adresse enregistrée, ST.

Ranidé fini par croiser l'une des créatures, elle était en train de de déchainer sur un Jeune rebelle. Armé de son FI il s'empressa de la prendre en chasse, elle prit la fuite laissant derrière elle une pauvre victime éventrée. Le lézard commença à vider ses chargeurs et fut agréablement surpris en voyant Nohrs lui venir en aide. Après une longue course elle fini par disparaitre à l'horizon...

1ch du mat'.

L'elfette est contente de son taff', du monde est venu surveiller le cm. Elle décide donc de laisser le commandement à l'un d'eux et file se coucher... Demain sa recommencera encore...

Silver se promena dans les ST quand il vis une des créature il se prépara au combat quand jack arriva en ST. Silver se retourna et la créature avais disparut un mirage ou une réalité ?

Le kob' patrouillait en ville pour trouver cette créature mais ne la trouva pas demain peut être...

Pour Aazya, cette nuit avait été une fin du monde, et son apocalypse personnelle continuait de la consumer, et de la dévaster de l'intérieur.
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Jouant avec la mousse de son expresso avec le bout de sa cuillère, installée à son bureau dans les locaux de l'"Armacham Bullet", accoudée, la joue posée au creux de la main, elle se remémorait la nuit, avec la l'impression effrayante de se remémorer une vie.
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Arrivée en retard à l'appel lancé par la Legata, elle s'était rendue au Cdo, ou l'officier Boyka l'avait intégrée à son unité en dernière minute.
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Elle avait découvert la cohèsion de groupe et la sensation de force qu'elle inspirait, attendu avec son unité un ennemi qui n'était pas venu.
Elle avait participé a garder cette ultime barricade, derrière laquelle, dans les locaux du centre journalistique, les meilleurs deckers plongeurs de l'imperium luttaient contre l'indicible.
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A chaque fois que son com vibrait et qu'elle lisait discretement le message transmis, les braises qui couvaient secretement en elle s'attisaient un peu plus, le brasier se propageant si vite qu'elle en suffoquait deja, a bout d'oxygène.
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Et l'explosion etait survenue.
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La déflagration avait déchiré le silence pesant de l'attente, et une longue colonne de feu était montée à l'assaut du smog, au sud, dans la zone du cratère.
Les infos étaient vite tombées, une conduite de gaz avait explosé et le feu ravageait les vieux quartiers du sud.
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A plusieurs reprises, l'officier avait du lui ordonné de garder la position, alors qu'elle trépignait de lancer son over vers le sud pour aller voir sur place cet incendie qui illuminait le smog.
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Deux jours plus tôt, alors qu'elle flanait comme souvent aux abords du cratère, accroupie sur son over planant sur son coussin d'air a quelques centimetres du sol, son propre incendie s'était déclaré à l'approche d'une flamme si vive et si chaude qu'on ne pouvait qu'en approcher la main pour en apprécier l'incandescence, et s'y brûler.
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L'ordre avait ensuite été donné de faire mouvement vers le sud pour aller aider a la lutte contre le feu, et l'unité s'était rendue sur les lieux.
Aazya s'était retrouvée avec l'ex Agent du CdO Betred a tenir une des multiples lance à eau grace auxquelles l'incendie du sud avait fini par etre maitrisé.
Elle avait regardé mourir la longue colonne de feu, qui lui avait semblé n'etre que la flamme vacillante d'un briquet qu'elle était venue souffler, en comparaison du feu qui brulait en elle, sous son armure, et continuait de la consumer .
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Dans le brasier mourant, les cendres de son insouciance de jeunesse s'étaient dispersées au vent, et elle tentait de garder un peu de ce qui restait de son innocence, se réfugiant derrière les murs de son dernier bastion, alors même qu'elle se drapait de la bannière de l'ennemi, élaborant ses défenses tout en se demandant si elle trouverait le plus important,
le refus d'être vaincue.
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Et le reste de la nuit, apres la lutte contre le feu, lui avait montré la fragilité de sa forteresse.
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Son com sonna et la tira de ses réflexions.
les mots, comme un souffle pyromane, attisèrent de nouveau les flammes couvantes, alors que de l'extérieur des locaux de l'entreprise sourdaient en continu les rafales d'armes automatique et les sirènes d'alarmes.
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Celle de son apocalypse.

Un réveil. Sortie de comas, sans artifices, sans machines, sans aide. Une lutte avec des anti-corps, ce genre de conneries.
Déshydratée. Asséchée. La peau sur les os. Une année de maladie, ça creuse. La boîte de couquiz qu'un homme lui avait passé au bar lors de sa dernière sortie officielle était posée là, non loin. Bouche trop sèche pour manger. D'abord boire. Le respirateur tourne à plein régime. Se rendormir, un peu, sans fièvre ni cauchemars, juste du repos.

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Un réveil. Un aitl. Un deck qui déconne encore, les nouvelles qui tournent en boucle sur les différents hologrammes activés d'une main tremblante.
Apocalypse. Alors en fait, quand on dort, le monde continue vraiment de tourner ? Peut-être qu'elle est juste vraiment morte.
Un appel à la rencontre avec la mère de tous. Ça doit être ça. Elle doit être vraiment morte, perdue dans un univers matriciel qui lui ressemble bien. Monstres, sang, bordel dans tous les coins. Puis la Mère de Tous. Ouais. Elle sourit, couquiz entre les crocs.
Au moins dans son univers matriciel, elle ne les a pas oubliés, avant de clamser.
Il est où, le Skiwi ?

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Un réveil. Une grimace sous le respirateur. Juron poussé, deck fourré dans le sac, boîte de biscuits éventrée sur le sol et un overboard sous les pieds. La magie d'un air saturé de fumées toujours lourdes dues aux incendies de la veille. Un truc du genre. Elle n'a rien suivi, s'en bat le steak d'Elfe.
Redécouvrir la ville, dix années d'existence dont une moitié oubliée, plus ou moins, avec qui elle a longuement fleurté ces dernières heptades. Un code d'accès qui reste introuvable, mais l'overbard la guide.
Pourquoi vers les STs ? Elle n'avait pas compris que la rencontre se ferait matriciellement, là, chez elle. Qu'elle pouvait y rester à son aise.
L'annexe, les couloirs, elle crapahute avec son respirateur qui lui balance un air pur au visage, sous la capuche qui ne la quitte plus. Personne.
Que des ombres qui ont cru aussi, que. Mais non. Des reflets de decks sur les murs, elle reste là, planquée, allume son deck.

-

Un réveil. Thallys. La matrice. Avatar activé. Préparé depuis des mois, pas vraiment achevé, une dernière ligne de code pour un magnifique respirateur dont elle ne peut plus se passer. Chez elle. La matrice.
Elle fait semblant de s'en foutre. Les nouvelles sont...Elles sont sans noms, sans mot. Des connaissances, des visages découverts, des questions encore et encore et...
Déconnexion.
Si elle est vraiment morte et plongée dans son propre Univers matriciel, elle a dû déconner. P't'être qu'elle avait déjà de la fièvre quand elle a codé les dernières lignes. Peut-être.
Tiens. Les STs.

-

Un Elfe, une petite humaine et une longue discussion. Le Sud de la ville. Des visages inconnus pour la plupart, ce que peut faire un système de modélisation aléatoire, c'est dingue.
Mais si elle était en vie, après tout ? La douleur dans les bronches, le côté surréaliste de la chose. Elle pouvait pas délirer à ce point, non. Tout est trop vrai. Une matrice dans une matrice, en plus, c'est farfelu.
Putain. Elle est en vie.

-

« Allez, ouvre toi. »
Le digicode tombe au troisième essai. Bottes retirées, respirateur rechargé, et ce visage connu qui roupille.
C'est bon, d'être chez soi.
C'est bon, d'être en vie.

C'est la fin de l'humanité, peut-être. Mais nous vivons. Vivons encore, le temps et le peu qu'il nous reste à vivre.

..Les enfants avaient été gâtés.

L'expérience contaminée par les variables léthales, mortelles.

L'érudit lui, fut dévasté par ce qui s'amorçait, l'on venait visiblement de prendre l'Humanité, ficelée, posée dans un baril et envoyée rouler en bas d'un ravin. Ce n'était plus qu'un question de temps avant qu'ils s'éteignent, à savoir des choses qu'ils ne peuvent comprendre, apréhender, interpréter de manière convenable.

La retraite devrait donc être précipitée, partir, seul, préparer le terrain pour quand il ne restera qu'ossements de la Vie, afin qu'elle puisse fleurir une fois encore.

Oline aura patrouillée une bonne partie de la nuit, croisant a six reprise les créatures qui passaient de toit en toit ou tout simplement virevoltaient hors d'attente.

parfois seules dans le quartier d'ARMACHAM, parfois accompagnée d'illustres inconnus
voir soudain submergée par les forces armées et les milices complètements désordonnés.

Une choses était certaine, elle sentait que devant ces choses elle ne pouvait rien et ça l'a frustré.
Elle avait pourtant poursuivie une bête volante jusque dans le hall du militarium.
La elle tenta de la plaquer dans l'angle dans lequel la chose s'était réfugiée mais rien y avait fait.
Pas même la trentaine de soldat qui avait ouvert le feux. On avait bien barricadé la sortie, mais là encore cette créature avait réussis l'impossible.

Oline ne pouvait pas s'empêcher de penser qu'une seule de ces bêtes avait pus mettre en défaite autant de monde. quand serait il quand les oeufs qu'elle avait semée un peu partout, viendraient a éclore.

La jeune femme s'était alors épuisée a chercher les nids, allant d'un taudis a l'autre, fouillant les offices Impérial et les magasins. mais là encore l'échec.

Dans quelques jours quand ces créatures commenceront a naitre et se développer sous forme de ruche ce sera effectivement la fin