L'elfe ne dormait que d'un oeil lorsque son com' vint le sortir de sa torpeur.

Après un rapide coup d'oeil sur le canal réserve et quelques râles et jurons quand au cycle tardif il ce contenta de surveiller son com' et son AITL fusil à la main, restant bien au chaud sans traverser la moitier de la ville ni affronter le smog.

Sans nouvelle alerte ni d'agrandissement de la rubrique nécro il recommença à râler, après l'imbécile cette fois, qui lançait pour lui une nouvelle fausse alerte surement pour tester la réactivité...

Il finit par retourner à son occupation ô combien plus passionnante sans prendre la peine de ce renseigner malgré sa curiosité habituelle, ce disant que le DCN en parlerait surement dans la journée annonçant le travail exemplaire des mécano contre les hordes barbares.

L'elfette était en pleine soirée de relaxation, assise au banc d'un bar, cocktail inhabituel à la main.

Riant, s'amusant, elle discutait de tout et de rien lorsqu'une ombre pénétra l'établissement, silencieuse. Après un court moment, elle identifia un vieil ami, l'air grave. Il ne voulait pas consommer, ne voulait rien d'autre qu'un cafey. Elle ne s'en formalisa pas plus longtemps, pour une seule raison: c'était un vautour, et essayer de comprendre ses moindres faits et gestes l'aurait plus épuisée qu'autre chose. Ce soir, elle se détendait suite à une dure journée de labeur.

Il pris toutefois parole, après un temps, annonçant quelques mauvaises nouvelles. Le sas avait grondé. Le sas, hermétiquement fermé, avait été gratté, abimé. Celui-ci était supposément sous surveillance, mais le Militaire émit tout de même un avertissement: ne pas traîner en ville. Surveiller ses arrières.

« J'en ai vue, des monstres. Mais des comme ça.. Jamais. »

L'orc s'entraînait avec une humaine rousse au Militarium lorsqu'il entendit l'alarme du sas.

3 coups donnés et pas que des petits.

Deux militaires sont rapidement descendu, le général lui-même et une elfe, si l'orc avait bien entendu les messages à son oreillette.
Quelque chose de puissant s'était cogné contre les murs, le sas était un peu esquinté à sa base. Même salement. Comme si on avait joué du tranchoir en fusion contre les barreaux et laissé une trace, mais c'étaient assurément des griffes. Des bruits retentissaient étranges plus loin et les rats semblaient fortement affolés.

L'orc n'entendit plus aucune nouvelle des militaires en bas pendant au moins 20 cycles-minutaires avant que le sas ne soit à nouveau frappé lourdement à plusieurs reprises.
Une alerte fut donné à réparer le sas rapidement. L'orc entendit un autre message comme quoi le général était dans un sale état et qu'une énorme bestiole frappait le sas.

Quelques cycle-minutaire plus tard un cris ce fut entendre dans tout le Militarium :
« Rahhh, par la sainte barbe putain ça brule !! »

C'était bien lui...
Peu importe ce qu'était cette chose... elle ne devait absolument pas passer le sas.

L'humain se reveilla enfin reposé apres sa premiere vraie nuit depuis 3 jours.

Par reflexe il veilla à ce que l'amie fut toujours bien couché dans la chambre, consultant son com' sur la route, il haussa un sourcil quand il vu le canal de la reserve activé, pour autre chose qu'une querelle ou demande d'entrainement.

"hmm... encore ces cons d'hostis ?? " pensa-t-il à voix haute avant de ce rappeler que grievous aussi imbuvable soit-il, jamais il ne l'avait vu utiliser le mot extremement, et le silence radio suite à cette appel inquieta l'humain qui se rendit rapidement dans sa salle securisé pour y enfiler son armure de combat lourde.

Il prit son temps, rien, hormis ce com sans suite n'avait filtré, personne en ville, personne aux bars, AITL vierge de necro et pour finir le tout ... il entra au militarium, se posa non loin du SAS verrouillé et ce laissa glisser le long du mur, arme sur les genoux, attendant une alerte du SAS ou bien un e info des presents de cette nuit.

"La journée va etre longue je sent ..hmm .."

A la reception du com' du général, Djoogo ce leva et se rendit hors militarium n'ayant pas les accreditations et fila se poser à l'annexe, le seul lieu ou il fut possible de veiller le SAS hors mili.
Alors qu'il se leva, un enormoe GOOOONK se fit entendre, toute la salle du SAS trembla sous un impact venu de dessus, l'humain fronca et saisit le crosse fermement de son arma.

Il s'approcha et n'entendit plus rien , le calme, si inquietant apres un evenementqui pour lui, n'annoncait rien de bon si l'on couplé les dires de nayyko arrivant, lui parlant d'une bete, et le com' du general lui precisant qu'il avait perdu un bras la veille.

Ca va etre long !

Nefer venait de passer l'une des plus belles nuits de toutes ses courtes vies, et ne se doutait en rien du danger vrombissant en approche de la terre sacrée.

Elle suivais l'affaire, comment toutes les affaires du SI depuis les divers sources d'informations quelle pouvais avoir, pour une fois elle n'était au au loin en observatrice mais avais un moyen direct de s'informer, de comprendre, d'apprendre. Elle attendais la suite, la patience est toujours récompensé même si bien souvent les instances officiels avalé l'affaire pour que personne d'autre ne puisse savoir.

Dans un coin miteux de la ville, le com' vibrant et clignotant semblait être la seule source de luminosité de la petite pièce désaffectée.

Une vive lumière envahit soudainement une partie du pseudo-habitacle, révélant un corps étendu sur un canapé éventré zonant au milieu d'un tout de saletés. Des données, des messages, des annonces, une toute particulière l'intéressant. Un retour.
Le reste n'était que le cycle habituel du je vais je viens dans une Éternité sans fin.

Le froid smog matinal embrumait encore la Cité aux immenses gratte-ciels, masquant ainsi la vue que pouvaient offrir les vitres de chaque habitation Impériale. Le bruit des technopôles résonnait jusqu'aux appartements des Citoyens, depuis l'Ouest de la Cité à la Haute-Ville en passant par sa périphérie.
La jeune brune s'éveillait à peine sous ces récurrences quotidiennes. Ses cheveux emmêlés qui étaient disséminés sur son oreiller, la marque du sommeil imprimée sur sa joue, les paupières partiellement ouvertes alors que son regard verdâtre balayait sans discontinuer le plafond, c'est encore et toujours le même épisode lorsqu'une énième journée commence en Dreadcast.

Son communicateur, vibrant par intermittence, l'avait appelée. Le clignotement rougeâtre, signe de nouveaux messages sur ses habituels canaux de communication, ne cessait de l'interpeller au coin de l'oeil depuis qu'elle avait quitté son sommeil. Elle pivotait la tête, geste aussi machinal et récurrent que les précédents, en projetant une main réchauffée de cycles passés sous la couette pour attraper l'appareil pour le moins récalcitrant. Un bouton s'active, un écran s'allume et un message apparaît. Pour sûr, le cafey avait trouvé son maître : une créature bien étrange qui menacerait le Secteur, et cela avait permis à Elenya de retrouver ses esprits en un temps record.

Le Major dégageait d'un geste aussi vif que pressé la couette couvrant le reste de son corps pour bondir du lit et foncer vers les quartiers où elle pourra se préparer à toute éventualité : salle de bain, dressing, armurerie personnelle. Bref. Elle restera attentive à tout mouvement, prête à se déplacer dès qu'il faudra intervenir. Mais pour l'heure, son imagination la plongera dans diverses fantaisies sans doute liées à des souvenirs qui refaisaient surface, à un passé peu lointain.

Dans les alentours du 10ème Cycle horaire
Rue Hector Calver en zone sud.

La jeune femme rousse sort d'un building modeste, à peine coiffée à peine habillée elle s'empresse de partir quand les premières gouttes acides viennent marteler le bitume autour d'elle, elle s’abrite en râlant dans le premier hall à sa portée, maudissant ce début de journée.
Dans la foulée deux Orcs franchissent les portes, en pleine conversation ils ne remarquent même pas sa présence.



Finalement ils s'entendent sur cette version s'en suit d'autres grossièretés du genre. La jeune femme qui guette avec impatience la fin de l’averse roule des yeux puis s'échappe vers la sortie d'un pas décidé pour une fois.



Elle gronde sourdement et leur lance à peine un regard en claquant la porte vitrée derrière elle...Dehors le répit est de courte durée.

Un estomac normalement constitué aurait annoncé midi lorsqu'elle passa les SAS de décontamination. Il fallut plusieurs cycles de suppositions, pour finalement apprendre qu'on lui avait coupé la main. Bien qu'elle ne se résignait jamais à ce genre de choses, la rouge aux reflets mauves avait acquiescé derrière son écran : c'était la meilleure des solutions. Plus encore face au spectacle immonde qu'elle avait vu sans même en voir l'auteur.
Son estomac lui avait crié de vomir sa bile au sentir de l'odeur pestilentielle, mais elle était parvenue à se retenir. A présent, le nain devrait ronger son frein en attendant une greffe. Elle avait voulu lui apporter un pix, pour l'aider à patienter, ne jamais abandonner un patient.. Mais une tout autre patiente s'était profilé, et jusqu'aux aurores, elle était parvenue à repousser l'idée de ce qui pouvait peupler alors les souterrains.

Mais les souvenirs rattrapent toujours. Peu importe le nombre de bestioles terribles que l'on a vu dans sa vie, peu importe leur sorte.
Une fois que l'elfe fut sortie de la chambre de la patiente, alors qu'elle y restait, elle avait soupiré.

« Des hommes entiers, un bras, des façades d'immeubles.. Qu'est-ce que ça sera cette fois..? »

Quelques rapports, une petite dispute sur son com, et un FP venait aujourd'hui égayer la journée de l'elfe qui n'avait de cesse de s'entrainer dans un léger nuage de fumée formé par sa bloody. Son regard parcourait les données qui lui étaient transmise en nombre mais il ne semblait pas y apporter une grande attention. A ses yeux ce n'étaient qu'une créature exogène. Certes elle pourrait venir à en tuer plusieurs mais la bête, elle, n'était pas immortel et ce n'était certainement pas la première fois que ce genre d'incident arrivait. Un problème parmis tant d'autre et la gestion de la Réserve lui prenait déjà bien plus de temps. Il garda cependant un oeil sur l'évolution de la situation, après tout la curiosité n'était pas que le propre de l'espèce humaine et il pouvait être appelé au combat à tout instant.

Le reste n'était que le cycle habituel du je vais je viens dans une Éternité sans fin.

S'étirant lentement dans son canapé explosée, la Frange finit par se redresser et s'éloigne de celui-ci pour se dégourdir les jambes.
Au détour d'un couloir, une odeur nauséabonde, encore un qui s'était cru au bon endroit pour s'accroupir et se défaire d'un poids dans un coin. Immonde.
Un chuchotis, et toujours cette puanteur, elle allait lui expliquer quelques trucs à cet intrus.
Un pas, puis deux, puis... une ombre tombant du plafond, un truc tout moche, pas beau et puant comme elle dirait. Son seul et unique réflexe, brandir une lame énergétique vers la source du danger. Réflexe trop lent, inefficace, des serres géantes s'emparent d'elle et la font tourbillonner dans un océan de douleurs.
Pendue aux côtés d'un vieux traître, la discussion s'engage avec l'ombre. A coups de sifflotements, de grincements, de couinements, de gémissements, de chansonnettes et de frappes.

Perdue au détour d'un bâtiment abandonné et désaffecté depuis trop longtemps. Lieu d'histoires, et de rencontres, elle comprend que même s'ils venaient à être sauvés, la seule option serait la cuve, sombre, frigorifiante et pas forcément salvatrice. Ils oubliaient si vite, mais combien n'en ressortaient pas de ce paradis ténébreux ? De ce cadeau empoisonné. Beaucoup trop, et si elle était la suivante ?

Qu'importe ce que faisait cette bestiole dans la cité aux secteurs. Elle serait peut-être sa dernière image. Mourir au côté d'un vieil ennemi, il y a forcément mieux. Et sans aucun doute bien pire.

« Non ! »
Le coeur dans la gorge bat de mille coups de canon, l'empêchant d'avaler une goulée d'air. Son corps tout entier tremble au milieu des draps marqués des affres de la luxure ayant précédé l'orgueil. La main moite passe sur son visage en nage.
A part le reflet holographique d'une IA inquiète, rien d'autre ne la juge dans cette chambre vide.
L'arme et le respirateur sont là où ils sont toujours ; à portée de main. En y portant le métal de la sienne, elle brise l'épais nuage qui la maintenait dans le cauchemar et enfin, elle respire.

Un jour de plus à Dreadcast. Un rituel répété, se lever, ouvrir son deck, allumer ses implants de communication, se rendre dans la salle de bain où, au lieu de se faire peur en croisant son regard dans le miroir, elle avise les nouvelles de l'aitl que lui projette l'IA qui ne dit mot.

Après avoir essuyé son visage, elle ouvre la pharmacie, s'empare d'une flasque de Skiwi qu'elle vide, jette, puis quitte la salle d'eau pour se vêtir de son quotidien.
Dix messages en attente. Elle s'assied à son bureau, ouvre le premier fil de communication, laisse défiler les messages pendant qu'elle se sert à cafey serré mais froid.

Plusieurs jours que l'inquiétude la gagne. Ignorant ce qu'il se passe en SR et dans les STs, elle est, néanmoins, bien au courant de ce qui se déroule ici, dans son secteur. L'odeur du cramé, à laquelle elle s'est peu à peu habituée, emplit toujours sa veste sous les volutes de cigarettes.
Incendies, explosions...
Elle regarde un moment le plafond, dans un rare instant de calme, comme s'il allait lui donner la solution. Les réponses arriveront ce soir. Du moins, c'est ce qu'elle espère.

« Emily. Un message important. »

D'un geste bref qu'il comprend, elle lui indique de transmettre le contenu du message sur l'écran devant elle. Lui-même apparaît, fade sur la fenêtre qui offre une vue imprenable sur la ville, malgré le Smog gris.

Mais ni la ville ni l'IA ne peuvent plus à présent l'extirper de ses pensées. La tasse de cafey regagne durement le bois synthétique du bureau, tandis que l'humaine se mord l'intérieur d'une joue à s'en faire saigner.

Non, non, pas encore...

Le troll suivait comme à chaque fois le peu d'infos qu'il obtenait sur les bizarreries venant de l'extérieur. Cette fois-ci cela se passait en ST.
Les militaires comme souvent, au comble de l'égoïsme se gardaient le droit d'accès, de cuve et de prélèvement de viande pour eux, sauf qu'ils ne prenaient pas la viande ces hérétiques. La réserve était mise de côté comme d'habitude alors que la menace semblait grande.
Le troll rôdait autour du mili, à l'annexe puis alla se poser dans le bar du Sud avec un ami, pestant sans haine, habitué à la chose :
"Espérons qu'il crèvent tous rapidement et que les saloperies des ST pètent le SAS et montent nous vouar ...

Incapable de se lever, livide. Incapable d'aider, de protéger ceux qu'elle aimait, de protéger la terre sacrée... La petite demoiselle était clouée au lit, dans l'un des lieux les plus surveillés et protégés de la ville, impuissante. Elle gardait ses yeux noirs sur les rares nouvelles données par la DCN TV, toute seule, dans l'immense chambre tapissée de drapeaux Impériaux.

Tes mains se perdent dans le smog, dans les décombres que tu remues. D'un geste rageur, tu te relèves, pestes contre toi-même. Pauvre petite vautourde à moitié aveugle, qui s’abîme les mains pour trouver quelque chose qui semble la fuir, désormais. Tu regardes les alentours, mais n'y vois rien. Aucune couleur, rien. Que le gris ambiant de cette foutue ville et le smog... Déjà que t'y vois plus grand chose, la situation n'aide pas. Puis tu avances, vas ailleurs, replonges tes mains dans la poussière et les débris, espérant trouver ce foutu graal. T'aurais pu te sentir comme un chevalier de la table ronde si c'était connu, par chez vous. À la place, tu sens moins que rien à pas trouver. Et autant dire qu'aujourd'hui, c'était la spécialité. Tout t'as échappé. Rien de concluant. Et pourtant, même un gnoll pourrait être moins tenace que toi.

Alors, quand on t'a parlé de la fameuse bête qui rôde près du SAS... Au fond, tu t'ai juste inquiétée pour les quelques militaires que tu connais. T'apprécies d'être au courant, bien sûr, mais... Mais au fond, tu t'en fiches un peu, à cet instant. Tu te fiches de savoir que c'est le plasma qui semble fonctionner contre, parce que de toute manière, tu ne sais pas tirer, tu ne peux pas viser et t'en a pas, d'armes à plasma. Et t'en auras sûrement même jamais.
Alors, qu'elle vienne, la bête. Tu ne la verrais même pas, obsédée par l'idée d'en déterrer un. Un de ces foutues cubes de couleurs... Tu ne vois peut-être pas correctement, mais tu pourras les distinguer, ces couleurs à lui...

Pour elle au pire, elle n'aura qu'à te baver de l'acide dans le cou. T'empêcheras pas de rester dehors.

- Comme d'hab'...

ça avait été sa phrase du jour.

Son compagnon malade n'avait pas ouvert l'oeil aujourd'hui. Comme d'hab'.
Elle l'avait veillé, attendu, espéré, soigné, choyé. Comme d'hab'.

Son com' avait sonné.. l'image de Djoogo était apparue. Comme d'hab'. Et ils avaient échangé quelques mots. Rien d'important. Rien de transcendant, juste des nouvelles, des inquiétudes l'un pour l'autre, comme d'hab'.
Puis...

- Au passage, y'a un drole de truc en ST apparemment!
-Un drôle d'truc genre quoi ?
- genre grosse bete qui fait trembler toute la salle SAS en un coup.
- M'ah... De toute comme d'hab' quand il s'passe quelqu'chose, ça va être mis sous responsabilité mili et CDO, donc au final ça m'importe peu.

Oui, elle râle comme d'hab'.
Après tout elle n'est qu'une citoyenne impie, ignorante. De seconde zone.
Une idiote qui ne comprend rien à rien, de mauvaise foi et de mauvaise volonté.
Bref, elle est Zorah.

Surprotégée de 3 couches étanches anti-bestiole composée de Masque, Gants, Combinaison Tech, protection dermique, sous-vêtements, la féline avait suivit un appel. D'un pas caotchouchrouté, elle traversa le Militarium vide, délaissé.
Ne voyant personne Zalaniz s'était engagée vers le SAS.
Ne voyant nulle interdiction de l'accès, le Sas grand béant ouvert, elle s'y engouffra à la recherche des Troupes impériales...
Avançant seule dans le noir et le glauque des sousterrains, traversant la salle centrale ... personne non plus.
Elle allait porter assistance.
Au Détour d'un carrefour elle tomba sur le Général Naugriim qui compta un compte à rebours pour la chasser abruptement des sous-terrains.
Encore une fois et comme toujours, il fut impossible d'aider de participer de respirer de vivre sans autorisation même à travers des filtres.
A grand renforts, petits moyens donc.
Inutile de participer. Citoyen vous n'en valez pas la peine.
Elle regagna la sortie d'où elle était venue.
L'aventure s'arrêtait là.

Sirotant un verre à moitié dénudée dès qu'elle pu, elle sirotait oui... mon Empereur que ces couches étaient étanches!

Jour 1 de l'an 260.5

La naine est assise face à l'Ambassadrice pour une mise à plat dans les formes. Quelques civilités échangées, toujours le même refrain. Personne n'a rien contre personne dans la mesure où chacun va dans le même sens.
Les dossiers des uns et des autres ronfleront dans les fonds de tiroirs, "verba volant, scripta manent" ceci dit, ne soyons pas idiots non plus... dans la mesure ou les orgueilleux d'Armacham s'engageront fortement à la Reserve..
Rien de nouveau sous le smog, quoi.. juste que c'est dit clairement, enfin presque, pour une fois.

Bien sur, bien sur grommelle la naine en son fort intérieur... nom d'un gnoll castré, nous y sommes presque.. enfin, si elle fout la paix à Aklass qui est bien le seul à pouvoir fédérer un peu là bas.

Vale, Vale, Qu'Il vous garde.. Tous à la Reserve, Oui, oui c'est en cours, sommes d'accord ... enfin, si à notre manière, faut pas exagérer non plus..

La tête s'incline par réflexe, la naine jette son pass VIP du soir, ouvre son comm une fois le seuil de l'Ambassade franchit.


Et là.. un refoulé pour l'opération dans les ST, deux refoulés, trois refoulés, quatre refoulés .. aah, non, elle, elle n'y croyait tellement pas qu'elle n'a même pas tenté d'essayer.. cinq refoulé.. zut, celui là, il a quitté la Reserve hier, c'est vrai, après s'être fait envoyé bouler.


C'est pas gagné, franchement, pour l'unité face à l'adversité se dit la naine. Avec ce genre d'écureuilleries, c'est à la loupe que je vais arriver à trouver des motivés.
Paradoxe d'une soirée à la con, une de plus..