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[EVENT OFFICIEL] Stigmates de la Lame
Créé par Asuka~37618 le 29 Juin 2013 à 14:05
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Visible par tout le monde
News — Infos !
Inconnu
Posté le 06 Juillet 2013 à 21:51
#201
Ynaelle~34750
Posté le 06 Juillet 2013 à 22:07
#202
Une nuit à jouer, encore une. Quelques morts, quelques coups de tronço, des coups d'rollers..hoooo une mort'gane, chouette. Pendant que le gnoll finit l'elfe elle sirote, se servant dans le frigo de la future cible du CLE.
Une promesse de rendez-vous au retour, l'Arène impériale. Elle lit le message mi amusée mi inquiète mais le défi est plus fort. Elle accepte et se rendra le lendemain à l'Arène.
Sautiller en silence dans les rangs, elle sait qu'ils les ont vu mais le deck tourne, la cam' tourne, objectivité...seul le deck peut la donner..le reste est toujours modifié. Le reste est inutile. Même le deck peut mentir ?
Enregistrement ok. Elle file. Un clone en plus pour quelqu'un ce soir. La base de données du CdC doit être amusante, c'est elle la vraie source d'histoire peut-être.
Un léger message sur l'AITL. Une réponse lui parvient. Quels idéaux ? Elle sourit, amusée. Bonne question au final. Les siens ? Les leurs ? Un leurre ?
Une promesse de rendez-vous au retour, l'Arène impériale. Elle lit le message mi amusée mi inquiète mais le défi est plus fort. Elle accepte et se rendra le lendemain à l'Arène.
Sautiller en silence dans les rangs, elle sait qu'ils les ont vu mais le deck tourne, la cam' tourne, objectivité...seul le deck peut la donner..le reste est toujours modifié. Le reste est inutile. Même le deck peut mentir ?
Enregistrement ok. Elle file. Un clone en plus pour quelqu'un ce soir. La base de données du CdC doit être amusante, c'est elle la vraie source d'histoire peut-être.
Un léger message sur l'AITL. Une réponse lui parvient. Quels idéaux ? Elle sourit, amusée. Bonne question au final. Les siens ? Les leurs ? Un leurre ?
Yonbaïke~41026
Posté le 06 Juillet 2013 à 22:23
#203
Une salle. Son antre, plutôt. L'attente du repos pour ce remettre de cette mise en cuve déjà bien difficile. Rassurée par la présence à proximité de sa chérie, de son deck, et la console à nanomachines, tant de choses précieuses à son coeur et technologiquement avancées présentes dans un espace si restreint, Yonbaïke veille, aux aguets.
A part ID, toujours matriciellement actif - mais après tout, c'est sans doute son corps physique qui lui correspondait le moins - , les rapports d'Ynaëlle, c'était comme si les anciens avaient disparus. Avalés par le trou noir dont ils étaient sortis, leur présence avec eux. Elle regrettait presque de ne pas avoir gardé son mégot, ce foutu mégot en souvenir de Fraz.
Puis lui parvinrent les rapports de sources diverses. Elle lâcha un soupir. Le fin mot de l'histoire ne lui échappait pas, mais elle le trouvait amer sur la langue. Elle se renfonça dans son lit, hors jeux pour le moment, devant compter sur ses compatriotes pour porter haut les idéaux des fondateurs avant que ceux-ci ne s'éteigne. Une flamme assez fragile pour être soufflée à la moindre bourrasque. Mais une flamme qui, assez entretenue, pourrait faire brûler des secteurs entiers.
A part ID, toujours matriciellement actif - mais après tout, c'est sans doute son corps physique qui lui correspondait le moins - , les rapports d'Ynaëlle, c'était comme si les anciens avaient disparus. Avalés par le trou noir dont ils étaient sortis, leur présence avec eux. Elle regrettait presque de ne pas avoir gardé son mégot, ce foutu mégot en souvenir de Fraz.
Puis lui parvinrent les rapports de sources diverses. Elle lâcha un soupir. Le fin mot de l'histoire ne lui échappait pas, mais elle le trouvait amer sur la langue. Elle se renfonça dans son lit, hors jeux pour le moment, devant compter sur ses compatriotes pour porter haut les idéaux des fondateurs avant que ceux-ci ne s'éteigne. Une flamme assez fragile pour être soufflée à la moindre bourrasque. Mais une flamme qui, assez entretenue, pourrait faire brûler des secteurs entiers.
Inconnu
Posté le 07 Juillet 2013 à 00:36
#204
Ella~7202
Posté le 07 Juillet 2013 à 02:53
#205
Une annonce, un duel...je regarde l'annonce de Czevak, qui parle d'un duel entre lui et un, des anciens Drell, un moment de silence
Pleine de questions dans la tête, une idée inquiétante remonte à la surface un piège? Je contacte ma capitaine pour lui demander si on va assurer la sécurité à l'arène, elle contacte le général et rapidement, j'ai la confirmation...
j'envoie des messages aux réservistes
Il est 1h du mat et la majorité dorment déjà, quelques réponses, des peut être des confirmations... et la commence l'attente...
Je m'entraine pour passer le temps en regardant de temps en temps les nouvelles et vers 3h une autre annonce, le duel est retardé. Je prends à nouveau mon com' et j'envoie de nouveaux messages rectification de Mission
Et encore l'attente ...
Je n'arrive pas à dormir comme tous les soirs, j'essaye de passer le temps comme je peux, entrainement, des tasses de café, un regard sur la ville endormie, où rien ne bouge dehors, le calme, un calme bizarre, comme ont dit le calme avant la tempête
11h du mat, encore réveillée, une dose massive de café dans mon sang et vraiment à fleur de peau, la fatigue , la paranoïa, l'attente un dernier entrainement rapide, que je stope net en recevant un message d'une réserviste On escorte le rebelle Drell avec Lord Czevak
Un regard rapide à ma montre, il reste encore 20 minutes Hum... je regarde ma capitaine et on sort rapidement, je charge mon fusil par habitude ces derniers temps et je cours le souffle rapide. [couleur=bleue]putain je n'aurais pas dû abuser de café ce soir, une pensée qui me traverse l'esprit[/couleur]
Je m'arrête net devant un rassemblement et mon regard se pose sur Drell pour la première fois.
Je ne peux pas vraiment expliquer ce qui s'est passé à ce moment la, j'étais figée, j'étais devant un homme, un simple homme avec un masque et pourtant un ancien, un de ceux qui ont pu voir, vivre, combattre contre ou avec nos ancêtres ... peur? non aucune...stress... un peu mais ça doit être le café-là ...curiosité énormément ... si ont été dans un autre temps dans d'autres conditions, je lui demanderais probablement de me raconter des histoires de l'ancienne ère autour d'un verre... mais aujourd'hui on est ennemies c'est marrant ça, je suis juste une jeune elfe et lui probablement un maitre d'armes, pourtant la vie nous a mise des deux côtés de la balance.
La voix du Lord Czevak me réveille, quoique ça a dure quelques secondes tout ça ... allez sécuriser l'arène je m'exécute et je rentre à l'arène, quelques curieux ou visiteurs étés là, je fais le tour de l'arène en scrutant pour m'assurer qu'il n'y a personne et je reviens pour prendre ma position quelques réservistes arrivent, je leur donne des instructions et finalement l'escorte arrive, mon regard se pose à nouveau sur Drell et cette fois je ne me permets pas de réfléchir, je suis là pour sécuriser les lieux pas pour rêver.
Mise en Position, les deux combattants aux milieux, je jette juste un regard, puis je me concentre sur les alentours, je scrute, je vérifie chaque visage qui entre... un troll que je connais pas attire mon attention, puis je vois le commandant arriver, un petit sourire, puis je reprends la surveillance ...
Le combat commence, je jette un regard de temps en temps sur les deux hommes qui ne se retiennent pas, les armes changent comme l'éclaire, FI, Agri, Fl, gants hydrauliques ... un peu de tout, mais je reste concentrée.
Dans ma tête, tout disait que c'est un piège, que ça va finir avec une ambuscade, quand même les rebelles vont pas laisser leur ancien comme ça, je m'attendais à une équipe qui débarque ouvrant le feu sur tout le monde ... oui fallait pas boire autant de café et ne pas dormir ça finit comme ça
Les minutes passent longues et je me déconcentre peu à peu avec le combat, la force, la rapidité de chacun d'eux, le rire de Drell comme si... comme s'il s'attendait exactement à ça......
La sueur, le sang, le bruit des balles, du métal qui grince ... un combat pas comme les autres, un duel entre deux hommes qui portent sur les épaules, l'espoir de chaqu'une des deux villes ...
Chacun d'eux se base pour ses convictions, un ancien qui croit à une rébellion qui n'est plus la même et un jeune qui se bat pour un Empire
pour l'honneur? pour les idéaux? pour la fierté, nulle ne pourra savoir ce qui se passent dans leurs têtes à cet instant la fin arriva ... Drell tomba sous un dernier coup, Czevak soufflant même vacillant le regarde de Haut, l'Empire a gagner... la fin?
Drell: Garde ton pardon, je n'ai rien à me faire pardonner !
Des mots prononcés des deux côtés, fiers, forts, qui raisonnent dans l'arène et une dernière balle
Drell s'effondre avec le Poigns levée, pronancant ce mot la ,alors que Czevak reste debout fier malgrés les blessures , une image qui restera probablement à jamais dans ma mémoire ... un combat de titan... toute cette Guerre sans fin... prenait symbole à cet instant, dans cette arène qui me semble si, petite mais, si large en même temps je détourne le regard du corps et je m'approche de ma capitaine Mission accomplie? elle hoche la tête, j'envoie rapidement un message à lord Czevak pour le féliciter, puis je refuse Poliment une invitation pour fêter cette victoire.
Un dernier regard en arrière, je regarde le corps qui se décompose, avec une sensation, que je verrais plus cet homme, cet ancêtre et jamais il me racontera les histoires de l'ancienne ère autour d'un verre.
Parce que tout simplement, on est ennemis et on vient de deux mondes différents.
Je m'eloigne de L'arene doucement , le bruit de la derniere balle qui raisonne dans mon esprit.
Un regard aux messages d'Aitl des deux rebelles, des accusations, des paroles, mais, en fin de compte rien ne changera la réalité que c'était un combat à ne pas oublier, un combat entre le passé et le présent ...
Tout simplement un combat de vie ou de mort
Pleine de questions dans la tête, une idée inquiétante remonte à la surface un piège? Je contacte ma capitaine pour lui demander si on va assurer la sécurité à l'arène, elle contacte le général et rapidement, j'ai la confirmation...
j'envoie des messages aux réservistes
Mission de Sécurité, demain à 11H du matin, lieu l'Aréne Imperiale , Mission : securiser les lieux pendant le duel de Lord Czevak et Le rebelle Drell
Pour ceux qui seront la , veuillez confirmer
Sergent Ella
Pour ceux qui seront la , veuillez confirmer
Sergent Ella
Il est 1h du mat et la majorité dorment déjà, quelques réponses, des peut être des confirmations... et la commence l'attente...
Je m'entraine pour passer le temps en regardant de temps en temps les nouvelles et vers 3h une autre annonce, le duel est retardé. Je prends à nouveau mon com' et j'envoie de nouveaux messages rectification de Mission
Et encore l'attente ...
Je n'arrive pas à dormir comme tous les soirs, j'essaye de passer le temps comme je peux, entrainement, des tasses de café, un regard sur la ville endormie, où rien ne bouge dehors, le calme, un calme bizarre, comme ont dit le calme avant la tempête
11h du mat, encore réveillée, une dose massive de café dans mon sang et vraiment à fleur de peau, la fatigue , la paranoïa, l'attente un dernier entrainement rapide, que je stope net en recevant un message d'une réserviste On escorte le rebelle Drell avec Lord Czevak
Un regard rapide à ma montre, il reste encore 20 minutes Hum... je regarde ma capitaine et on sort rapidement, je charge mon fusil par habitude ces derniers temps et je cours le souffle rapide. [couleur=bleue]putain je n'aurais pas dû abuser de café ce soir, une pensée qui me traverse l'esprit[/couleur]
Je m'arrête net devant un rassemblement et mon regard se pose sur Drell pour la première fois.
Je ne peux pas vraiment expliquer ce qui s'est passé à ce moment la, j'étais figée, j'étais devant un homme, un simple homme avec un masque et pourtant un ancien, un de ceux qui ont pu voir, vivre, combattre contre ou avec nos ancêtres ... peur? non aucune...stress... un peu mais ça doit être le café-là ...curiosité énormément ... si ont été dans un autre temps dans d'autres conditions, je lui demanderais probablement de me raconter des histoires de l'ancienne ère autour d'un verre... mais aujourd'hui on est ennemies c'est marrant ça, je suis juste une jeune elfe et lui probablement un maitre d'armes, pourtant la vie nous a mise des deux côtés de la balance.
La voix du Lord Czevak me réveille, quoique ça a dure quelques secondes tout ça ... allez sécuriser l'arène je m'exécute et je rentre à l'arène, quelques curieux ou visiteurs étés là, je fais le tour de l'arène en scrutant pour m'assurer qu'il n'y a personne et je reviens pour prendre ma position quelques réservistes arrivent, je leur donne des instructions et finalement l'escorte arrive, mon regard se pose à nouveau sur Drell et cette fois je ne me permets pas de réfléchir, je suis là pour sécuriser les lieux pas pour rêver.
Mise en Position, les deux combattants aux milieux, je jette juste un regard, puis je me concentre sur les alentours, je scrute, je vérifie chaque visage qui entre... un troll que je connais pas attire mon attention, puis je vois le commandant arriver, un petit sourire, puis je reprends la surveillance ...
Le combat commence, je jette un regard de temps en temps sur les deux hommes qui ne se retiennent pas, les armes changent comme l'éclaire, FI, Agri, Fl, gants hydrauliques ... un peu de tout, mais je reste concentrée.
Dans ma tête, tout disait que c'est un piège, que ça va finir avec une ambuscade, quand même les rebelles vont pas laisser leur ancien comme ça, je m'attendais à une équipe qui débarque ouvrant le feu sur tout le monde ... oui fallait pas boire autant de café et ne pas dormir ça finit comme ça
Les minutes passent longues et je me déconcentre peu à peu avec le combat, la force, la rapidité de chacun d'eux, le rire de Drell comme si... comme s'il s'attendait exactement à ça......
La sueur, le sang, le bruit des balles, du métal qui grince ... un combat pas comme les autres, un duel entre deux hommes qui portent sur les épaules, l'espoir de chaqu'une des deux villes ...
Chacun d'eux se base pour ses convictions, un ancien qui croit à une rébellion qui n'est plus la même et un jeune qui se bat pour un Empire
pour l'honneur? pour les idéaux? pour la fierté, nulle ne pourra savoir ce qui se passent dans leurs têtes à cet instant la fin arriva ... Drell tomba sous un dernier coup, Czevak soufflant même vacillant le regarde de Haut, l'Empire a gagner... la fin?
Czevak: Que l'Empereur t'éclaire de sa lumière, ouvre enfin les yeux, et réalise que la cause pour laquel tu te bat est perdu
Drell: Garde ton pardon, je n'ai rien à me faire pardonner !
Des mots prononcés des deux côtés, fiers, forts, qui raisonnent dans l'arène et une dernière balle
Drell :J'arrive
Drell s'effondre avec le Poigns levée, pronancant ce mot la ,alors que Czevak reste debout fier malgrés les blessures , une image qui restera probablement à jamais dans ma mémoire ... un combat de titan... toute cette Guerre sans fin... prenait symbole à cet instant, dans cette arène qui me semble si, petite mais, si large en même temps je détourne le regard du corps et je m'approche de ma capitaine Mission accomplie? elle hoche la tête, j'envoie rapidement un message à lord Czevak pour le féliciter, puis je refuse Poliment une invitation pour fêter cette victoire.
Un dernier regard en arrière, je regarde le corps qui se décompose, avec une sensation, que je verrais plus cet homme, cet ancêtre et jamais il me racontera les histoires de l'ancienne ère autour d'un verre.
Parce que tout simplement, on est ennemis et on vient de deux mondes différents.
Je m'eloigne de L'arene doucement , le bruit de la derniere balle qui raisonne dans mon esprit.
Un regard aux messages d'Aitl des deux rebelles, des accusations, des paroles, mais, en fin de compte rien ne changera la réalité que c'était un combat à ne pas oublier, un combat entre le passé et le présent ...
Tout simplement un combat de vie ou de mort
Spoiler (Afficher)
Saurus
Posté le 07 Juillet 2013 à 04:00
#206
"Esclave"
Il était rare que les rebelles utilisent ce mot pour nous décrire. Les "anciens" le faisaient plus que régulièrement, le nouveau slogan de la propagande rebelle semblait plaire aux hérétiques, aux aveuglées par la haine et l'égocentrisme.
Se battre pour la Liberté? La liberté de se libérer des chaines qui nous entraves, sortir des murs qui nous emprisonnent?
Que les rebelles cassent les murs protégeant le secteur 3 et ils verront la vérité de notre monde: nous ne pouvons survivre qu'avec des limites, des règles, de la discipline. En travaillant durement pour soutenir les restes de la civilisation.
Détruire tous ces efforts est devenu l'obsession des hérétiques.
Le chaos n'apporte pas la liberté mais le vide, le froid après les flammes, le silence après les cries, la mort après la vie.
Prendre la décision de me battre pour l'Imperium ne me prive pas de ma "Liberté". J'ai été crée et que je suis née dans le but de servir l'Humanité, faire survivre et perdurer la société et c'est de mon propre choix que j'ai voué ma vie en ce sens.
J'aurais pu choisir de rester simple habitants, vacant à des occupations personnelles sans me soucier du reste. l'Imperium ne m'aurait jamais mit des chaines en m'envoyant au front. Je n'aurais été qu'un observateur dans la masse anonyme.
Pourtant, je suis là, en première ligne à porter cette masse, à la défendre sans m'en croire supérieur. Je ne me soucie pas de mes blessures, du temps que je donne, d'accepter que ma personne passe après le bien commun. J'ai fais don de ma vie comme de mes morts pour que perdure l'Héritage de notre Empereur.
Notre devoir nous porte au delà de se que nous sommes.
Saurus, Commandant de l'Armée Impériale, Serviteur de l'Imperium.
Il était rare que les rebelles utilisent ce mot pour nous décrire. Les "anciens" le faisaient plus que régulièrement, le nouveau slogan de la propagande rebelle semblait plaire aux hérétiques, aux aveuglées par la haine et l'égocentrisme.
Se battre pour la Liberté? La liberté de se libérer des chaines qui nous entraves, sortir des murs qui nous emprisonnent?
Que les rebelles cassent les murs protégeant le secteur 3 et ils verront la vérité de notre monde: nous ne pouvons survivre qu'avec des limites, des règles, de la discipline. En travaillant durement pour soutenir les restes de la civilisation.
Détruire tous ces efforts est devenu l'obsession des hérétiques.
Le chaos n'apporte pas la liberté mais le vide, le froid après les flammes, le silence après les cries, la mort après la vie.
Prendre la décision de me battre pour l'Imperium ne me prive pas de ma "Liberté". J'ai été crée et que je suis née dans le but de servir l'Humanité, faire survivre et perdurer la société et c'est de mon propre choix que j'ai voué ma vie en ce sens.
J'aurais pu choisir de rester simple habitants, vacant à des occupations personnelles sans me soucier du reste. l'Imperium ne m'aurait jamais mit des chaines en m'envoyant au front. Je n'aurais été qu'un observateur dans la masse anonyme.
Pourtant, je suis là, en première ligne à porter cette masse, à la défendre sans m'en croire supérieur. Je ne me soucie pas de mes blessures, du temps que je donne, d'accepter que ma personne passe après le bien commun. J'ai fais don de ma vie comme de mes morts pour que perdure l'Héritage de notre Empereur.
Notre devoir nous porte au delà de se que nous sommes.
Saurus, Commandant de l'Armée Impériale, Serviteur de l'Imperium.
Irista
Posté le 07 Juillet 2013 à 12:48
#207
Les combats faisaient rage depuis plus d'un cycle à présent, ses propres affrontements l'avaient éloignés du coeur de la bataille. Autour de la prison le sang se répandait, Rebelles, Impériaux, seul témoin des cadavres qui auraient dû se trouver là.
"Les idéaux mènent à la bataille." lui avait-on dit, mais une fois dedans, tuer ou être tué, voilà la seule règle.
Le sang... Le sien pulsait à ses tempes, sa vision était déjà légèrement floue, étourdie et secouée par les combats déjà endurés, son armure constellée d'impact alors que certaines de ses fibres s'étiolaient déjà. Elle était en train de recharger une énième fois son fusil et s'apprêtait à retourner vers le cœur de la bataille, elle tournait les talons, stoppait son mouvement net lorsqu'elle aperçu au coin de sa vision périphérique la silhouette naissante de quelqu'un usant d'un module d'invisibilité à moins d'un mètre d'elle.
Elle ne pouvait pas tourner le dos, il l'aurait cueillie facilement, elle prit son fusil à deux mains, tâchant de dévier la taille verticale, frappant contre le fer de l'agrimensor tandis qu'elle se décalait suffisamment pour éviter une blessure mortelle. L'arme ne parvint qu'à entamer les renforts dermiques de l'ex-sergent impériale. Elle avait échappé au pire pour l'instant.
Rapidement, elle délivra une rafale de la bouche de son FI, tandis que l'agrimensor frappait le sol avec violence. Impossible de manquer sa cible, la fiabilité de l'arme et l’expérience de sa propriétaire firent le reste, un partout. Elle se savait plus rapide dans cet affrontement, elle devait simplement rester concentrée.
- Pas d'insulte ? Vous ne me traitez pas de traîtresse ?
Nouvelle frappe, la lame de l'homme qu'elle venait à peine de reconnaître traça un sillon sanglant le long de sa jambe, réplique immédiate, elle ne prit pas le temps d'ajuster le tir, elle n'aurait pas pu. Trois balles virent se ficher dans l'armure de son opposant, qui répondit sans provocation.
- Vous avez vos idéaux, j'ai les miens.
Un bref coup d'oeil aux alentours, la rue désolée était déserte. Cet étrange calme qui s'installe parfois au milieu des batailles. Elle secoua la tête, fixant son adversaire. Les assauts de part et d'autre ayant cessé pendant un bref instant.
- Dans ce cas, que le meilleur gagne.
- Je suis déjà pas mal blessé. Je doute de gagner cette fois.
- Moi aussi...
C’aurait pu être le genre de duels dont les gens se seraient souvenus, ceux décrits dans les histoires. Ceux qui inspirent. Elle se contenta de hocher la tête, tandis que leur danse reprenait, furieuse, mortelle, détonations et reflets d’acier, respect et honneur.
Ils jetèrent leurs dernières forces dans la bataille, un, deux, trois coups, la blonde esquivant de droite et de gauche, au milieu de la rue dévastée, ripostant à chaque assaut, de nombreux tirs allant se perdre sur les façades environnantes, ajoutant au spectacle macabre qu’était devenu ce quartier de la cité. L’arme à feu cessa de tirer au milieu d’une rafale. Elle avait atteint son point de rupture, ayant trop subi des combats précédent, elle venait de s’enrailler. La sanction tomba, immédiate et sans appel, l’agrimensor venant mordre son épaule, rompant les renforts protecteurs et les fibres dermiques. Elle vacilla, reculant de quelques pas en rangeant son fusil, elle en profita pour détailler l’homme. Il savait tout comme elle qu’il n’y aurait qu’un vainqueur, et que l’autre connaîtrait la mort.
Nouvel instant hors du temps alors qu’elle s’emparait de sa troncolame, ses deux mains sur le pommeau, elle chargea. Une gerbe d’étincelle lorsque le métal frappa le métal, les dents de l’épée mécanisée s’échinant à mordre l’arme de Child dans un vrombissement de moteur. Le coup était dévié, mais elle avait perdu l’avantage, tous deux le savaient, mais aucun ne s’arrêterait. Les coups pleuvaient, résonnaient, déchiraient, tranchaient. Depuis de longues minutes à présent, ils s’affrontaient.
Alors que leur sang maculait la rue, elle aperçu une rousse qu’elle avait affronté un peu plus tôt sortir de derrière un coin d’immeuble, gatling en main. Elle repoussa son opposant, un dernier regard, puis elle tourna les talons. Elle ne mènera pas ce combat, ce n’était plus leur duel, et cet instant hors du temps venait à présent de se briser.
Elle s’installa, deux rues plus loin, derrière les débris d’un hall d’immeuble pour panser ses blessures, la respiration sifflante dans son respirateur, alors que les cris étaient à présent plus proche. Elle eu à peine le temps de percevoir le coup, la silhouette de Child apparaissant un bref instant avant que l’agrimensor ne s’abatte sur elle, un réflexe, elle plaça sa lame en opposition, trop tard. Lorsque l’arme manqua de la couper en deux, lui arrachant un cri de douleur, achevant presque le dernier acte de leur combat, elle roula sur le côté. S’injectant un anti-douleur, et se relevant, le bras gauche ballant, inutilisable pour le moment. Si elle devait mourir, ce serait debout, l’arme à la main.
Elle n’eu que le temps d’esquisser un geste, prononcer une parole lorsqu’elle vit le troll désactiver son module, suivi de près par Lorkah.
- Skara ! Non !
Trop tard, le troll et le gnoll venaient déjà de mettre son adversaire diminué au sol. Elle soupira, s’approcha de lui, dégainant l’un de ses pistolets Azmat.
“C’est donc ainsi que ça s’achève” se dit-elle, secouant la tête pour se pencher sur son adversaire, parlant à voix basse.
- Je suis désolée Child. Je ne souhaitais pas que ça se termine ainsi. Ce fut un honneur.
Elle tira. Fixant l’homme droit dans les yeux.
Quelque part en SR. La blonde venait de se réveiller en sursaut, sa douleur à l'épaule la lançait, elle se frottait le visage. Jeta un oeil vers ses pistolets trônant sur le meuble, à portée de main...
Voilà depuis la bataille que ces souvenirs la hantaient, elle a failli mourir ce jour-là. Comment peut-on faire de la mort quelque chose d’anodin ? Même lorsque l’on tue un immortel ?
Brotox~18406
Posté le 07 Juillet 2013 à 18:08
#208
... discussions avec ID ces êtres restructuraient, restructurant... passage éclair à droite et gauche, projet de relance, mise en réseau des travaux...
Notre héritage n'est précédé d'aucun testament....... le ventripotent nain pesait cette pensée en retrouvant cœur à l'ouvrage.. peut-être n'était-ce plus tout à fait vrai......
Bro s'activait comme un gnoll entre deux phases de sommeil... putain de vieillesse cellulaire.. il lui semblait que les corps se fatiguaient d'autant plus vite qu'il ne passaient pas par le case cuve.... combien de temps un corps survivrait t-il physiologiquement sans les joies de l'APM... cette question filaient dans sa tête vite remplacée par bien d'autre, notamment une attente, et un message qui le laissait perplexe....
"te voir au plus vite"
Ce message du 'père' avait claqué comme un ordre plus que comme une demande, défaite de toutes les fioritures qu'il pensait pouvoir attendre de lui.... cela n'engageait rien de bon....
Il marchait d'un pas lourd vers le lieu de rendez-vous puis s'assis face occultant les questions d'un air faussement débonnaire....
"... traîtrise... collusion... caché... contre la cohésion... refus de partager les savoirs.."
un à un les griefs s'accumulaient, comme des claques lui qui pourtant pensait... puis elle.... sa rage...... il savait qu'à ce moment le débat deviendrait houleux... Il savait qu'à ce moment cela finirait mal comme toujours....
Un à un il argumentait il défaisait les attaques... mais trop tard..... la danse des mots avait commencé, la guerre eut été plus juste pour définir ce qui se passait.... pourquoi ici... la stature imposante du leader qui ne cillait pas préférant jouer de son com'link plutôt que... lui enregistrait tout et transmettrait...
Lui le petit homme n'avait que ses mots, mais il savait les manier et il calmement parrait et attaquait l'armure de la prédatrice... il se sentait dans un théâtre où la fin était écrite....
Soit... il n'était plus de confiance... soit il trouverai un successeur dans l'année... il lancerait l'appel publiquement... quand a elle.... il avait peur... mais il ne pouvait le montrer, pas cette fois....
La nuit se finit dans le sang au milieu d'une rue.... son corps agonisant... elle lui laissera pourtant la vie sauve... le corps en portera les cicatrices, comme un rappel à jamais de ce qu'il en coûte... le petit homme fut encore rapetissé... les perfusions... le bruit des appareils... mais Elle était encore là.. toujours.... il leur faudrait maintenant trouver d'autres buts...
Notre héritage n'est précédé d'aucun testament....... le ventripotent nain pesait cette pensée en retrouvant cœur à l'ouvrage.. peut-être n'était-ce plus tout à fait vrai......
Bro s'activait comme un gnoll entre deux phases de sommeil... putain de vieillesse cellulaire.. il lui semblait que les corps se fatiguaient d'autant plus vite qu'il ne passaient pas par le case cuve.... combien de temps un corps survivrait t-il physiologiquement sans les joies de l'APM... cette question filaient dans sa tête vite remplacée par bien d'autre, notamment une attente, et un message qui le laissait perplexe....
"te voir au plus vite"
Ce message du 'père' avait claqué comme un ordre plus que comme une demande, défaite de toutes les fioritures qu'il pensait pouvoir attendre de lui.... cela n'engageait rien de bon....
Il marchait d'un pas lourd vers le lieu de rendez-vous puis s'assis face occultant les questions d'un air faussement débonnaire....
"... traîtrise... collusion... caché... contre la cohésion... refus de partager les savoirs.."
un à un les griefs s'accumulaient, comme des claques lui qui pourtant pensait... puis elle.... sa rage...... il savait qu'à ce moment le débat deviendrait houleux... Il savait qu'à ce moment cela finirait mal comme toujours....
Un à un il argumentait il défaisait les attaques... mais trop tard..... la danse des mots avait commencé, la guerre eut été plus juste pour définir ce qui se passait.... pourquoi ici... la stature imposante du leader qui ne cillait pas préférant jouer de son com'link plutôt que... lui enregistrait tout et transmettrait...
Lui le petit homme n'avait que ses mots, mais il savait les manier et il calmement parrait et attaquait l'armure de la prédatrice... il se sentait dans un théâtre où la fin était écrite....
Soit... il n'était plus de confiance... soit il trouverai un successeur dans l'année... il lancerait l'appel publiquement... quand a elle.... il avait peur... mais il ne pouvait le montrer, pas cette fois....
La nuit se finit dans le sang au milieu d'une rue.... son corps agonisant... elle lui laissera pourtant la vie sauve... le corps en portera les cicatrices, comme un rappel à jamais de ce qu'il en coûte... le petit homme fut encore rapetissé... les perfusions... le bruit des appareils... mais Elle était encore là.. toujours.... il leur faudrait maintenant trouver d'autres buts...
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Teträm~19768
Posté le 07 Juillet 2013 à 18:53
#209
Aujourd'hui, Ancien, tu marche dans mes pas. J'espère pour toi que tu dis vrai, car tes gestes pourraient tous nous damner. æternum vale.
Le troll laissait tomber la note froissée, lira qui la trouvera.
Le même troll qui avait plusieurs fois mené les troupes rebelles en souterrain, qui avait combattu à leurs cotés, peut être était-il plus jeune que l'ancien en lui même, mais il avait côtoyé ceux-ci pendant plus longtemps, beaucoup plus longtemps, le doute régnait sur les paroles de l'ancien, comment pouvait-il changer quelque chose que sa famille s'était acharnée à changer pendant des dizaines d'années. Aussi charismatique et puissant soit-il, quel Objectif auraient les rebelles, une fois l'imperium anéanti, s'il l'est jamais. Quelle raison, de garder cette cohésion ? Même s'il se décarcassait pour trouver une raison, il en venait indéfiniment à la conclusion que la lutte contre les impériaux était la seule chose qui empêchait les rebelles de s'entre-anéantir, même s'ils n'ont jamais été bien loin de le faire.
Personnage Non Joueur.
Thaykiin~38467
Posté le 07 Juillet 2013 à 19:09
#210
Thaykiin n'avait rien compris. Tout s'était déroulé, rien ne l'avait frappé.
Hors-mis deux choses.
Une liste de morts aussi longue qu'une queue d'écureuil géant.
Une quantité inénarrable de messages AITLs sans queue ni tête.
Lui s'en moquait. Du moment qu'on s'en prenait pas à lui.
Hors-mis deux choses.
Une liste de morts aussi longue qu'une queue d'écureuil géant.
Une quantité inénarrable de messages AITLs sans queue ni tête.
Lui s'en moquait. Du moment qu'on s'en prenait pas à lui.
Inconnu
Posté le 07 Juillet 2013 à 20:25
#211
Aldéric~41876
Posté le 07 Juillet 2013 à 20:43
#212
"Union... Force... Liberté... Détermination... "
Tous ces mots se bousculaient dans la tête de l'humaine, durant son voyage de retour au travers des ST.
Elle repensait à ces rebelles, ou ces Esclaves libérés, l'espoir en même temps que le désabus se bousculant.
Les questions, les sourires, les éclairs de compréhension, les poings brandis, les rebuffades...
Tout resterait dans son esprit, pourtant aujourd'hui las et fatigué.
Poussant la porte de la salle, un regard sur le caisson de Drell, elle songea :
"Drell... Représentant de la part idéaliste de la rébellion... Sache que tu ne mourras jamais."
Quelques signes de tête vaguement envoyés à ses frères et Soeurs restaient en observation, se passant de mots.
Leur mission d'observation était terminée. Les messages étaient passés.
Ils étaient arrivés dans un secteur se disputant pour des broutilles, ils rentraient en ayant vu une future nation unie.
Déterminé, le sentiment du devoir presque accompli, l'humaine s'allonge dans sa cuve, espérant ne plus avoir à en sortir avant de très longues années.
Inconnu
Posté le 07 Juillet 2013 à 20:52
#213
Inconnu
Posté le 07 Juillet 2013 à 21:38
#214
Tout d'abord l'obscurité profonde, le manque de repères dans l'espace, s'il pouvait appeler ça ainsi. Mais il pensait, et c'était bon signe. Il n'était pas dans une cuve. Où en tout cas, il ne sentait rien qui le lui indiquait.
D'ailleurs il n'avait aucune sensation corporelle. Puis il le vit, le flux de données, allant et venant en double voie au fil des sauvegardes et des enregistrements. À cet instant précis, son esprit dématérialisé lui offrit de nouvelles perceptions, et celui qui fut Drell Orën pu naviguer entre les terabytes.
"ID, que ton génie soit loué..."
Se laissant porter par les flots, il arriva finalement à destination sans provoquer de remous, invisible grâce au travail de son Frère. Prenant garde à ne pas s'aventurer trop loin pour ne pas finir englouti dans l'immensité aveuglante de jade, il pensa un sourire.
Lui aussi veillerait, à présent.
ID41931~41931
Posté le 08 Juillet 2013 à 07:52
#215
ID41931 était resté jusqu'à la fin.
Il était resté retranché ces derniers jours pour pouvoir se focaliser sur le projet qu'il proposait aux rebelles. Ce qu'il pensait être la clé de la fin de la confrontation. Il observait les flux d'informations pendant ces derniers jours. Certains lui plaisait, d'autres moins.
Ceux qui comprenaient le message qu'ils voulaient faire passer n'avaient plus besoin de conseils. Ils avaient toutes les cartes en main sans avoir besoin d'eux.
Il en avait vu certains, nommés par d'autres comme de simples perturbateurs ne valant rien. Il avait vu en eu d'autres manière de faire. D'autres manières qui n'étaient pas forcément incompatibles si la communication entre tous arrivait enfin à passer.
Il espérait simplement que certains puissent oublier les rancunes personnelles pour essayer d'atteindre enfin ensemble un but commun. Pas forcément celui que les anciens espéraient mais au moins un qui les feraient tous avancer.
Il aurait voulu dire plus, reprocher les derniers actes des meneurs qui ne comprenaient rien mais Many et Zhett l'en avait dissuader. Il ne voulait pas aller discuter avec le gouvernement actuel et risquer que cela s'envenime.
Non, Il laissait ses derniers compagnons leur expliquer une dernière fois.
Il préféra rester sur la matrice et observer les enfants, comme aimait les appeler Zhett. Il répondit aux derniers messages alors que tous les croyaient déjà parti. Les messages de regret de ne pas les avoir connu plus de temps, ceux d'excuses pour ne pas les avoir compris suffisamment tôt.
Il en perdit son amertume des derniers instants.
Il eu même des larmes à devoir laisser les enfants, notamment ceux venus le voir pour le remercier avant son départ.
Lui qui avait tout fait pour se dissocier de tout sentiment, ne vivre que pour la connaissance, il ne regrettait plus que ses amis l'eurent réveillés pour qu'il redécouvre la vie.
Il compris lui aussi, comme ses frères, qu'il était temps de repartir, qu'ils n'avaient plus rien à nouveau à apporter pour le moment présent.
Il fallait à nouveau laisser les enfants voler de leur propres ailes. Voler... un doux rêve de tout vautour qu'il ne pouvait assouvir qu'en étant immergé.
Mais il était temps de faire autre chose. D'autres recherches étaient impératives et il avait besoin de ceux qui étaient restés encore cachés pour cela.
Sa dernière pensée avant de repartir était:
Il était resté retranché ces derniers jours pour pouvoir se focaliser sur le projet qu'il proposait aux rebelles. Ce qu'il pensait être la clé de la fin de la confrontation. Il observait les flux d'informations pendant ces derniers jours. Certains lui plaisait, d'autres moins.
Ceux qui comprenaient le message qu'ils voulaient faire passer n'avaient plus besoin de conseils. Ils avaient toutes les cartes en main sans avoir besoin d'eux.
Il en avait vu certains, nommés par d'autres comme de simples perturbateurs ne valant rien. Il avait vu en eu d'autres manière de faire. D'autres manières qui n'étaient pas forcément incompatibles si la communication entre tous arrivait enfin à passer.
Il espérait simplement que certains puissent oublier les rancunes personnelles pour essayer d'atteindre enfin ensemble un but commun. Pas forcément celui que les anciens espéraient mais au moins un qui les feraient tous avancer.
Il aurait voulu dire plus, reprocher les derniers actes des meneurs qui ne comprenaient rien mais Many et Zhett l'en avait dissuader. Il ne voulait pas aller discuter avec le gouvernement actuel et risquer que cela s'envenime.
Non, Il laissait ses derniers compagnons leur expliquer une dernière fois.
Il préféra rester sur la matrice et observer les enfants, comme aimait les appeler Zhett. Il répondit aux derniers messages alors que tous les croyaient déjà parti. Les messages de regret de ne pas les avoir connu plus de temps, ceux d'excuses pour ne pas les avoir compris suffisamment tôt.
Il en perdit son amertume des derniers instants.
Il eu même des larmes à devoir laisser les enfants, notamment ceux venus le voir pour le remercier avant son départ.
Lui qui avait tout fait pour se dissocier de tout sentiment, ne vivre que pour la connaissance, il ne regrettait plus que ses amis l'eurent réveillés pour qu'il redécouvre la vie.
Il compris lui aussi, comme ses frères, qu'il était temps de repartir, qu'ils n'avaient plus rien à nouveau à apporter pour le moment présent.
Il fallait à nouveau laisser les enfants voler de leur propres ailes. Voler... un doux rêve de tout vautour qu'il ne pouvait assouvir qu'en étant immergé.
Mais il était temps de faire autre chose. D'autres recherches étaient impératives et il avait besoin de ceux qui étaient restés encore cachés pour cela.
Sa dernière pensée avant de repartir était:
Drell, j'espère que notre plan fonctionnera et où que tu sois, frère, on te retrouvera.
god: le grand tout de rien du tout.
Asuka~37618
Posté le 08 Juillet 2013 à 18:54
#216
Epilogue
Au nom des Fondateurs, pour le Peuple Rebelle, les Anciens avaient dû sortir de leur refuge souterrain. Avaient-ils pu convaincre, avaient-ils pu insuffler la force en rappelant les valeurs qui avaient porté le mouvement de la Lame ?
Il y aurait certainement des sceptiques, de ceux qui depuis longtemps avaient perdu de vue ce que signifiait la rébellion, ou dont l’esprit était marqué durablement.
Pourtant, qu’ils aient vécu l’exode ou qu’ils aient été orientés par le CdC vers le secteur Rebelle, les stigmates de la Lame étaient ancrés en chacun d’eux. Il leur appartenait de garder en eux l’héritage ou de suivre une autre voie, mais au moins savaient-ils à présent qu’il ne peut y avoir une vérité unique et que leur force résiderait dans leur volonté de rester éveillés et conscients des enjeux. Que leur chemin passerait par l’indépendance car la vraie liberté n’était qu’à ce prix.
Il leur appartiendrait de semer les graines de la Lame dans tous ceux qui les rejoindraient, transfuges ou nouveaux éveillés, en oubliant ce qui les sépare pour ne voir que ce qui les réunit.
Les discours n’auraient d’écho qu’en ceux qui avaient gardé l’espoir et ne portaient pas en eux le gout de la dissension, ceux-là finiraient peut être comme les Ghosts trop nombreux, ou rejoindraient le secteur Impérial, réalisant que leur place n’est pas parmi les enfants de la Lame.
Les veilleurs avaient pu savourer aux côtés des Rebelles le gout du sang et le feu de la Lame, avaient montré qu’un Rebelle meurt le poing levé… Ensemble ils avaient bousculé les symboles même de l’Imperium, de leur prison à leur lieu de culte. Les fils de la Lame avaient souri du désespoir et de l’effroi sur les visages de ceux qu'ils appelaient les esclaves.
Les rebelles étaient forts s’ils étaient rassemblés par leurs convictions, tout comme l’Imperium l’était autour des symboles de leur grandeur. Les idéaux s’affrontaient et la seule chose qui importerait serait que les rebelles n’oublient plus. Les impériaux sortiraient sans doute plus unis après la déferlante de violence qu’ils avaient vécu mais au moins sauraient ils au moment des choix ce que signifie une rébellion.
Ils laissent derrière eux une vision plus juste de ce qui doit différencier ceux qui croient en l’Empereur et ceux qui ont suivi la Lame, dorénavant les stigmates ne sont plus visibles à l’œil nu et les appartenances devront être dites. Ils sont partis en laissant les traces à suivre, aux Rebelles de mettre leur pas dans les leurs si ils le veulent.
Il y aurait certainement des sceptiques, de ceux qui depuis longtemps avaient perdu de vue ce que signifiait la rébellion, ou dont l’esprit était marqué durablement.
Pourtant, qu’ils aient vécu l’exode ou qu’ils aient été orientés par le CdC vers le secteur Rebelle, les stigmates de la Lame étaient ancrés en chacun d’eux. Il leur appartenait de garder en eux l’héritage ou de suivre une autre voie, mais au moins savaient-ils à présent qu’il ne peut y avoir une vérité unique et que leur force résiderait dans leur volonté de rester éveillés et conscients des enjeux. Que leur chemin passerait par l’indépendance car la vraie liberté n’était qu’à ce prix.
Il leur appartiendrait de semer les graines de la Lame dans tous ceux qui les rejoindraient, transfuges ou nouveaux éveillés, en oubliant ce qui les sépare pour ne voir que ce qui les réunit.
Les discours n’auraient d’écho qu’en ceux qui avaient gardé l’espoir et ne portaient pas en eux le gout de la dissension, ceux-là finiraient peut être comme les Ghosts trop nombreux, ou rejoindraient le secteur Impérial, réalisant que leur place n’est pas parmi les enfants de la Lame.
Les veilleurs avaient pu savourer aux côtés des Rebelles le gout du sang et le feu de la Lame, avaient montré qu’un Rebelle meurt le poing levé… Ensemble ils avaient bousculé les symboles même de l’Imperium, de leur prison à leur lieu de culte. Les fils de la Lame avaient souri du désespoir et de l’effroi sur les visages de ceux qu'ils appelaient les esclaves.
Les rebelles étaient forts s’ils étaient rassemblés par leurs convictions, tout comme l’Imperium l’était autour des symboles de leur grandeur. Les idéaux s’affrontaient et la seule chose qui importerait serait que les rebelles n’oublient plus. Les impériaux sortiraient sans doute plus unis après la déferlante de violence qu’ils avaient vécu mais au moins sauraient ils au moment des choix ce que signifie une rébellion.
Ils laissent derrière eux une vision plus juste de ce qui doit différencier ceux qui croient en l’Empereur et ceux qui ont suivi la Lame, dorénavant les stigmates ne sont plus visibles à l’œil nu et les appartenances devront être dites. Ils sont partis en laissant les traces à suivre, aux Rebelles de mettre leur pas dans les leurs si ils le veulent.
*** Fin de la première partie ***
"Vos préjugés sont vos fenêtres sur le monde. Nettoyez-les de temps en temps, ou la lumière n’entrera pas." ~ Isaac Azimov.
Asuka~37618
Posté le 08 Juillet 2013 à 20:38
#217
Spoiler (Afficher)
"Vos préjugés sont vos fenêtres sur le monde. Nettoyez-les de temps en temps, ou la lumière n’entrera pas." ~ Isaac Azimov.
Maellynn~1382
Posté le 08 Juillet 2013 à 21:38
#218
"L'homme est une prison où l'âme reste libre..
sauf quand on enferme cette dernière dans une boite."
- I walk alone under the sign of destruction. -
1ère partie. Fragments d'une âme perdue entre les quatre murs du néant.
La transition semblait avoir été difficile, partiellement incomplète egalement, mais Zwei avait réussi in extremis a transférer la majorité de son intégrité matricielle vers ce qui lui semblait être sa dernière solution de secours lorsqu'elle avait rencontré des difficultés : le construct. Pas totalement perdu, et pas totalement libre, elle était désormais coincée entre deux mondes sans aucun moyen d'en sortir par elle même. Plus aucun lien avec son corps physique. Plus de moyen de regagner la matrice par elle même. En cage ad vita aeternam, là ou même la mort ne saurait la délivrer. Il n'y a alors que la folie qui puisse venir a bout d'une âme prise au piège d'un boitier de données externe.
Le Construct vibrait doucement dans un léger ronflement donnant signe de son fonctionnement. Les données récemment upload sur la mémoire interne du boitier devait en effet, comme l'indiquait l'analyse d'Oroshi, s'adapter et se stabiliser car elles faisaient face à un problème de taille : le manque de place. Il lui fallait fusionner une partie de ses données avec celles qui s'y trouvait dejà pour compresser la mémoire de stockage et ne pas perdre définitivement l’excédent.
Elle ignorait quelles pourraient en être les consequences. Elle ignorait si elle le saurait un jour. Elle ignorait si elle serait encore suffisamment saine d'esprit pour prendre conscience de cela si ce jour venait.
Zwei n'était pas seule dans cette petite boite devenue une relique des premiers Netrunners.
Dernières traces de ces voyageurs du virtuel.
Dernière prison.
Un autre combat.Zwei patientait dans l'immensité restreinte du boitier. Le vide, l'infini néant entre quatre murs. Aucune marge de manœuvre, aucun déplacement, elle se maudissait déjà de n'avoir eu comme réflexe que de se transférer sur ce disque de sauvegarde déjà occupé. Elle n'avait rien a faire pour s'occuper et maintenir son esprit éveillé. Aucune donnée a étudier, aucun chemin a explorer. Aucun moyen de communiquer. La panique l'envahissait, le désespoir egalement jusqu’à ce qu'elle se mue en résignation, dernier pas avant la folie.
Elle ne tenait qu'au prix d'incroyables efforts pour s'auto-persuader qu'elle avait bien été quelqu'un un jour, un être vivant et non un simple paquet de données. A moins qu'il ne s'agisse d'un énième illusion. Peut-être n'était elle qu'un programme parmi les autres. En ce cas sa faculté a émettre des raisonnements se rapprochait de l’ébauche d'une trame d'IA. Quel informaticien avait donc bien pu entamer sa conception sans la mener a terme?
Plus elle se questionnait plus elle tirait des conclusions qui lui semblaient être des evidences. Elle était peut-être une reconstitution d'un individu ayant existé. Une copie de mémoire et des réactions recréé artificiellement. C'etait là la définition même de construct. Et c'est ce que son colocataire de fortune était. Une copie virtuelle. Si elle etait en sa présence, il devait y avoir une raison.
Elle manquait de place.
Une partie de son intégrité matricielle avec du fusionner avec son pair Runner. Une partie de la mémoire stoquée se mélangeait. Elle doutait. Ces informations sont-ils mes souvenirs ? Ont-ils été recréés par un vautour fou ? Ou bien s'agit-il des siens qui écrasent une partie de ma mémoire ?
Elle tournait en rond dans un espace vide. La discussion avec son comparse ne faisait que semer le trouble d'avantage dans sa vision de la situation. Questions methaphysiques devenues methamatricielles sans doute. Pouvait on considérer son créateur comme une sorte d'entité supérieure dont le discours devait être assimiler à un traité théologique ? Totalement perdue, sur le fil, Zwei prenait alors comme conscience de sa réalité qui n'en était pas une. Deux. Je suis la deuxième. Deuxième expérience ? Deuxième erreur ? Deuxième entité capable de réflexion propre dans cette boite. Un netrunner en boite.
Communiquer, il lui fallait communiquer. Mais avec qui et comment ? Elle avait beau reflechir, toutes les reponses semblaient lui echapper un peu plus a chaque fois qu'elle tendait la main.
-..._Damnit. T'etais plus causante quand t'étais dans ton sac à viande, Zwei.
Le corps c'est de la viande. Elle l'avait répété tellement. Prison de chair qui l'avait si souvent révulsé. Entrave corporelle qu'elle doutait a présent d'avoir possédé un jour. Voodoo parlait, mécaniquement, comme il l'avait toujours fait via le construct. Il lui parlait a elle. Comme il lui parlait avant.. quand elle l'utilisait pour travailler. L'utiliser. Il fallait que quelqu'un l'utilise et peut-être saurait elle parler aussi. Ou bien lui saurait le faire pour elle. Mais qui saurait ? Ce boitier au contenu si précieux etait bien inconnu de la plupart des gens. Personne ne saurait. Elle était perdue. Sans doute n'avait elle jamais été.
Et sur ces réflexions tantôt alertes tantôt aliénées, elle en vint a imiter son camarade de construct : attendre qu'on l'utilise pour servir. Un programme autonome qui attend d'être programmé pour une prochaine tâche.
Je marche seule sous le signe de la destruction.L'attente, interminable. L’infiniment grand est tout aussi long lorsque l'on ne fait rien. Depuis combien de temps déjà était elle ici ? ainsi ? Des heptades, des années peut-être, elle n'en savait plus rien. Ses réflexes s'adaptaient lentement à son nouvel environnement, bien que réduit. Ses pensées se calquaient sur celle du programme "Voodoo" avait qui elle coexistait désormais. Lentement, Zwei commençait a perdre pied et a devenir des données parmi les autres, que l'on modifie ou que l'on utilise.
Attendre, toujours. Patiemment, résister jusqu’à s'abandonner. La peur de s'oublier, la peur de ne déjà plus savoir ce qu'elle était. Jusqu'au moment ou elle sentit une infime fluctuation dans la structure de stockage qui la renfermait. Une porte, une passage venait de se dessiner, quelque part. Mais il ne pouvait être ouvert que de l’extérieur. Le Construct avait été branché. Par qui ? Dans quel but ? Quel que soit la mission, Zwei se tint prêt a l'instar de son compère virtuel. Comme si elle était programmée elle aussi pour quelque chose qui la dépassait.
Ils me ciblent tous de leurs armes qu'ils croient indestructibles.Immobile, Zwei luttait toujours et pourtant elle se sentait aspirée. Elle s'accrochait à cet infime modification de son environnement, cet brèche ouverte qu'elle ne pouvait traverser mais qui indiquait que quelqu'un allait utiliser le construct.
Aussi, par automatisme et surtout par mimétisme des données fusionnées qu'elle avait emprunté à Voodoo, Zwei satura l'espace de requêtes binaires.
01001001 01100100 01100101 01101110 01110100 01101001 01100110 01101001 01100101 01111010 00100000 01110110 01101111 01110101 01110011 00101110 00100000 01010001 01110101 01100101 01101100 00100000 01100101 01110011 01110100 00100000 01110110 01101111 01110100 01110010 01100101 00100000 01101111 01100010 01101010 01100101 01100011 01110100 01101001 01100110 00101110 00100000
Je vais leur montrer qu'ils ont tord.
Nous courons seuls à travers la désolation.
Je suis aveugle et il n'y a rien de nier.Ses requêtes avaient trouvé réponse. Celui qui avait branché le construct était là et s'était identifié. Octro. Néanmoins il fallut un long moment à Zwei pour comprendre l'objet de la requête. Il ne s'agissait pas de calcul, pas d'analyse, pas d'offensive matricielle ou autre renforcement de glace. Octro demandait à récupérer ses données. Etait-ce lui son créateur ? Sa première intuition fut qu'il venait finaliser sa conception, qu'enfin elle serait opérationnelle et sortie de cette boite expérimentale.
La douleur en moi me rend plus forte.
Dans cette ville tout est sombre et sale.Elle s'animait, ses données s'agitant dans le construct sous l'impatience et la peur. Et si c'etait un piège pour la supprimer ?
Elle etait incomplète, certaines de ses données étaient corrompues.
Elle ne savait quelle fonction elle pouvait bien assumer de la sorte.
Attaquer et contre-attaquer encore l'ennemi envahisseur
Je sens ma colère grandir dans mon coeur
Ils ne vont pas me prendre.Donnez moi la force de defendre mon Empire.
Inconnu
Posté le 08 Juillet 2013 à 22:48
#219
Fraz~41966
Posté le 10 Juillet 2013 à 11:45
#220
Fraz était arrivée auprès de ses frères en courant; elle ne savait que trop bien le projet de Drell et la peur prit le dessus pour la première fois depuis.... très longtemps.
Des années à veiller sur leur repos auprès de Zhett, à intervenir comme elle le pouvait pour palier à la retraite qu'ils avaient été dans l'obligation de prendre en dehors des usages du CdC.
Lorsqu'elle prit place près de lui et d'ID, son visage ne leur avait présenté que ses traits habituels, impassibles et son esprit commença à explorer tous les possibles. Se sacrifier, s'offrir à la prise de conscience. Elle avait su dès le départ qu'il en serait ainsi et avait juste espéré qu'ils auraient été assez efficients : ce n'était pas le cas.
Leurs échanges avaient pris une tournure des plus technique, un accord plus ou moins viable trouvé : juste avant de.
Un sacrifice que son esprit avait fini par accepter mais que son coeur synthétique refusait.
Fraz prit donc la direction du Sud : boire, discuter avec l'un des dernier qu'elle n'avait pas vu ; mais lorsqu'elle prit place près de lui, la femme bleue lui rappela par ses tirs que leur tâche était loin d'être accomplie.
Les balles avaient fusées, transpercé sa silhouette presque sans bouger. Raisons ridicules mais surtout : le laisser-faire de ceux qui les entouraient.
Lance... tes enfants... capable de tuer les tiens ou de laisser faire... ils se trompent de combat pour éviter le seul auquel il faille tout donner...
Au sol, les regards sans âme tournés vers elle, pas de douleur ou du moins pas celle qu'ils escomptaient sans doute.
Il est temps... penser à ceux qui savent quelle valeur donner à Son Héritage et mépriser ces engeances incapables de penser à autre chose qu'à eux... finalement plus soumis qu'ils ne se disaient libre.
Elle avait disparu pour leur antre dans les ST, effleuré pour la dernière fois avant un moment l'une des rare âme réellement Rebelle. Partir sur un sourire ou au moins essayer et se dire:
Bientôt.
