Forum Role Play » L'EMPIRE ET LES 9 SECTEURS, L’EMPIRE ET LE NEXUS
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Créé par Athor~2423 le 22 Mars 2010 à 22:16
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Athor~2423
Posté le 22 Mars 2010 à 22:16
#1
Un bruit métallique se répercute dans la pièce comme un tir de flingue dans une cuisine mal réveillé, les pièces de plastique se mélange à la ferraille, rebondissant sur le carrelage fissuré, alors qu’un café noirâtre se répand en une flaque sombre dans un arrondi de scène de crime, s’immisçant ensuite dans chaque interstice comme milles rivières de boue. Athor, pied nu dans sa cuisine lâche un ‘bordel’ rêveur en regardant la machine à café pêter en deux à ses pieds, désarticulé par le choc.
« elle va me tuer… putain.. » Il se motive, enfonce ses doigts dans sa barbe de 4 jours se délivrant d’une démangeaison soudaine dans un gratt’ gratt’ récurant. « Putain de matin…». Chaque morceau est balancé sans ménagement dans la poubelle et Athor se redresse enfin laissant apparaître son torse bariolé par l’ombre des stores filtrant une lumière revigorante d’un soleil du matin. Il n’y a que le renouveau du jour pour forcer l’épais nuage de pollution, bientôt la journée reprendra sa pâleur cadavérique pour illuminer la tonne de con qui peuple les rues de la ville. Ses yeux gris semblent chercher un instant quelques choses, il rumine sur la vie ou réfléchis a une excuse pour sa moitié mais il n’y as pas de temps à perdre en philosophie. La cuisine est morte, son cerveau est mort, il faut oublier le petit dej’ et pensais qu’il y aura sûrement quelques chose a grailler dans la cafèt’ de son boulot.
Sa silhouette traverse la pièce, attrape une chemise, un chargeur, une paire de chaussette, un cran d’arrêt, une veste en cuir, quelques papiers et une clope. La journée est parée à décoller même avec une tête dans le cul, direction terres des cons, des bornés et décérébrés, un hymne a l’infidélité, un sauvage repère d’enfoiré. Qui vois le vrai visage de Dreadcast ? Dans l’élan il allume sa clope et dans un éclair jaune son zippo métallisé claque, tranchant le silence froid de son hall d’entrée. La braise rouge semblant scintiller dans cette immensité bétonner. Il avance maintenant en dévisageant la ville, ses grolles s’enfonçant dans les flaques grises, comme ses prunelles qui vaque de ci de là sur les murs envahie d’affiche sans goûts, des imprimés sans saveur de l’homme politique immature à la salope mégalomane dépassé par les putes en terme de classe. Les « holo-stars » du nouveau millénaire n’étaient que des déchets héritier d’un empire décadent. Ils sont tristement les nouveaux rois de la matrice, même pas de temps à perdre pour penser aux petites raclures bodybuilder aussi plat que leur entre jambe. Le mégot s’écroule sur le bitume dans un dernier nuage fantomatique se désagrégant dans l’air. Les portes d’un bâtiment s’ouvrent devant lui alors qu’il salue les gardiens d’un vague signe de tête. Bienvenu a la police de Dreadcast. C’est là qu’il faut être le plus sur ses gardes…
-Hé Lieutenant ! bien sortis du centre de recréation ?
-Comme une fleur ouai…
La prime c’est mon gun dans le cul à l’enfoiré de tueur ripoux.
Bisous tout doux, vieille pute.
« elle va me tuer… putain.. » Il se motive, enfonce ses doigts dans sa barbe de 4 jours se délivrant d’une démangeaison soudaine dans un gratt’ gratt’ récurant. « Putain de matin…». Chaque morceau est balancé sans ménagement dans la poubelle et Athor se redresse enfin laissant apparaître son torse bariolé par l’ombre des stores filtrant une lumière revigorante d’un soleil du matin. Il n’y a que le renouveau du jour pour forcer l’épais nuage de pollution, bientôt la journée reprendra sa pâleur cadavérique pour illuminer la tonne de con qui peuple les rues de la ville. Ses yeux gris semblent chercher un instant quelques choses, il rumine sur la vie ou réfléchis a une excuse pour sa moitié mais il n’y as pas de temps à perdre en philosophie. La cuisine est morte, son cerveau est mort, il faut oublier le petit dej’ et pensais qu’il y aura sûrement quelques chose a grailler dans la cafèt’ de son boulot.
Sa silhouette traverse la pièce, attrape une chemise, un chargeur, une paire de chaussette, un cran d’arrêt, une veste en cuir, quelques papiers et une clope. La journée est parée à décoller même avec une tête dans le cul, direction terres des cons, des bornés et décérébrés, un hymne a l’infidélité, un sauvage repère d’enfoiré. Qui vois le vrai visage de Dreadcast ? Dans l’élan il allume sa clope et dans un éclair jaune son zippo métallisé claque, tranchant le silence froid de son hall d’entrée. La braise rouge semblant scintiller dans cette immensité bétonner. Il avance maintenant en dévisageant la ville, ses grolles s’enfonçant dans les flaques grises, comme ses prunelles qui vaque de ci de là sur les murs envahie d’affiche sans goûts, des imprimés sans saveur de l’homme politique immature à la salope mégalomane dépassé par les putes en terme de classe. Les « holo-stars » du nouveau millénaire n’étaient que des déchets héritier d’un empire décadent. Ils sont tristement les nouveaux rois de la matrice, même pas de temps à perdre pour penser aux petites raclures bodybuilder aussi plat que leur entre jambe. Le mégot s’écroule sur le bitume dans un dernier nuage fantomatique se désagrégant dans l’air. Les portes d’un bâtiment s’ouvrent devant lui alors qu’il salue les gardiens d’un vague signe de tête. Bienvenu a la police de Dreadcast. C’est là qu’il faut être le plus sur ses gardes…
-Hé Lieutenant ! bien sortis du centre de recréation ?
-Comme une fleur ouai…
La prime c’est mon gun dans le cul à l’enfoiré de tueur ripoux.
Bisous tout doux, vieille pute.
