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EDC de MilesTeg~1888

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Réveil

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Sous les draps elle est allongée sur le côté, plongée dans le sommeil. Miles se couche sans bruit à côté d'elle, glisse doucement jusqu’au contact de son corps. Il se blottit contre son dos, se laisse gagner, envahir par la douce chaleur de sa peau. Il niche son visage dans ses cheveux, dans sa nuque, respire son parfum. Son coeur bat, vite, résonne.
Sa main gauche passe par-dessus la hanche, vient frôler ses seins qu’elle convoite un instant. Elle descend le long de son ventre et s'arrête juste au dessus de la culotte qui protège l’intimité de la jeune femme. Miles étend ses doigts sur son ventre comme pour mieux ressentir la respiration de son amour. Un soupir de contentement l'envahi alors qu’elle bouge imperceptiblement, se love contre lui. Son sexe se tend contre les fesses de la jeune femme.
Miles sourit dans le noir, excité par son corps, apaisé par sa présence et heureux de la sentir là avec lui. Il dépose un baiser dans ses cheveux. Sans aucun bruit sur ses lèvres se forment des mots qu’elle ne peut pas entendre : « Mon amour... mon amour...».
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Miles m’avait rejoint dans la nuit. Je l’avais senti se coucher contre moi, m’enlacer, son souffle chaud dans mes cheveux. Dans un demi sommeil, ravie, j’avais eu conscience comme dans un rêve de son sexe dressé contre moi. J’ouvris les yeux dans la timide clarté du matin, portais mon regard vers lui, endormi à côté de moi. Mon homme.
J’observais son visage immobile, beau et serein. Ma main vint se poser sur son torse, électrisée par ce contact je me redressais au dessus de lui pour parcourir sa peau de baisers. Je respirais l’odeur de sa peau pendant que le sommeil me quittait définitivement. Ma bouche vint mordiller son oreille, je savais qu’il se réveillait doucement.
Sa main se mit à parcourir mon dos, alors que la mienne descendait sur son ventre à la rencontre de son sexe. Je le sentis frémir à mon approche, mes doigts glissèrent sur son pubis pour s’enrouler autour de son membre. Sous la pression de ma main je le sentis qui se gonflait. Je le fis coulisser deux ou trois fois entre mes doigts, m’amusant à le rendre plus dur. J’étais radieuse. Mon désir pour Miles augmenta terriblement, mes lèvres se collèrent au siennes. Mes yeux fixés dans les siens je perçus tout l’amour qu’il me portait. Il dut lui aussi y lire quelque chose. Un léger sourire se forma sur sa bouche pendant que ses ongles parcouraient mon dos.
Je me relevais dans le lit, ôtais ma culotte rapidement et écartais les draps complètement pour me placer à califourchon sur lui. Je lui laissais un court instant le loisir d’étudier mes seins dont les pointes trahissaient mon envie, puis je plongeais sur lui pour un baiser brûlant. Ma langue s’insinua sans ménagement dans sa bouche, j’aspirais la sienne. Je mordais ses lèvres, les suçais, mes doigts fourrageaient dans ses cheveux courts. Je me pressais contre lui, frottais mes seins contre son torse. Je percevais sa verge dure contre mon ventre et mon désir qui irradiait entre mes jambes. Je me redressais, à cheval sur ses cuisses, libérant son pénis, levé devant moi. Il était là, à moi, nu entre mes jambes.
Miles en profita. Ses mains se posèrent sur ma poitrine, ses doigts jouant autour des mamelons érigés. Je me soulevais doucement, pris son sexe raide dans ma main, et le dirigeais à l’entrée du mien. Ses mains toujours sur mes seins, j’introduis le bout de son gland entre mes lèvres gonflées, le fit coulisser, remonter entre mes chairs le long de ma fente jusqu’à mon clitoris. Je m’en servais pour me caresser, me masturber avec son sexe luisant de son désir mélangé au mien.
Je le fis aller lentement de bas en haut, frotter sur mon bouton de plaisir, je m’enivrais de son contact, l’appuyant, le pressant contre mon clitoris avec force puis douceur, au rythme de mon désir, du plaisir que je me procurais. J’accélérais, plus fort, ralentissais, jouais avec lui sur moi. Son membre était chaud dans ma main, le bout était chaud sur mon sexe. Mon pouce se posa sur le rebord du gland mouillé, vint le titiller en même temps que je le comprimais sur moi faisant naître une onde de plaisir dans tout mon ventre.
Un râle sorti de ses lèvres, m’excitant d’autant plus. J’en voulais encore, le faire gémir. Je serrais sa hampe humide de nos envies dans ma paume, tirant dessus pour en tendre le frein tout en continuant à frictionner le gland rougi contre mon clitoris turgescent. Je le faisais tourner sur mon bouton, le dirigeais, presque aussi habilement que si cela avait été mon doigt. Je le fis encore gémir, il se cambra sous moi. Sensation délicieuse se mélangeant au plaisir que je me donnais. Je le rendais fou à m’en rendre folle. J’allais le faire jouir, j’en avais extrêmement envie.
A la limite de mon propre plaisir je le harcelais, continuant les vas et viens. Torturant tout son sexe. La tige ferme et compressée dans ma main, le frein excité sous mon pouce, la douce peau sensible du gland venant s’irriter contre mon bouton prêt à exploser. Il gémit encore, son regard perdu à travers moi. Je me sentais couler autour de lui, le lubrifiant. Je le comprimais sur ma vulve, le tendant entre mes doigts, faisant saillir sa chair contre mon clitoris à la vitesse que je désirais. Je le frottais contre moi, le faisant haleter, gémir à la cadence des caresses que je lui imposais. Le faisant chanter de plaisir.
J’avançais alors un peu, le tint droit et m’empalais sur sa verge tendue, voulue. Un doux cri franchit ses lèvres se mêlant au mien. Il était en moi, à moi, dans ma chaleur accueillante. Je basculais alors en arrière, pour le faire pénétrer à fond dans mon corps. J’écartais mes cuisses au maximum, impudique, presque indécente pour le sentir encore plus profondément. Bougeant le bassin en saccades, faisant tressauter mes seins au dessus de lui. Lui offrant mon corps, mon désir en spectacle. Une nouvelle plainte franchit ses lèvres, sensation grisante de le rendre fou. Plaisir extatique de cette pénétration, de l’avoir en moi, à moi.
Je m’appuyais sur lui de toutes mes forces, le faisant entrer jusqu’à la garde. Basculant, tanguant, ancrée autour de son membre, les cheveux épars voletant autour de mes épaules, ruisselante de sueur. Les seins, le visage en point de mire de ses yeux, je le chevauchais, sauvage pour l’emporter dans l’orgasme. Je le sentais dur en moi, à moi.
Je le regardais peu à peu succomber, envahi par la jouissance qui montait en lui. Inéluctablement. Le fourreau de mon sexe l’enserrant au fond de moi, à moi. Ses yeux se fermant, sa nuque se tendant contre l’oreiller, sa bouche s’entrouvrant dans une longue plainte qui montait crescendo. Je l’amenais, il venait jouir en moi, à moi. Je me cambrais le plus possible en arrière, lui arrachant un cri de plaisir pendant que son liquide chaud se déversait dans mon ventre et que le feulement de mon orgasme l’accompagnait.
Je le regardais, encore traversée par les ondes de plaisir qui rayonnaient à travers tout mon corps, irradiaient de mes seins, de ma nuque. Outrageusement victorieuse de le contenter. Je l’aimais.

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... écrit à quatre mains

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