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Il n'y a rien à regretter. Parler pour rien dire, ne sert à rien pourtant la plupart préfèrent l'ouvrir.
J'ai dû être cloné avec un défaut clinique de base, celui de préférer l'action aux paroles. Certains s'endorment, d'autres agissent, d'autres regardent.
Maintenant je préfère largement dormir, pour une bonne raison, vivre n'est plus possible.
Le froid a envahi ce corps depuis longtemps maintenant, pour des bonnes raisons.
Tu sais, tu as toujours des bonnes excuses pour t'en foutre plein le pif, la gueule, te buter, te jeter dans le néant.
Te relever, tes manches mais surtout ta tête d'con c'est plus difficile de le faire.
Les épreuves de vie, sont là pour une bonne raison, te remettre à ta place de vivant, ou de futur cadavre.
Le corps inerte, les souvenirs intacts, peut-être que c'était pour cela la bonne raison de se geler.
Ne pas oublier, ces obstacles, qui ont formé Gasp.
..
..
La rage, incontrôlée par certains moments. Quand la vie ne vaut pas la peine d'être vécu, mais plutôt d'être détruite. Qu'importent les moyens apportés pour le faire, ni le temps que ça prendra mais c'est tellement plus facile d'apporter destruction qu'apporter une once d'humanité dans cette merde ambiante.
Alors, tapes dedans comme un débile, en rigolant te préférence, car le mal pourra peut-être s'exorciser avec les bruits, de tes entrailles comme celle de ta victime qui se brise.
..
C'est vrai, c'est difficile de croire qu'on peut regretter parfois, qu'il faut sans cesse avancer dans ce smog qui te prend la gueule, ce passé qui te court aux basques, mais surtout qu'il n'y a rien à changer. Car tout est déjà perdu, eh ouais mon gars, tu ne révolutionneras pas le monde, celui-ci est déjà prêt de l'explosion.
Alors explose avec lui, en rigolant de préférence, car le mal pourra peut-être s'exposer avec des bruits. Où les entrailles de tous ces pauvres cons autour de toi y compris ta pauvre gueule, sont déjà néants.
Alors explose avec lui, en rigolant de préférence, car le mal pourra peut-être s'exposer avec des bruits. Où les entrailles de tous ces pauvres cons autour de toi y compris ta pauvre gueule, sont déjà néants.
..
..
Quand, ton entourage s'accroche à tes fameuses entrailles, pourtant tu ne sais pas pour quelle raison. Tu me diras, elle essaye de te faire relever la tête, toi tu préfères l'enfoncer contre le mur. Te le taper, l'exploser, détruire ça, avec la masse. Pour ne rien regretter.
Elle se dresse contre-toi, en essayant de te faire sourire, quitte à te l'arracher, avec les dents s'il le faut, qu'importe, vu que la violence est une banalité mortelle.
Elle, te court après, comme la mort. Ces deux ombres se battant, se demandant qui récoltera ton trophée, parmi tellement tant d'autres.
Elle m'attendra jamais, elle ne reviendra pas, alors j'ai fais un choix. Celle de la mort lente, comme un poison qui se diffuse chaque jour un peu plus, jusqu'à avoir franchi les portes du centre, pour se faire geler cette gueule de con.
..
Elle se dresse contre-toi, en essayant de te faire sourire, quitte à te l'arracher, avec les dents s'il le faut, qu'importe, vu que la violence est une banalité mortelle.
Elle, te court après, comme la mort. Ces deux ombres se battant, se demandant qui récoltera ton trophée, parmi tellement tant d'autres.
Elle m'attendra jamais, elle ne reviendra pas, alors j'ai fais un choix. Celle de la mort lente, comme un poison qui se diffuse chaque jour un peu plus, jusqu'à avoir franchi les portes du centre, pour se faire geler cette gueule de con.
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Changer de secteur, de femme, de logement, qu'importe quand tes regrets sont déjà présents, jusqu'à envahir ton corps et tes pensées.
Tu gagne du temps, tu nages à contre-courant, jusqu'à t’essouffler et donner ton dernier souffle. Que ça soit entre ces murs, ou à l'extérieur.
Tu n'as plus rien à perdre, car c'est déjà le cas. Alors, que ça soit des impériaux avec leurs règles à la con, ou des rebz, qui gueulent dans les bars.
Rien ne change. Tu es bien seul.
Tu n'es plus. Tu as froid. Et ça le restera dans tes entrailles.
Tu gagne du temps, tu nages à contre-courant, jusqu'à t’essouffler et donner ton dernier souffle. Que ça soit entre ces murs, ou à l'extérieur.
Tu n'as plus rien à perdre, car c'est déjà le cas. Alors, que ça soit des impériaux avec leurs règles à la con, ou des rebz, qui gueulent dans les bars.
Rien ne change. Tu es bien seul.
Tu n'es plus. Tu as froid. Et ça le restera dans tes entrailles.
Jusqu'à les faire exploser, ça serait bien.
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Informations sur l'article
Life is life
09 Février 2020
750√
10☆
4◊
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◊ Commentaires
-
Dhorhzaartzsyhrok (20☆) Le 10 Février 2020
Sale moche. -
Madison (2☆) Le 11 Février 2020
On va t’faire regretter du coup. :(