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Passion (22/03/10 à 16:59)
Encore dans les limbes,
Je te cherche, là tout à coté de moi.
La place est vide, mais encore chaude de ta présence.
Je te cherche, là tout à coté de moi.
La place est vide, mais encore chaude de ta présence.
En bas dans la cuisine j’entends le bruit de ton corps
Qui se déplace sans bruit.
Je ferme les yeux.
L’odeur du café vient me chatouiller les narines.
Et je revois nos étreintes passionnées de tout à l’heure.
Je frissonne à la pensée de tes mains sur moi.
Qui se déplace sans bruit.
Je ferme les yeux.
L’odeur du café vient me chatouiller les narines.
Et je revois nos étreintes passionnées de tout à l’heure.
Je frissonne à la pensée de tes mains sur moi.
J’ouvre les yeux et tu es là penché sur moi.
Je te souris, j’enlace ton cou.
Tu souris et m’embrasse tendrement.
Ton baiser a le gout du café frais et du pain à la confiture.
Le baiser dure. Tu le quitte à regret.
J’ouvre les bras, comme pour te dire, va, fais comme tu veux
Mais mes yeux te disent de rester,
Te demandent de me prendre dans tes bras
Ton regard parcours les draps que tu viens de quitter
Tu répète ne me tente pas…
Mais ta voix dit le contraire de tes mots,
Elle dit ne me laisse surtout pas partir
Garde-moi prés de toi, garde-moi en toi.
Alors je ferme les yeux pour que tu puisses partir plus facilement
- Tu ne dors pas ? Je ne voulais pas te réveiller…
- Ce n’est pas toi qui m’as réveillée, c’est l’absence de toi…
Je te souris, j’enlace ton cou.
Tu souris et m’embrasse tendrement.
Ton baiser a le gout du café frais et du pain à la confiture.
Le baiser dure. Tu le quitte à regret.
- Je dois partir, je dois aller travailler, ne fais pas ca, ne me tente pas…
J’ouvre les bras, comme pour te dire, va, fais comme tu veux
Mais mes yeux te disent de rester,
Te demandent de me prendre dans tes bras
Ton regard parcours les draps que tu viens de quitter
Tu répète ne me tente pas…
Mais ta voix dit le contraire de tes mots,
Elle dit ne me laisse surtout pas partir
Garde-moi prés de toi, garde-moi en toi.
Alors je ferme les yeux pour que tu puisses partir plus facilement
Et là d’une impulsion, tu retire tes vêtements et tu viens me rejoindre
Au moins cette fois là l’amour aura gagné sur la raison.
Au moins cette fois là l’amour aura gagné sur la raison.
Informations sur l'article
Les origines de tout
25 Mars 2012
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