EDC de Zalaniz

Citation à méditer: faber: ouvrier, artisan
Faber est suae quisque fortunae: Chacun est l'artisan de sa propre fortune/chance

La question est qui je suis si je ne suis pas celle qui entre dans la jungle en réunion avec la crème brûlée des entreprises, cette jeune DI qui pousse les portes de la Direction de l'Administration Impériale. L'Organisation Impériale DAI est terre vierge et c'est un plaisir de relever le défi pour celle qui ose s'y avancer.

Elle invite et préside un Forum économique.
Choix judicieux parmi les candidats à la présidence, elle, elle sait qu'elle sera utile et à la bonne place. L'un d'eux qui n'a pas son siège, place convoitée très stratégique qui lui n'a pas été choisi pour le poste lui lance devant tous : vous êtes incompétente... vous pouvez vous choisir un autre siège. Le sourire s'échappe presque de ses lèvres et la DI qui doit présider l'assemblée des DG sait qu'elle est devra garder le calme. Elle a l'impression de crawler, nageant en eau trouble dans cette empoignade entre eux, à coups de piques insignifiantes et traitement de récalcitrants.
Un certain "mastercard" quitte la salle, mais pour continuer de travailler de son côté dans l'ombre et elle doit les rassurer. L'autre le "revendicard"; lui ne lâche pas la ligne, même si il a dit haut et fort partir d'ici.
Car des capitalistes, il en existe aussi. Il y a aussi des belles volontés, des propositions sensées, de l'écoute entre eux, même si certains trop baba-cool imaginent aider les chiffres d'affaires à marges presque zéro pour que les salaires tombent du ciel comme la pluie dans un champs de bénévole.
Des compliments aussi elle en récolte. et hop voilà qu'un chacal profite de sa confiance et discute par derrière mais elle gardera les yeux ouverts.

Les écoutant et prenant des notes, elle espère qu'ils se mettront d'accord sur les prix pour le secteur et pourront avancer marchant droit comme des Homo Sapiens Sapiens Sapiens Sapiens Sapiens....

Si je ne suis pas elle, et même si je l'étais, je n'aimerais peut-être pas devoir arriver comme elle à démontrer ses compétences et devoir remettre en route une économie qui semble se plonger dans la morne envie de ne plus rien promettre comme rêve aux consommateurs aventureux.
La Récession des fameux 2 % frappe et voilà que les chiffres des budgets dégringolent et que les nouvelles manières de comptabiliser les budgets buguent. Comme dans un pré en friche, tout ceci elle se l'arrache quand même à force de volonté.

Volonté: c'est le mot d'ordre, ne pas craindre de "jungler" d'apprendre, et de se plonger dans ses dossiers et rapports, même au détriment de sa vie privée qui dort.

Elle se souvient dans la pause café des anciens contrôles BBI à son entreprise, et sourit : pour elle c'est comme regarder un film et ne garder que le bon: ils eurent beaucoup. un beau "The End".
Il lui reste à recréer le "trailer."
Quo Vadis ? (où allons-nous?)
Elle aime l'Imperium pour sa force d'indépendance face à Consortium.

Et puis dans les bars si les prix ne doivent pas trop hausser et que que la consommation stagne en boutique, c'est parce ce que les Masses du Capital elles ne pensent qu'à se restructurer, de peur de ne plus jamais gagner de l'argent parce que si leur compte craque lui, c'est qu'il est déjà rempli à bloc.
Le secteur immobilier est bloqué par de la spéculation. pour que les logements puissent être construits, il faudra peut-être invoquer une Assemblée impériale DAI?

Les recommandations sont faites. L'économie doit s'amplifier, se développer, laissant encore une marge à la mini-jungle des prix... et les salaires monteront.

Heureusement pour les citoyens qui lisent cette histoire, elle veille en disant: "comptez sur moi!" heureusement que je suis comme elle qui travaille pour l'Imperium et compte sur ses DG bien intelligents et que je compte justement le budget impérial.
LZ