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EDC de Jack~25139

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Cacher

Y'a quand même d'sacrés cons.

J'crois que j'ai pas b'soin d’dire à la populace qu'y a des cons partout.
Mais j'dois tout de même vous dire qu'il y en a certains qui tiennent une sacrée couche.
J'ai des exemples... des tonnes même mais j'vais en citer qu'un. Bien sur j'donnerais pas de noms, mais j'pense que la plupart le reconnaîtrons.
Y'a pas plus tard qu'hier tiens ! J'pars boire un coup peinard au Dark art' bar, avec deux gonzesses...
Des amies hein... allez pas imaginez que j'étais en train d'monter un plan partouze. Pas qu'j'en serais pas capable mais c'pas mon genre.
Bref, j'discute peinard. On vide quelques bouteilles. Et v'la pas qu'un tocard entre.
Mais attention pas le tocard de base, nan le vrai de vrai.
Le mec, aussi con qu'un balais... et encore j'insulte le balais là...
Enfin bref... le mec déjà. Il commence mal sa soirée. Il vient s'écraser la raie là où je jactais avec les deux filles.
Echec.

Si y'a bien un truc qui me gonfle, c'est quand on vient skwatter ...
Enfin bref, j'me la colle en sourdine, t'facons, j'ai l'balais à cons dans la main... Ouais mes Wolfers quoi.
Le gars blablate un peu, puis remarque qu'une des deux filles porte deux superbes Katanas que j'viens d'lui offrir juste un peu avant qu'il vienne nous emmerder.
Il lui demande comment elle les a eus. La gonzesse me montre du doigt. L'autre commence...
Il commence une scène genre, t'sais, un peu du « j't'ignore » , dans l’style « t'es pas intéressant. »
Bref il était jaloux quoi.
Il parle en chuchotant aux deux filles. Encore une fois ça me tape sur les nerfs.
Le mec commence à jouer avec mes couilles. Ca a le don d'm'agacer.
Les filles lui disent deux ou trois conneries. J'en sais foutre rien j'entendais pas.
Et pour tout dire... j'm'en claque la guiche contre un mur.
Mais l'type a pas l'air d’apprécier. Il me regarde haineux et la... comble de l'enculisme… -pour ceux qui se pose la question de savoir si le mot existe vraiment... et bien oui... j'viens d'l'inventer-
: il propose au deux gonzesse d'aller boire un verre ailleurs. Les deux refusent... j'me fend la gueule.
Et v'la que l'bordel s'approche de moi et me parle à voix basse.
"Tue moi" qu'il me dit.
Sauf que moi, j'me fous d'sa gueule, bien évidemment ! Je le balance à l'ensemble du bar.
Mais bémol... j'avais promis au deux filles de pas l'flinguer quelques minutes plus tôt.
Donc j'lui dis d'aller se coucher. J'en profite pour rajouter qu'c'est un abruti.
Le con m'attaque. Avec un fusil automatique... un XVI... autant dire que la première rafale que j'prends dans la gueule me fait ni chaud ni froid.
T'façons, y'a pas eu de deuxième rafale.
Je lui fonce dessus avec mes Wolfers.
Un p'tit revers bien placé et l'bonhomme est au tapis.
J'ai tout dégueulassé le plancher au passage.
Il me demande de l'achever. Moi j'ai fait une promesse... j'le laisse au sol comme une merde.
Une des deux filles se lève pour le soigner.
Soit... faut qu'certains aient encore un peu de pitié.
Bref, il se fait rafistoler et s'casse... moi j'me rassois .
Pendant ses messes basse, l'avait du faire un coup de chantage affectif car la fille qui l'a soigné fond en larme et s'éloigne dans un salon.
J'la suis avec la deuxième fille et j'la console. Et ouais... j'y arrive.
-le premier qui se marre, même tarif que d'habitude : ma main en travers de la gueule !-.
Puis l’v'la qui m'envoie un message sur mon com, le con !
Il veux que je le rejoigne pour le tuer... définitivement.
J'peux pas refuser d'rendre un service hein ?
En tant que mec serviable. J'abandonne les gonzesses puis j'me dirige vers l'adresse qu'il m’a r'filée. J'entre et j'le vois. A poil, sans arme.
Il veut tailler une bavette.
J'essaye d'être sympa et de r'garder ma montre aussi discrètement que possible.
J'ai quand même un skiwi qui m'attend et l'autre qu'en finit plus d'causer.
A un moment, j'essaye d'abréger un peu car ça d'vient long. Il hoche la tète...
Tant mieux, ce sera la dernière fois, j'compte la lui trancher.
Le mec se la joue rituel de con. S'agenouille. J'ai presque cru qu'il allait me proposer une pipe ce con !
Puis non, il reste la comme le fion posé sur ses talons, baisse la tête et me présente sa nuque.
J'me prend mes Katanas , j'lève bien haut... et VLAN, j'lui fait sauter la caboche.
J'm'allume un cigare et j'rejoins mon skiwi et les deux gonzesse.
Bénéfice net de sa connerie.
Trente minute de perdue.
dont trente à me faire chier.
j'ai marché pour rien.
des larmes sur les joue d'la d'moiselle.
et un Skiwi qu'est d'venu tiédasse...

J'vide les ordures... j'suis une sorte d'éboueur de la ville a ma facon.

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