EDC de Oline~44029
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l'ombre d'elle même
La rue était déserte, sombre, stérile de tout signe de vie.
les immondices éparpillées par les fouilles et les déchets encore frais
traînant ici et là représentaient les seules preuves qu'il y avait eus de la vie en ces lieux.
Par moment des cris ténues et strident se faisaient l'écho sur les façades
des immeubles du sud aux allures de tombeaux.
les immondices éparpillées par les fouilles et les déchets encore frais
traînant ici et là représentaient les seules preuves qu'il y avait eus de la vie en ces lieux.
Par moment des cris ténues et strident se faisaient l'écho sur les façades
des immeubles du sud aux allures de tombeaux.
témoignage sonore de quelques créatures parasites qui luttaient pour leurs survies
se bagarrant jusqu'à leurs derniers souffles pour gagner de quoi manger.
Ou bien était ce tout simplement le son des volets anti-radiation, qui,
rouillés jusque dans leurs profondes charnières, gémissaient de leurs longues décrépitudes.
D'aucun n'aurait pus l'affirmer cependant.
Lentement mais inexorablement un autre échos se faisait entendre.
disparate et peu rythmé, mais approchant.
C'était le son caractéristique d'escarpins qui frappaient le béton.
frottant parfois le revêtement grisâtre de l'asphalte, dans un pas maladroit et lourd.
se bagarrant jusqu'à leurs derniers souffles pour gagner de quoi manger.
Ou bien était ce tout simplement le son des volets anti-radiation, qui,
rouillés jusque dans leurs profondes charnières, gémissaient de leurs longues décrépitudes.
D'aucun n'aurait pus l'affirmer cependant.
Lentement mais inexorablement un autre échos se faisait entendre.
disparate et peu rythmé, mais approchant.
C'était le son caractéristique d'escarpins qui frappaient le béton.
frottant parfois le revêtement grisâtre de l'asphalte, dans un pas maladroit et lourd.
au milieu de se décors monolithique et souillé jusqu'au plus hautes fenêtres des immeubles, une silhouette frêle titubait.
son ombre se tortillant avec plus d'aisance encore, que sa propriétaire torturée.
cela provenait il aussi du fait que les lampadaires usés au point de
n'être plus que des potences décharnés pour leurs luminaires,
se balançaient au grès des vents, ajoutant un peu plus au malaise visuel, que représenté cette portion sud de la rue de la propagande.
difficile de trouver de la couleur dans cette artère de ciment et d'acier.
Malgré l'ambiance nocturne de cette heure
tardive, il aurait été difficile de distinguer une différence même tenue au plein jour.
La blancheur de l'humaine ainsi que son apparence irréprochable contrastait
avec l'environnement sombre et morbide. .
Oline se déplaçait telle un flocon de neige au milieu d'une tempête de cendre.
entrainée quelques pas sur la droite, puis quelques autres sur la gauche.
titubant et gémissant par moment, reprenant inexorablement sa marche après
quelques vertiges qui la forçaient a chercher son équilibre le temps d'un arrêt.
son ombre se tortillant avec plus d'aisance encore, que sa propriétaire torturée.
cela provenait il aussi du fait que les lampadaires usés au point de
n'être plus que des potences décharnés pour leurs luminaires,
se balançaient au grès des vents, ajoutant un peu plus au malaise visuel, que représenté cette portion sud de la rue de la propagande.
difficile de trouver de la couleur dans cette artère de ciment et d'acier.
Malgré l'ambiance nocturne de cette heure
tardive, il aurait été difficile de distinguer une différence même tenue au plein jour.
La blancheur de l'humaine ainsi que son apparence irréprochable contrastait
avec l'environnement sombre et morbide. .
Oline se déplaçait telle un flocon de neige au milieu d'une tempête de cendre.
entrainée quelques pas sur la droite, puis quelques autres sur la gauche.
titubant et gémissant par moment, reprenant inexorablement sa marche après
quelques vertiges qui la forçaient a chercher son équilibre le temps d'un arrêt.
Non pas parce que le vent était fort,
mais parce qu'elle avait l'impression que son coeur était remonté dans son crâne,
battant ses tempes a lui en faire perdre la raison.
Sur quelques mètres, son équilibre trouvait parfois le repos. se servant d'un mur
comme maintient ou prenant appuie le temps d'une pause, sur l'épave d'un véhicule.
Véritable charogne érodée, polie et décapée par les pluies acides. Elle avait
déchirée ses collants a trop prendre appui sur les carcasses torturées.
son regard était celui d'une agonisante.
oscillant entre la blancheur de ses yeux révulsés par la douleur et le gris-vert
de ses pupilles qui dans des soubresaut de lucidité imprimaient les quelques mètres suivants à parcourir.
elle avait tenue comme ça sur des kilomètres.
Le corps entraîné et éprouvé prenant le dessus
sur l'esprit absent de la jeune femme.
Cela ne lui avait pas franchement servis en bien, puisque le flocon de pureté qu'elle était, avait finis sa laborieuse marche aux portes d'un taudis lugubre.
Dans son cauchemar a demi éveillé, elle se souvenait vaguement de l'odeur du cafey, du son d'une tasse brisée, de quelques couleurs vives qui habillées le Gossip'flow ainsi que la voix d'un elfe séduisant.
Et par dessus tout la chaleur étouffante de son propre corps qui l'avait menée a chercher l'air frais à l'extérieure.
oscillant entre la blancheur de ses yeux révulsés par la douleur et le gris-vert
de ses pupilles qui dans des soubresaut de lucidité imprimaient les quelques mètres suivants à parcourir.
elle avait tenue comme ça sur des kilomètres.
Le corps entraîné et éprouvé prenant le dessus
sur l'esprit absent de la jeune femme.
Cela ne lui avait pas franchement servis en bien, puisque le flocon de pureté qu'elle était, avait finis sa laborieuse marche aux portes d'un taudis lugubre.
Dans son cauchemar a demi éveillé, elle se souvenait vaguement de l'odeur du cafey, du son d'une tasse brisée, de quelques couleurs vives qui habillées le Gossip'flow ainsi que la voix d'un elfe séduisant.
Et par dessus tout la chaleur étouffante de son propre corps qui l'avait menée a chercher l'air frais à l'extérieure.
La porte, où ce qui était sensé l'incarner pivota facilement sous la main manucurée mais pataude de la jeune femme.
A y réfléchir, y avait il seulement une porte ou était ce l'état d'agonie de son esprit qui,
dans un conditionnement absurde l'avait convaincu qu'il y en avait une.
Le corps d'Oline délivrait les quelques onces de force qui lui restés.
A y réfléchir, y avait il seulement une porte ou était ce l'état d'agonie de son esprit qui,
dans un conditionnement absurde l'avait convaincu qu'il y en avait une.
Le corps d'Oline délivrait les quelques onces de force qui lui restés.
Ne supportant plus sa migraine, elle finit par se plaquer contre un mur du hall
et se laissa glisser le long des briques pour finir assise
à même le sol au milieu des immondices.
L'odeur acide de l'urine de troll qui embaumait les lieux n'avait pas pus réanimer l'esprit d'Oline.
Tout ses sens lâchant un a un avant l'évanouissement
qui ne tarderait pas à l'engloutir.
Dans un dernier geste proche de l'acte de bravoure, elle appuya sur son com'vidéo
et composa le seul nom qui lui vint à l'esprit, si esprit il lui restait.
et se laissa glisser le long des briques pour finir assise
à même le sol au milieu des immondices.
L'odeur acide de l'urine de troll qui embaumait les lieux n'avait pas pus réanimer l'esprit d'Oline.
Tout ses sens lâchant un a un avant l'évanouissement
qui ne tarderait pas à l'engloutir.
Dans un dernier geste proche de l'acte de bravoure, elle appuya sur son com'vidéo
et composa le seul nom qui lui vint à l'esprit, si esprit il lui restait.
le plus court lui était venue dans les doigts et elle le composa inconsciemment.
Trois lettres salvatrices entre coupé d'un chiffre.
la vidéo retransmise un bref instant.
si court fus la durée de l'enregistrement, il avait tenue bien plus longtemps que la résistance de la malheureuse, qui s'était déjà abandonnée toute entière au néant, abattue d'épuisement.
Trois lettres salvatrices entre coupé d'un chiffre.
la vidéo retransmise un bref instant.
si court fus la durée de l'enregistrement, il avait tenue bien plus longtemps que la résistance de la malheureuse, qui s'était déjà abandonnée toute entière au néant, abattue d'épuisement.
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Informations sur l'article
Ballet des ombres
01 Décembre 2013
1004√
10☆
10◊
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◊ Commentaires
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Wanderlust (58☆) Le 01 Décembre 2013
Ah ben non hein! * -
Oline~44029 (617☆) Le 01 Décembre 2013
Oline est abonnée au coup dur que je le veuille ou non la pauvre ^^
merci beaucoup pour les étoiles -
Ella~7202 (137☆) Le 01 Décembre 2013
Courage petite fleur bleue, il y a des hauts et des bas mais ce qui compte c'est pas de se laisser briser, tu tombera.. tu te blessera les genoux en tombant a terre , tu saignera, le monde semblera vide et la solitude sera lourde et éttouffante , mais tu te relevera ... tu survivra et plus fort tu te relevera. -
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Gecko~2722 (489☆) Le 01 Décembre 2013
.... -
Oline~44029 (617☆) Le 01 Décembre 2013
bon cette fois c'était voulu par sa LJD je précise.
@gecko oui lui aussi il est adorable. absent mais adorable
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Geoffrey (0☆) Le 02 Décembre 2013
alors étoile et également courage à Oline mais elle surmontera ça sans nul doute
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