EDC de Oline~44029
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Cacher
l'ombre d'une amie
La jeune femme aux mèches vertes avait décidée
Qu'il était temps pour elle.
Le temps de trouver un peu de repos pour mieux revenir.
L'amie d'Oline était épuisée et avait besoin d'un second souffle.
Oline qui avait eus toutes les peines du monde a accepter
cette décision, avait finie par comprendre son choix.
Depuis sa promotion, la DG du Bullets avait perdue un a un les rares proches avec qui elle se confiait.
Elle avait donc naturellement cherchée par tous les moyens de sortir cette idée
de la tête de son amie, mais a force de patience et de persuasion
cette dernière avait réussie a la rassurer et à calmer ses angoisses.
Cela faisait plusieurs heptades que le départ était annoncé.
Oline avait essayée de faire en sorte, que,chaque moments partagés
toutes les deux, seraient placés sous le signe de la joie et de la complicité.
Ceci permise a Oline d'appréhender un peu mieux
le moment fatidique où elle regarderait son amie se figer dans le froid
et la solitude.
Qu'il était temps pour elle.
Le temps de trouver un peu de repos pour mieux revenir.
L'amie d'Oline était épuisée et avait besoin d'un second souffle.
Oline qui avait eus toutes les peines du monde a accepter
cette décision, avait finie par comprendre son choix.
Depuis sa promotion, la DG du Bullets avait perdue un a un les rares proches avec qui elle se confiait.
Elle avait donc naturellement cherchée par tous les moyens de sortir cette idée
de la tête de son amie, mais a force de patience et de persuasion
cette dernière avait réussie a la rassurer et à calmer ses angoisses.
Cela faisait plusieurs heptades que le départ était annoncé.
Oline avait essayée de faire en sorte, que,chaque moments partagés
toutes les deux, seraient placés sous le signe de la joie et de la complicité.
Ceci permise a Oline d'appréhender un peu mieux
le moment fatidique où elle regarderait son amie se figer dans le froid
et la solitude.
Les derniers instant avaient sonnés, Oline l'attendait à son établissement.
Elle était assise sur l'un des nombreux poufs de son bureau.
Deux tasses de cafey posées devant elle, les volutes de chaleurs dansant au
dessus des breuvages chauds et apaisant.
Son amie était arrivée avec des cartons dans les bras.
Oline fut étonnée, mais le doute lui sorti de l'esprit très rapidement devant le sourire
réconfortant de l'arrivante.
L'autre vint a s'asseoir a ses cotés et prise une tasse.
Elle lui confia alors le contenu de ses cartons.
La directrice enregistra soigneusement tout ces effets personnelles
et lui promise de tout conserver pour son retour.
L'autre se contentait de sourire tendrement à Oline, installant un peu plus
un climat de quiétude et de chaleurs, malgré le départ qui s'annonçait.
Elle était assise sur l'un des nombreux poufs de son bureau.
Deux tasses de cafey posées devant elle, les volutes de chaleurs dansant au
dessus des breuvages chauds et apaisant.
Son amie était arrivée avec des cartons dans les bras.
Oline fut étonnée, mais le doute lui sorti de l'esprit très rapidement devant le sourire
réconfortant de l'arrivante.
L'autre vint a s'asseoir a ses cotés et prise une tasse.
Elle lui confia alors le contenu de ses cartons.
La directrice enregistra soigneusement tout ces effets personnelles
et lui promise de tout conserver pour son retour.
L'autre se contentait de sourire tendrement à Oline, installant un peu plus
un climat de quiétude et de chaleurs, malgré le départ qui s'annonçait.
Elles entamèrent l'heure fatidique.
Oline accompagna son amie jusqu'au centre de Cryogénisation.
Là, dans le froid de plus en plus mordant elles patientèrent qu'un autre les rejoignes.
Les lèvres fines et douces d'Oline se paraient peu a peu de bleu.
La cuve était grande ouverte, baignant les deux jeunes femmes de sa lumière glaciale.
Oline avait croisée les bras et se les frictionnait, mais cette effort insignifiant ne pus l'empêcher de greloter de froid, mais pas seulement.
Elle prenait le temps d'observer le sinistre établissement.
Le paradoxe du centre de cryogénisation la troublait.
Comment un endroit pouvait être aussi morbide, froid et dépourvu
de toute vie alors que dans ses entrailles reposaient des milliers d'individus en sommeil.
Oline accompagna son amie jusqu'au centre de Cryogénisation.
Là, dans le froid de plus en plus mordant elles patientèrent qu'un autre les rejoignes.
Les lèvres fines et douces d'Oline se paraient peu a peu de bleu.
La cuve était grande ouverte, baignant les deux jeunes femmes de sa lumière glaciale.
Oline avait croisée les bras et se les frictionnait, mais cette effort insignifiant ne pus l'empêcher de greloter de froid, mais pas seulement.
Elle prenait le temps d'observer le sinistre établissement.
Le paradoxe du centre de cryogénisation la troublait.
Comment un endroit pouvait être aussi morbide, froid et dépourvu
de toute vie alors que dans ses entrailles reposaient des milliers d'individus en sommeil.
Le vautour était finalement arrivé.
La DG n'était pas angoissée, a son grand étonnement.
elle plaisantait même sur les gages qui menaçaient
son amie si elle ne revenait pas assez vite.
après tout se disait elle, ce n'était qu'une pause.
Elle comprenait le besoin de se reposer un moment et leurs retrouvailles n'en serait que plus belle.
Néanmoins Oline ne pus réprimer un élan d'émotion et prise son amie dans ses bras.
Les larmes gagnaient peu a peu son regard, mais elle tenue bon.
La DG promettait déjà un retour en fanfare à son amie, alors
que vint le tour du vautour.
La jeune femme céda sa place et observa longuement ses deux compagnons de toujours,
souriante devant cette amitié qui les animait tous les trois.
A la fois redoutait depuis des lustres et néanmoins filant comme un éclair, se fut le moment.
Oline et le vautour étaient alors cote a cote pour regarder
leurs amie aux mèches vertes poser un pied dans sa cuve.
Elle leurs adressa un dernier sourire emplis de tendresse et une dernière larme.
Les deux restant lui sourirent, eux aussi animés d'émotion.
Ce n'était qu'un au revoir qui ne tarderait pas a être transformé en chaleureuses accolades de retrouvaille.
La DG n'était pas angoissée, a son grand étonnement.
elle plaisantait même sur les gages qui menaçaient
son amie si elle ne revenait pas assez vite.
après tout se disait elle, ce n'était qu'une pause.
Elle comprenait le besoin de se reposer un moment et leurs retrouvailles n'en serait que plus belle.
Néanmoins Oline ne pus réprimer un élan d'émotion et prise son amie dans ses bras.
Les larmes gagnaient peu a peu son regard, mais elle tenue bon.
La DG promettait déjà un retour en fanfare à son amie, alors
que vint le tour du vautour.
La jeune femme céda sa place et observa longuement ses deux compagnons de toujours,
souriante devant cette amitié qui les animait tous les trois.
A la fois redoutait depuis des lustres et néanmoins filant comme un éclair, se fut le moment.
Oline et le vautour étaient alors cote a cote pour regarder
leurs amie aux mèches vertes poser un pied dans sa cuve.
Elle leurs adressa un dernier sourire emplis de tendresse et une dernière larme.
Les deux restant lui sourirent, eux aussi animés d'émotion.
Ce n'était qu'un au revoir qui ne tarderait pas a être transformé en chaleureuses accolades de retrouvaille.
Mais voila ..
Le caisson se referma et dans un dernier geste, leurs amie lança le cryogénisation et déprogramma la date de réveil.
Le caisson se referma et dans un dernier geste, leurs amie lança le cryogénisation et déprogramma la date de réveil.
Une fraction de seconde trop tard, Oline tiqua et cria désespérément " non, attend !!! "
au moment même ou le corps se figeait.
au moment même ou le corps se figeait.
Comme un coup de masse reçu dans le ventre, la jeune femme tomba a genoux.
Elle ne pouvait plus respirer, ne pouvait plus parler, tétanisée par son
Chagrin et l'incompréhension la plus total.
Là, dans le froid mordant le souffle cours et la peau violacée, elle se cramponna a son voisin,
tremblante et submergée par la peine.
Le vautour quand à lui posa une main sur l'épaule de la jeune DG à genoux. l'empoignant fermement d'une étreinte d'acier, réprimant la submersion a l'inverse de son amie inconsolable.
Elle ne pouvait plus respirer, ne pouvait plus parler, tétanisée par son
Chagrin et l'incompréhension la plus total.
Là, dans le froid mordant le souffle cours et la peau violacée, elle se cramponna a son voisin,
tremblante et submergée par la peine.
Le vautour quand à lui posa une main sur l'épaule de la jeune DG à genoux. l'empoignant fermement d'une étreinte d'acier, réprimant la submersion a l'inverse de son amie inconsolable.
Le caisson s'anima et s'enfonça dans son socle lentement.
Oline regarda alors pour la toute dernière fois son amie figeait dans le sommeil éternel,
disparaitre à tout jamais..
Oline regarda alors pour la toute dernière fois son amie figeait dans le sommeil éternel,
disparaitre à tout jamais..
Implacablement l'écran annonça le prénom, le nom et l'image de la nouvelle occupante.
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Informations sur l'article
Ballet des ombres
11 Novembre 2013
1488√
13☆
5◊
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◊ Commentaires
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Xaios~41544 (430☆) Le 12 Novembre 2013
Xaios ne l'a pas effacer de sa liste de contact et la gardera toujours. (Merci a vous deux pour ce moment qui m'a presque fait verser une larme*snif* magnifique !) -
Ladoria~7869 (221☆) Le 12 Novembre 2013
M'oui. 'Faites chier avec vos deletes, un personnage c'est une multitude de petits souvenirs qu'on aime garder.
('Puis Lado n'a pas pu aller chercher ses pix' du coup! Elle comprendra, si elle passe par là.) -
Jack~25139 (1234☆) Le 22 Novembre 2013
OLINE EST LA PLUS BELLE ! -
