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Traité de Philosophie

Quelque part, dans une petite pièce silencieuse mais embaumée d'une légère odeur d'encre et de papier neuf, une silhouette au corps extrêmement marqué, assise en lotus, est penchée sur une table basse. Une table basse elle-même chargée, entourée, de nombreux feuillets gribouillés, disposés sans ordre apparents et couverts de petits caractères peu lisibles.
Cependant malgré cette préférence marquée pour un format, l'écrivain ne manie pas un des stylos eux en revnache rangés alignés méticuleusement a un coin de la table, mais son propre doigt sur le tactile d'un deck.



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Une main métallique se révèle alors, prenant avec son opposée le deck pour le retourner, et en ouvrir le capot d'une pression vigoureuse, révélant ses entrailles de verdures et de grisailles aux courbes, droites et filigranes tracés d'une précision d'usine.
Il vient saisir alors la batterie, pour l'arracher de son logement, annihilant toute activité ultérieure parcourant l'ensemble synthétique.




Traité de Philosophie

Par la Légion des Enclism


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Traité de Philosophie
Par La Légion des Enclism

Table des matières
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Préface, page 3.

I. Qu'est-ce que la Philosophie ? Pages 4 à 6.

II. Les différences entre la méthode philosophique, et scientifique.
Pages 7 à 9.

III. Les différentes branches de la philosophie. Pages 10 à 11.

IV. Quelques grandes questions philosophiques. Et l'Impérialisme ? Pages 12 à 15.

Conclusion, page 16.

Préface
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Avant toutes choses, toute réflexion concernant la philosophie, il convient de donner certaines de ses caractéristiques.

La philosophie est une démarche personnelle, en cela, elle est propre a chacun, intime même, les réponses que l'on y échafaude, mais aussi les questions, en disant long sur nous-mêmes.

Cet ouvrage s'il définit les bases de la philosophie, ne saurait retranscrire toutes les questions, toutes les réponses que chacun peut se poser, et même également les méthodes pour parvenir à ses conclusions propres. Mais il est une tentative de dresser un tableau fidèle de ce qu'est la philosophie, et combien en plus d'être personnel a chacun doué d'intelligence et peut-être de conscience de soi, c'est un exercice que nous pratiquons bien plus que nous le pensons...

Et qui pourtant est considéré de manière très ingrate, voire même, est réprimé. Pourtant, il est la base de la réflexion critique, bien avant toute rhétorique ou méthode scientifique. Réflexion critique sur soi, sur les autres, sur ce qui nous entoure... Sur tout.

Comment ne pas y voir une étape nécessaire à l'Âge de l'Esprit ?

I. Qu'est-ce que la philosophie ?
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Étymologiquement "l'amour de la sagesse", la philosophie est sans doutes premièrement une méthode de réflexion, qui s'illustre d’ailleurs bien jusque dans sa propre définition dont chacun se forge la sienne, sur laquelle chacun peut bien philosopher des délimitions, de ce que cela englobe !
C’est sans aucun doute ce qui contribue à emmêler les pinceaux et entretenir une image négative de la philosophie, comme étant quelque chose de circonvolu, quelque chose qui prône une chose et son contraire à la fois, qui n'as ni de début ni de fin, un monstre nébuleux aussi imposant que pourtant intangible, sa poigne sur la seule pensée.

Mais si l'on accepte donc la philosophie comme étant premièrement un simple schéma de réflexion, l'on tient le bout du fil qui permet de rembobiner tout ce qu'elle couvre, entoure. C'est l'art, la 'science' (ou pré-science), le débat, la dialectique, qu'ils soient intérieurs ou partagés, qui consiste à réfléchir en termes d'arguments et de contre arguments, notamment sur des concepts comme le bien, le mal, la politique, l'éthique, les idéologies, l'art, l'esthétique, le droit, dans une démarche de poursuite de la vérité analogue à toute science, mais par des méthodes différentes.

I. Qu'est-ce que la philosophie ?
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La philosophie, c'est chercher le sens profond de chaque chose, interpréter, car toujours, la profondeur se cache dans la complexité, un symbole par exemple, étant une expression simplifiée de nombreux sens conjugués. Par exemple, une personne profonde se cache souvent derrière un masque de pudeur ses contrastes qui peuvent apparaître oppositions, et au fond, on comprend vite que même essayer de ne pas porter de masque, vouloir ne pas en porter, c'est justement un autre masque : L'on porte forcément un masque, qui est l'interprétation de nos paroles, de nos faits, par les autres, voir nous-mêmes...
La superficialité au fond, est-elle aussi un sage masque, un instinct de conservation ? Chercher à s'entourer d'esthétisme, soigner l'aspect, simplifier les choses aux sens, n'est-il pas un déni de la réalité, une souffrance secrète de vouloir avoir l'air plus ?

La philosophie, c'est chercher aussi, les tenants et aboutissants de problèmes même insolubles ou des principes irrationnels. Ce qui peut sembler une perte de temps, où autrement une démarche Impérialiste ou Rebelle de réfléchir, penser à tout, sur tout, dans une liberté totale de la pensée pour l'élever, sans s'accrocher par exemple a la fausse liberté, opposée, de réfléchir sur des sujets communément acceptés, impériaux ou rebelles, en des termes acceptés par des pouvoirs en place.

I. Qu'est-ce que la philosophie ?
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En somme, c'est ce principe même qui fait que la philosophie, comme toute réflexion, critique, est aussi peu développée à peu près partout et n'a sa place qu'en montrant patte blanche au sein d'un enclos bien défini. Philosopher, c'est douter de tout, et aussi général qu'est ce seul principe, il est souvent de trop dans les systèmes connus actuellement selon de qui il provient.

Il faut bien comprendre qu'une théorie philosophique, n'est pas vrai parce qu'elle rend heureux, ou qu'elle est vertueuse, ce ne sont en aucun cas des arguments. Et même surtout, qu'au contraire si elle rend malheureux, qu'elle est dangereuse, mauvaise, que cela n'indique pas qu'elle soit fausse, que c'en sont des objections. Ce sont parfois les esprits les plus durs, rusés, retors qui s'accordent à la philosophie, au final...

II. Les différences entre la méthode philosophique, et scientifique
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Une partie de la différence entre la philosophie et la science, dans le processus méthodologique de prouver une chose ou son contraire, est immanquablement dictée par la nature même du sujet.
En effet, comment réfléchir de manière scientifique à des concepts comme le bien et le mal, ou ce qui est bon ou mauvais, sur l'éthique, sur la morale, sur la beauté, sur l'art, si l'on ne peut partiellement voir totalement pas se baser sur des données empiriques, sur l'expérimentation, sur des constatations pragmatiques, factuelles, en termes de chiffres pourrait-on même dire, de mathématiques ?

C'est là où la philosophie se retrousse les manches et s'attelle à tenter de donner du sens, à tenter de nous mettre d'accord, de dresser des relations et des causes et effets, sans appliquer totalement les méthodes de la science, mais sans donc, être jamais réellement certain, surtout d'un individu à l'autre ayant chacun ses vues, ses sens propres, ses goûts, son vécu. Mais la méthode scientifique ne (se) trompe-elle pas parfois de toute façon, sa vision incomplète, n'est-elle pas bâtie uniquement sur ce que nos sens faillibles nous disent au travers de nos instruments, du monde qui nous entoure, dans lequel nous vivons ? Une question philosophique parmi de nombreuses que nous donnerons dans cet ouvrage...

II. Les différences entre la méthode philosophique, et scientifique
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Cette incertitude permanente, cette invitation constante au débat, a la dialectique, cette enfant turbulent de la philosophie, n'est sans doute pas étrangère à la répulsion que la philosophie inspire souvent, donnant une impression constante d'inachevé, de marécage où l'on s'empêtre et se perd.
Pourtant, au contraire, lorsque la philosophie n'est pas dialectique, elle devient un chemin personnel, voire même un mode de vie, une route d'embûches, un questionnement permanent de tout. Entraînant souvent par là un renoncement de ce qui est matériel, de ce que l'on ne juge souvent pas nécessaire.

La délimitation de la philosophie fait en effet partie des sujets de la philosophie elle-même, contrairement aux sciences. Le philosophe, décide lui-même de la problématique qu'il veut étudier, et la manière qu'il va adopter, c'est sa caractéristique intrinsèque à son genre, s'attaquant à tout savoir par n'importe quel angle, dans un retour, une critique qui fait partie du genre philosophique. En ce sens, la philosophie est loin d'être éloignée de ce que nous faisons parfois tout les jours dans bien des réflexions que l'on n’aurait de prime abord pas décrites comme 'philosopher', en tournant et retournant une question dans tout les sens.

II. Les différences entre la méthode philosophique, et scientifique
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Pourtant, si l'on décrit souvent la philosophie comme n'étant aucunement tenue par les chaînes de l'observation empirique, matérielle, des expériences, etc, comme les autres sciences, mais comme pouvant s'appuyer largement sur les théories, les spéculations, la philosophie demeure néanmoins le triomphe d’un raisonnement, sans manquer de s'appuyer sur des faits si possibles, et en usant de déduction, de logique, de rationalisme.
Pour comparer, la philosophie est principalement de la réflexion, là où la science est principalement de l'observation. Lâchez un écureuil dans une pièce complètement dépourvue de tout, même de lumière, puis demander une heptade plus tard à un philosophe et à un scientifique, qui tout deux ne savent rien des écureuils, s'il est mort. Le second tentera de capturer d'autres écureuils pour faire l'expérience, ou à défaut analysera, disséquera un écureuil, calculera ses réserves... Le premier supposera tout simplement que c'est le cas basé sur le fait qu'en général peu de choses survit une heptade sans eau ni nourriture !

Quoi qu'il en soit, pour mieux souligner leurs différences par une vue familiale, la philosophie est sans doute parente de la science. Nos ancêtres tribaux, sans la technologie, sans l'Illumination des Enclism, devaient avoir recours à la philosophie pour tout, ou du moins la théologie, tandis qu'elle est maintenant bien reléguée par la science.

III. Les différentes branches de la philosophie
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Il existe ainsi, de nombreuses branches de la philosophie contenant les questions, les sujets, les champs de réflexions, même si toutes les caractéristiques de la philosophie déjà soulignées, n'en font en aucun cas des catégories où s'enfermer, chercher à se classer.

La philosophie idéologique, politique, désigne par exemple les questionnements divers, les études, sur l'Impérialisme, la Méritocratie, la Rébellion, l'Anarchie, le Loyalisme, l'Aristocratie, l'Autoritarisme, le Tribal. Elle nous apprend par exemple qu'un système Aristocratique et Méritocratique sont opposés au moins sur la méthode d'ascension, ou qu'il ne faut pas confondre système politique et idéologie même s'ils influent l'un sur l'autre voir ne deviennent qu'un, mais toujours en deux aspects, en deux côtés et influences.

Notamment sur le Droit, qui lui non plus n'est pas exempte de philosophie, avec de grandes questions quant à ce qui doit être appliqué, à quoi doit se cantonner la Loi, quels en sont ses fondements, ses interprétations. Si le Droit doit protéger, à quel point, qui, dans quelles situations, s'il doit 'laisser se débrouiller', ou au contraire tout réprimer et contrôler... Voir même si il doit exister !

III. Les différentes branches de la philosophie
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Cela nous amène à la philosophie de l'éthique, de la morale, la morale étant au fond des règles tacites au-delà du Droit, des règles éthiques, de ce qui est 'bon' ou 'mauvais' à faire dans toutes situations, comme conduite. Qu'est-ce qui est 'bon', 'bien', 'mal', 'mauvais' ? Qu'est-ce qu'on devrait faire, ou ne pas faire ? Y compris au niveau de la bioéthique, de la 'cyber-éthique', avec le clonage, les modifications corporelles, sur soi comme sur les autres évidemment.

Il y a aussi la philosophie quant à une question déjà abordée dans cet ouvrage, qui est la place, l'origine, les délimitations de la science, ses buts, en général comme pour chacune de ses catégories : L'épistémologie. Par exemple pour réfléchir à qui doit enseigner la science, comment, qu'est-ce que les théories, etc. Proche, est l'étude des expériences personnelles, de la conscience, de ce qui fait 'soi', du vécu : La phénoménologie, elle-même proche de l'ontologie, l'étude de ce que nous sommes.

Et évidemment bien d'autres branches : La métaphysique étudiant la réalité, l'esthétique tout simplement, la philosophie du langage s'interrogeant sur ses origines ou comment elle formate les pensées, la philosophie de la liberté sur sa place dans les sociétés Sectorielles, etc...

IV. Quelques grandes questions philosophiques. Et l'Impérialisme ?
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Mais il ne sera pas dit qu'on ne parlera pas dans ce traité de la philosophie, d'une des plus grandes questions en la matière, qui est le Culte Impérial.

Est-ce que l'on doit reconnaître Imperator comme Dieu en prenant littéralement son ordre, d'il y a deux siècles, maintenant qu'Il est parti en cryogénisation et peut-être surtout, que nous le savons ? Devons-nous le considérer comme tel dans l'intérêt de la cohésion, dans l'intérêt de fédérer, dans l'intérêt d'obliger les esprits surtout les plus petits, jeunes à la confiance la plus absolue, la foi, en Lui ? Est-ce qu'une partie de l'attrait du Culte Impérial, comme pour toute religion, n'est pas une glorification de soi - au delà de se réclamer obéir au divin -, par le renoncement, la négation de la plupart de ses instincts par la force de la volonté propre, une glorification du pouvoir de l'esprit conscient de son abandon ? N'est-ce pas, en son absence, redondant avec l'idéologie Impérialiste, que l'abandon de soi, lui par contre dirigé vers l'Humanité ? Est-ce que croire en une chose supérieure, n'est-il pas une commodité, et la religion impliquant le sacrifice dans les anciens temps de ceux que l'on aime, puis ce que l'on aime, évoluer pour aboutir finalement au suprême paradoxe du sacrifice de la Divinité ?
Voir même simplement une excuse pour tout ce que l'on peut faire en Son nom, paradoxalement ?...

IV. Quelques grandes questions philosophiques. Et l'Impérialisme ?
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Oui, la philosophie, c'est également la réflexion des diverses valeurs et idéologies, leur analyse, leur échelonnement, scruter leurs bien-fondés et leurs visées également. Car souvent, surtout lorsqu'une personne parle d'"impératif moral" en général ou dans un cadre précis, il parle d'une morale qu'il applique personnellement et voit comme devant être exportée aux autres qui devraient également leur obéir, souvent commodément lorsqu'on est en position d'être obéi par la force notamment.

La philosophie, c'est en effet aussi l'analyse des diverses morales, qui se targuent de fournir un équilibre entre la raison et l'instinct, entre ce qui est juste et ce qu'on veut faire. Entre ces diverses recettes qui se proposent à mettre dans la même opération mathématique de valeurs, d'équivalences, mauvais et bons penchants, avec telle ou telle dose, comme un médicament qui serait nécessaire à perpétuer une harmonie quasi corporelle. Ou de vieilles recettes de cuisines à l'écureuil tantôt bien traditionnelles comme ce qu'on sert à longueur de temps en bar, conférences, tantôt bien plus secret et fait maison celles que l'on invente, nuance soi-même pour ne les présenter qu'à ses proches avec un petit quelque chose dans le goût, dans l’attrait, d’un "autre-monde", caché, préservé.

IV. Quelques grandes questions philosophiques. Et l'Impérialisme ?
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D'ailleurs, quel est le monde d’un philosophe, lui qu'on décrit dans des expressions, dans le fait de "philosopher", d'être un "sage" (comme une image ?), d'être quelqu'un de retiré, placide, avare d'imprudence et de proximité, se tenant loin des personnes comme du 'danger'... Pouvant le remettre en question ? Pour certains pourtant, bien au contraire, le philosophe, du moins accompli, qui ne s'ignore pas, ne se pose pas de limite à sa discipline, au contraire vit, vit 'dangereusement', goûtant aux tentations, à toutes les situations, à toutes les réflexions et idées sans se poser de contraintes qui seraient de facto des barrières à totalité ou partie, de son bien-fondé, ou au contraire de son mal-fondé, bref, qui tâcherait tout le processus productif d'une pensée ne s'interdisant rien pour parvenir à une conclusion la plus 'vraie', réelle possible.

Est-ce que chercher la vérité pour ne faire que le bien, permettrait de trouver quoi que ce soit ?
Est-ce que chercher la cause de tout, c'est la plus simple manifestation d'une volonté de survie ? Ou d'une volonté de puissance ?
Est-ce que chercher le sens du passé, c'est uniquement chercher la conscience des personnes qui ont vécues, et des actes passés ?
Est-ce que la valeur des choses se situe dans leur utilité, l'utilitarisme ? Ou dans leur rapport au plaisir, a la douleur ? Ou plutôt dans le bonheur qu'il procure ?

IV. Quelques grandes questions philosophiques. Et l'Impérialisme ?
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Est-ce que le réalisme se situe entre optimisme et pessimisme, ou dans l'un des deux ?
Est-ce qu'être moraliste, n’est pas immoral ? Analyser la morale, donc la questionner plutôt que simplement s'y incliner d'une manière quasi puritaine ?
Est-ce que tout les Marranites ou Orrionites doivent êtres considérés de la même manière, ou du moins, ayant subis les mêmes influences ?
Est-ce que toutes les valeurs ont, justement, la même valeur ? Ou placer l'abnégation, le pragmatisme, l'autorité, la compétence, le pardon, sur une échelle ?

Conclusion
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En conclusion, l'on peut sans doutes dire que la philosophie garde une place essentielle dans notre existence, aussi peu soit-elle désignée par son nom, par ses lettres de noblesse.
Cependant, elle est sans doute mésestimée, voir son exercice sur certains sujets, punis au travers la Cité, que cela soit dans des systèmes autoritaires, dictatoriaux, aristocratiques ou tribaux.

Là où pourtant une telle proximité de modèles idéologiques et politiques différents pourrait induire une richesse de réflexion, une élévation qui plus est compétitive, cela est complètement rendu inexistant, étouffé par les multiples freins à une plus grande conscience de soi, comme d'un ensemble : Séparation par les Murs, Guerres ouvertes avec peu de contacts, répression de la pensée différente des régimes au pouvoir, répression de tout côtés de la pensée en elle-même par la préférence a dominer par la force plutôt que par l'idéologie, meilleure survie et adaptabilité des éléments n'ayant pas ou peu de philosophie, d'idéologie mettant un ensemble avant soi, etc.

Sans compter évidemment, la préférence assez logique dans un monde aussi technologique que le nôtre, de la méthode scientifique, de ses résultats matériels, de la domination qu'elle peut apporter.

Remerciements
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Je tiens a remercier l'ensemble des personnes échangeant avec moi, amis comme personnes me détestant, alliés comme ennemis, entretenant ma réflexion.
Un remerciement particulier a ceux qui ont le courage de se tenir plus près, malgré tout les dangers que cela comporte, malgré l'absence d'avantages a y trouver.

Je tiens a remercier également l'Humanité de ne pas s'être encore autodétruite, avant Son retour.

A remercier enfin, la Légion des Enclism, ce simple réseau d'esprits échangeant, enseignant.

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09 Mai 2019
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