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Cacher

Edition très Limitée

Premier jour

Agramf prépare sa table pour cuisiner disposant sa planche à découper et un simple couteau d’office tranchant.
Il enfile son tablier rouge de boucherie puis va ouvrir la chambre froide. Ses mouvements trahissent un mélange de concentration, de sérieux et de brutalité.

Agramf décroche une dizaine de jambes d'elfe, certaines avec les ongles vernis, d'autre normales et les charge sur ses épaules, sort de la chambre froide et ferme la porte et son verrou puis revient vers sont autel de travail.
Le troll balance les jambes maturées sur la table, se saisi d'un petit couteau tranchant et fait sauter les ongles un par un, prenant soin de ne pas perdre ne serait-ce qu'un petit doigt de pied.
Agramf pousse le tas de jambes manucurées dans son évier, asperge le tout de poudre à récurer et fait couler de l'eau bouillante

Il prend sa petite brosse à poils durS métalliques et commence à laver des jambes en récurant fort, très fort, la chaire morte rougissant, griffée.
Il les sort ensuite de l'eau et attrape son rasoir puis les rase méticuleusement une à une, retirant le fin duvet de poils elfes.
Il re rempli l'évier d'eau fraîche cette fois puis les jette dedans et les lave, les ressort, les sèches et les dispose sur la table.
S'en suit une valse de jet d'épices divers, de sel, d'huile de gras d'écureuil et de skiwi
Agramf jette ensuite sur le tout une petite poignée de poudre de farin puis viens masser les jambes une à une, faisant pénétrer les condiments. Un peu comme on masserai des jambes vivantes, mais avec plus de violence.
Il avise le tas de jambes, guette de son oeil avide les détails de la barbaque, les articulation saillantes, la très fine couche de gras, se lèche les lèvres et essuie du côté de la main le filet de bave rebelle qui coule du coin de sa bouche .

hhgeuu

Agramf se tourne et allume son thermocuiseur positronique à particule et le règle au minimum puis jette les jambes dedans, deux par deux. Il referme la machine, la programme pour la nuit et appuis sur "démarrer".

Le lendemain matin
Le troll entre dans sa cuisine et va ouvrir le thermocuiseur, gueule au dessus de l’appareil, les yeux fermées, naseaux et bouche offerts à la sainte inhalation . Il s'imprègne des effluves de viandes cuites, confites dans leur jus.
Agramf se redresse, ouvre doucement ses yeux, brillants de satisfaction, sa bouche humide goûte l’air. Son regard est irradié par la luxure.

Il est parcouru d’un frisson qui fait vibrer ses épaules, se secoue aussitôt et va chercher sa plus grosse bassine qu’il claque sur le plan de travail. Il attrape une jambe, l’amène au dessus de la bassine et la secoue vigoureusement.
Les fines fibres musculaires cuites tout en douceur, se délitent de la jambe, se détachent du fémur, du tibia, du pied.
Il veille de son oeil pervers à ce qu’aucune phalanges des doigts de pieds ne s’échappent dans la bassine. Rien de plus énervant qu'un bout d'os dans le pâté et risqué pour les crocs en plus !
Il reproduit l’opération pour chaque jambes. Une fois toutes les jambes traitées, le troll sépare la masse de viande dans deux marmites distinctes. Il emmène une des marmites dans un caisson métallique connecté à l’aeration, allume un petit bouquet d’herbe et de champignons secs puis referme le caisson, laissant la viande fumer là.
L’ensemble des os rejoindra une casserole d’eau bouillante sur le fourneau.

Après un grossier ménage Agramf va chercher un grand sac de farine, la verse dans un gros pétrin, y ajoute un seau d’eau, du synté-sel, de la levure, le tout à l’arrache et active le pétrin, mode ultraboost. La machine malmène les ingrédients jusqu’à former une pâte à pain des plus primaires. Il vide le pétrin dans une bassine et la pousse du pied, avec dédain, sous la table, par terre.
Agramf inspire un grand coup puis revient à la première bassine de viande. Allume son fourneau troll XXXXL et pose une espèce de poêle à paëlla dessus, plein feu. Laisse le métal venir au rouge pendant qu’il prépare ses armes, des bouteilles jaunes, blanches, une pinte ambrée, un panier de champignons et un bol de lard d’écureuil.
Il attrape sa spatule la plus large d’une main et la bouteille d’huile de gras d’écureuil de l’autre, l’incline puis la vide toute entière sur la poêle en fusion. L’ébullition projette un nuage de gouttelettes de gras qui prend feu et enflamme littéralement l’air, à la limite de l’explosion. Le troll se faire raccourcir les poils du côté nord supérieur du troll. Une odeur de peau et poils cramés inonde la cuisine.

RHHHAAaa...RRRRRR

Le troll pousse un cri laid à la fois de souffrance et de rage et après un bref mouvement de recul, retourne à l’attaque. Il jette le lard et les champignons dans l’huile bouillante, attend quelque minutes, guettant la limite du croustillant. Attrape la bouteille suivante, un champko rose fine bulle, vide la bouteille sans sommation. Rajoute de la flamme et balance une pinte de skiwi dans la poêle avec violence, entraînant une nouvelle combustion de l’air, flambant la fricassée. Agramf sue et bave au dessus de la gamelle bouillonante, un peu en transe. Il lèche sa spatule et se brûle la langue dans un gémissant de douleur et de plaisir mêlées.

HhhhhhHHHHAAAAAAAAAA..HsSSS mmhhhhhh

Grogne de satisfaction, attrape la dernière bouteille et inonde la poêle de plusieurs litres de crème fraîche de lait d’écureuil. Mélange tout bien comme il faut, met le feu au minimum et pose un immense couvercle sur le graal.
Agramf va mettre sa tête dans le caisson de fumée, y respire deux fois, longuement puis ressort la bassine de là.

Le lendemain après-midi
Agramf dégages la table de cuisine et ramasse la pâte à croute dans la bassine au sol, la claque violemment sur la table puis repose la bassine, attrape un rouleau à pâtisserie énorme et commence à rouleau compresser la pâte jusqu’à ce qu’elle recouvre grossièrement toute la table. Il va ensuite cherche une servante remplie de moules ronds.

Le troll chope son couteau et taille des cercles dans sa pâte, à l’arrache. Il dispose les pâtes dans les moules au fur et à mesure. Prend la bassine de farce fumée et remplit les moules empâtés un a un . Il va ensuite chercher son bouillon d’os et recouvre chaque farces d’une bonne louche de bouillon qui deviendra gelée.
Il vient enfin refermer la pâte sur la viande. Chaque moule prêt est disposé sur une large grille.
Grille qui une fois pleine part en direction du four, 200°c .
Il retourne ensuite à sa fricassée géante, soulève le couvercle et bave de délectation en regardant la magie opérer, la sauce saucer, faire des bulles et la viande qui se charge de graisse.

Le cuistot-boucher, l’air tout à fait ravi de son travail, va chercher une autre servante couverte elle de saladier. Il attrape sa louche taille trolle et commence à remplir les saladier à rabord de la sainte fricassée. Il dispose les saladier sur une servante pour les laisser refroidir.
Une fois les fricassée prête, il va sortir les croûtes du four puis les dispose sur la servante suivante, shooté par les odeurs de viandes, de gelée non figée, d’épices.
Il tire ensuite les deux servantes une à une vers le frigo, les fait rouler dedans et referme la porte massive avant d’activer le verrou électrique.
Il prend un chiffon qui traine et s’essuie le visage mouillé de gras, de sueur et de vapeurs diverses.
Le lendemain d’après

Le gastronome troll entre dans sa cuisine, ouvre le frigo et admire son travail. Il se saisit d’un pâté en croute et d’une fricassée puis retourne dans la cuisine, s’installe sur sa chaise et commence à baffrer, une poignée de fricassée qu’il avale sans même goûter, puis une seconde qu’il agite dans sa bouche comme on goûte un bon vin, jaugeant la qualité de son plat, estimant, philosophant pour lui même.

Agramf saisi le pâté en croute et ouvre très largement sa gueule, dents pointues jaunes au clair puis vient refermer le tout sur la croûte qu’il pulvérise à moitié ce faisant. Mâche, aspire de l’air, mugit sourdement, s’empiffre littéralement ne s’arrêtant que quelque rares moments pour respirer.
De sa main pleine de sauce fricassée il tapote sur son com, sélectionne quelque noms puis pianote à l’écrit :



Salut
Ta commande est prête !
Une adresse un digi, l’emplacement de tes frigos et je te livre ta commande et la facture qui va avec quand toua voulouar comme on dit


Spoiler (Afficher)
Petite tranche de vie de mon gourmet qui accompagne sa vente édition limitée du moment.
Un grand merci aux JD clients du troll et un autre très grand merci à tous les JD rebelles elfes qui vont en ST entre autre et qui ne râlent jamais sur les amputations, permettant ce genre de RP boustifaille. ♥♥♥

Informations sur l'article

Trollus Marmitas
03 Mai 2025
327√  22 7

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◊ Commentaires

  • Hiver (0☆) Le 03 Mai 2025
    * ♥
  • Isi (39☆) Le 03 Mai 2025
    oh magnifique
  • Vincent (22☆) Le 03 Mai 2025
    Et bon appétit bien sûr..!
  • Crystal (33☆) Le 04 Mai 2025
    [HRP : Restez végétarien ! On ne sait pas où ça a trainé ! Une étoile quand même* car il faut de tout dans DC.]
  • Dex (0☆) Le 04 Mai 2025
    [Les cuisses de mon pion ont fini en tourte... *]
  • Tess (29☆) Le 06 Mai 2025
  • Asrunn (62☆) Le 06 Mai 2025
    mais quel fin gourmet !! je les préfère en brochettes, personnellement !