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EDC de 36259

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L'humanité est une faiblesse.

Je plains l'homme profondément libre

Car il n'à profondément rien.

Solitude de ne pouvoir partager ses déboires, solitude derrière ce masque d’apparat que je n’ôtais qu'avec toi. J'aurais tant aimé pouvoir tout te confier, pouvoir crée ce rêve dont je t'ai parler. J'aurais aimé abattre les murs à tes cotés, t'en espérer d'un nous factice mais idéaliser.
Mais je savais... Depuis le début je le savais.
J'ai jouer pleinement chaque actes, sur'joué ma surprise parfois en bon acteur. Me plaçant au devant de la scène je m'offrais en bon mécène afin de te convaincre toi.. Auditoire compromis qui mentais sa bienveillance.
Mais je savais... Depuis le début je le savais.
Et l'esprit me disais de te fuir.. Fuir ton corps, tes mots, tes lèvres qui déversais le poison du mensonge que je buvais sans modération. étanchant ma soif vaniteuse ou charnel, t'offrant l'échine pour y planter ta lame.
Mais je savais... Depuis le début je le savais.
Mais je continuais à y croire. Persévérer dans l’errance de la démence. Si la raisons semble sotte, qu'en est-il des sentiments? Vaste farce que je choyais d'un amour des plus indécent, vaste mascarade qui ne prend fin qu'à la tomber du rideaux.
Mais je savais... Depuis le début je le savais.
Tu as crains le revers d'un père trahis. Tu as eu peur d'une sentence des plus violente.
Car tu connais toute le noirceur qui m'animes, que ce feu d'union t'aurais réduit en cendres. Tu doutais de pouvoir en réchapper, apeuré et acculé dans ta geôle tu na pas vue la fin de la pièce, et tu as continuer de jouer, sublime actrice.
Mais je t'ai protéger.
Bafouer mes propres lois, modifiant les preuves et aveux, et j'ai tricher en mentant à mon tour.
Cracher sur mon honneur qui bride mes paroles de fausse note. J'aurais aimé que tu ne sois pas l'instrument de ce mensonge, j'aurais rêver que l'harmonie perdure, j'aurais brûler ce monde pour que cette symphonie dure...
Mais tu étais profondément humaine, naïve et manipulable, poussé par des convictions utopiste.
Tu étais profondément humaines, rêvant, espérant, tes songes étaient bercer d'espoir.
Trône fièrement du haut de ta tour, loin des ombres. Contemple l'obscur qui anime le marionnettiste.

Tu est profondément humaine, et ce poignard à mille égard, ma démontrer la faiblesse de ta condition.
Si je t'ai tout offert, alors saches que je t'ai laisser partir sans rien reprendre.
Contemple et admire cette héritage, chéries-le, aimes mon image passé. J'ai perdus rêve et espoir.. Perdus envie de chérir, perdus la hargne de vivre. Seul dans les abysses je peux enfin avancer, libérer de ce que tu appelles les sentiments profondément... Humains.
Tu na pas envie de t'énerver? Crier? De me tuer? Me faire du mal? Te venger?
Négatif... Je n'en ai que faire à présent.

Informations sur l'article

Que restera-t'il à la fin ?
13 Mars 2014
1532√  28 11

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◊ Commentaires

  • Ladoria~7869 (221☆) Le 13 Mars 2014
    Ah... Non! Ah! Ne pas étoiler juste pour le titre... Ah!
    ...
    Ah!
  • Hazel (363☆) Le 13 Mars 2014
    Poignant... J'ai adorée l'article...
  • Joyce (136☆) Le 13 Mars 2014
    Comme toujours , tu choisi bien tes musiques. C'est magnifique.
    *
  • L-X~19531 (1540☆) Le 13 Mars 2014
    Folie pour folie, etc...
  • Electron~41435 (156☆) Le 13 Mars 2014
    Whaou... Vraiment poignant.. Superbe.
  • Kmaschta (236☆) Le 13 Mars 2014
    'il est inintéressant de crée un personnage sans defaut


    Exactement !
    Jolie ecriture, en passant.