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Rayon survivant
Il y a dans le silence que tu as laissé un poids que rien ne peut déplacer.
Pas même le temps.
Pas même l'espoir.
Tu n'es plus là, et pourtant, tout parle encore de toi.
.
Je me suis demandé ce que je t’écrirais, si je devais un jour parler de toi au passé.
Mais comment enfermer dans quelques lignes ce que tu as fait naître en moi ?
Tu as tout bouleversé. Pas avec fracas, non. Avec tendresse. Avec patience.
Avec cette douceur qui te définissait.
.
Je me souviens de nos débuts, timides mais intenses.
Nos conversations jusqu’à pas d’heure, ces échanges où les mots tissaient un pont entre nos âmes.
Tu me parlais de toi, je parlais de moi, on se confiait nos peurs.
Et moi, sans le savoir, je tombais amoureux à chaque syllabe.
Pas de ton corps, pas seulement de ton rire, mais de toi.
.
Il y avait quelque chose de pur dans la façon dont tu regardais le monde.
Et dans ce regard, j’ai fini par me voir meilleur.
Tu m’as rendu plus vivant, plus vrai.
.
Et puis il y a eu nous.
Les soirées à deux, les lumières tamisées, la chaleur tranquille d’un repas préparé avec soin.
Tu te rappelles ce dîner romantique ?
Toi, en train de râler gentiment parce que j’avais mis trop d’épices,
moi, fasciné par le mouvement de tes mains, par ce petit rien dans ton sourire qui faisait tout.
.
Et ce pouf…
Ce simple pouf dans cette pièce, devenu notre refuge.
Combien de fois y avons-nous refait le monde, blottis l’un contre l’autre,
toi à moitié endormie, moi incapable de fermer les yeux tant que tu respirais contre moi.
Ce coussin-là, témoin de nos silences, de nos fous rires étouffés,
il est encore là. Immobile. Comme s’il t’attendait.
.
Chaque geste, chaque parfum, chaque lumière du soir me rappelle quelque chose de toi.
Même les choses les plus simples.
.
Tu n’étais pas parfaite.
Et pourtant, c’est dans tes failles que je t’aimais le plus.
Dans tes moments de doute, dans les jours où tu ne croyais plus en rien, moi, je croyais en toi.
Et je t’aime encore. Pas comme on aime un souvenir.
Mais comme on aime un verre de champkro dont les bulles continuent de pétiller longtemps après qu’il ait été bu.
.
Tu m’as montré l’Amour. Le vrai.
Celui qui donne sans compter.
Celui qui ne cherche pas à posséder, mais à accompagner.
Celui qui ne meurt pas, même quand l’autre s’en va.
.
Un jour, je me suis demandé :
"Qu’est-ce que je deviendrai sans toi ?"
Je ne savais pas. J’avais peur de répondre.
Mais je crois que je peux maintenant te le dire, doucement, les mains tremblantes :
Je vais t’écouter.
Je vais suivre tes derniers conseils.
Et je vais avancer.
Pas sans toi, jamais sans toi, mais avec toi et ce que tu m’as légué.
Avec ta force, ton regard, ton Amour.
Tu seras mon rayon de lumière discret, celui qui éclaire sans bruit.
.
Je n’arrive pas à te dire adieu.
Je ne veux pas.
Car tu vis encore, dans ce que je suis devenu.
Dans la tendresse qui ne me quitte plus.
Tu m’as appris à aimer.
Et c’est ton dernier cadeau.
.
Sache ceci :
Je continue.
Je continue de t’aimer.
Pour que tu saches que ton passage ici, en moi, n’aura pas été vain.
.
Je t’aime.
Je t’aimerai jusqu’au bout.
.
Pour toujours,
Celui que tu as révélé à lui-même.
Pas même le temps.
Pas même l'espoir.
Tu n'es plus là, et pourtant, tout parle encore de toi.
.
Je me suis demandé ce que je t’écrirais, si je devais un jour parler de toi au passé.
Mais comment enfermer dans quelques lignes ce que tu as fait naître en moi ?
Tu as tout bouleversé. Pas avec fracas, non. Avec tendresse. Avec patience.
Avec cette douceur qui te définissait.
.
Je me souviens de nos débuts, timides mais intenses.
Nos conversations jusqu’à pas d’heure, ces échanges où les mots tissaient un pont entre nos âmes.
Tu me parlais de toi, je parlais de moi, on se confiait nos peurs.
Et moi, sans le savoir, je tombais amoureux à chaque syllabe.
Pas de ton corps, pas seulement de ton rire, mais de toi.
.
Il y avait quelque chose de pur dans la façon dont tu regardais le monde.
Et dans ce regard, j’ai fini par me voir meilleur.
Tu m’as rendu plus vivant, plus vrai.
.
Et puis il y a eu nous.
Les soirées à deux, les lumières tamisées, la chaleur tranquille d’un repas préparé avec soin.
Tu te rappelles ce dîner romantique ?
Toi, en train de râler gentiment parce que j’avais mis trop d’épices,
moi, fasciné par le mouvement de tes mains, par ce petit rien dans ton sourire qui faisait tout.
.
Et ce pouf…
Ce simple pouf dans cette pièce, devenu notre refuge.
Combien de fois y avons-nous refait le monde, blottis l’un contre l’autre,
toi à moitié endormie, moi incapable de fermer les yeux tant que tu respirais contre moi.
Ce coussin-là, témoin de nos silences, de nos fous rires étouffés,
il est encore là. Immobile. Comme s’il t’attendait.
.
Chaque geste, chaque parfum, chaque lumière du soir me rappelle quelque chose de toi.
Même les choses les plus simples.
.
Tu n’étais pas parfaite.
Et pourtant, c’est dans tes failles que je t’aimais le plus.
Dans tes moments de doute, dans les jours où tu ne croyais plus en rien, moi, je croyais en toi.
Et je t’aime encore. Pas comme on aime un souvenir.
Mais comme on aime un verre de champkro dont les bulles continuent de pétiller longtemps après qu’il ait été bu.
.
Tu m’as montré l’Amour. Le vrai.
Celui qui donne sans compter.
Celui qui ne cherche pas à posséder, mais à accompagner.
Celui qui ne meurt pas, même quand l’autre s’en va.
.
Un jour, je me suis demandé :
"Qu’est-ce que je deviendrai sans toi ?"
Je ne savais pas. J’avais peur de répondre.
Mais je crois que je peux maintenant te le dire, doucement, les mains tremblantes :
Je vais t’écouter.
Je vais suivre tes derniers conseils.
Et je vais avancer.
Pas sans toi, jamais sans toi, mais avec toi et ce que tu m’as légué.
Avec ta force, ton regard, ton Amour.
Tu seras mon rayon de lumière discret, celui qui éclaire sans bruit.
.
Je n’arrive pas à te dire adieu.
Je ne veux pas.
Car tu vis encore, dans ce que je suis devenu.
Dans la tendresse qui ne me quitte plus.
Tu m’as appris à aimer.
Et c’est ton dernier cadeau.
.
Sache ceci :
Je continue.
Je continue de t’aimer.
Pour que tu saches que ton passage ici, en moi, n’aura pas été vain.
.
Je t’aime.
Je t’aimerai jusqu’au bout.
.
Pour toujours,
Celui que tu as révélé à lui-même.
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Informations sur l'article
Ressentis/Moment de sa vie
13 Avril 2025
208√
23☆
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◊ Commentaires
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Opale (0☆) Le 13 Avril 2025
L'Amour, le vrai, ça ne s'invente pas, ça se vit - se lit -. Très beau ! -