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EDC de Gimlïn~49223

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Ne pouvoir mourir…

Nos Épitaphe :
« A ça mort ont à crier avoir encore besoin de lui, et pour l’arraché des griffes de la mort, bongré ou malgré lui, il fut cloné. »
Ou
« Si tu veux crever par loin au-delà des murs, découvre la vrais liberté et les rats qui y règne en despote, meurs y libre et dévorés à jamais, car jamais le centre de clonage ne pourra te relevé ! »
Ou
« Ce monde nous hais dorénavant, et nous pardonnera jamais plus. Faudra s’en faire une raison, car il ne nous craint plus. »
Ils sont classe s’pas ?
Mais…, toute façon on n’en aura jamais d’épitaphe.

Musique d’ambiance :Mountains Interstellar

Ne pouvoir mourir...

Les minutes s’accélère, vos vies explosent de vitesse, vos heptadates deviennent des secondes, vos années des minutes… Et un beau jour, un jour qui aurait pu être hier, un jour qui aurait pu être demain.
Un jour qui aurait voulue être jamais, la glace fondis…
S’ensuit le manque d’alcool, évidemment ! Cette fois-ci, le nain avais prévu le coup ; bière de dix ans d’âge, pix périmé, vodkast intemporelle, et aussi absinthe neurotoxique. Une sacrée cargaison, en l’honneur de Dionysos, de la fée verte, et de la temporaire amnésie.
Cette fois son réveil sera un festin ! Le festin du condamné…
Plus une beuverie qu’un festin, il ne faut pas l’nier ! Mais l’alcool réchauffe, et altère l’esprit. Et ce n’est pas un refus car l’esprit du nain a le même désespoir qu’a sont entrés en cryogénisation.
Le compteur affiche un nombre d’années assez importantes, mais ça importe peu… Persuadé que la ville est restée égale à elle-même.
Il se souvient des circonstances, toujours trop claire, toujours omniprésente. Une cryogénisation n’est qu’un bouton pour accélérer le temps, ce n’est ni un suicide, ni une solution. On y sortira comme on y est entré : Intacte… Physiquement intacte…
Quant au reste ? Ce n’est ni de ressort du centre de cryogénisation, ni celui de l’empereur qui l’a conçue ! Cet empereur n’était pas un fin psychologue, juste un survivaliste idiot. Probablement emplis d’intention louable et humanité, enrichie d’un espoir gigantesque. Que reste-il de tout cela ? « Que c’est cynique ! » s’exclame le nain en y réfugiant ses pensé.
Mais rapidement rattrapé par sa mémoire, cette fois Gimlïn ne prend même pas le luxe de rallé, juste un souffle dépressif, une inspiration, et sans modération ingurgite la bière brune. La quiétude des lieux est alors rompue : Le bruis gras des gorgé, l’odeur d’alcool d’orge s’émane et résonne dans la pièce. Autant d’ailleurs que la puanteur des regrets.
Des seconde de silence s’écoule et devienne de lourd records, l’ivresse écume si lentement, les souvenir immerge si vite l’esprit, l’acide ce repend dans le cerveau… Alors le nain ce débat, à défaut de ce noyer dans l’alcool : « Fais chier ! Rien n’y fait ! Vingt ans ou plus ça ne changera jamais rien ! Cyro inutile et merdique ! »
Un nouveau soupire, il prend une seconde inspiration puis vide la vodkast d’une traite. Enchaine sur l’absinthe, graduellement une colère horrifique abrase sa peine.
Cette fameuse colère que tout le monde dans la ville refoule au fond de lui. Un gout d’anise dans le gosier suivie de celle qui nous fait maudire la cité, ces murs, cette planète, et ça putain d’apocalypse. Cette haine qui nous fait admettre avec que nos aïeules sont les irresponsables responsables de cet intemporel monstrueux présent. Nous somme que leurs dommages collatéraux de leurs folies. Telle est l’horrible situation qui nous morfond dans la terreur et la haine, de cet insoluble constat de vivre dans une prison géante.
Sans possibilité de retour, sans possibilité d’avenir.
Cette indignation surgis pour combattre l’implacable ; Il jette alors la bouteille, qui se brise sur les solide parois, éparpillent une magnifique constellation de verre, et libérant ainsi le peu qui reste de son liquide vert.
« Rhaaa j’en ai ma claque ! Qu’elle psychopathe a pu imaginer un-t-elle monde ? Pourquoi somme nous censé y vivre ? Nous punir, alors que nous somme incapable d’apprendre ? » Il fout un coup de pied à ça cuve, lui tend sont doigt d’honneur, et lui rugie : « Ouais c’est à toi que je parle, enculé d’connard ! Tu m’as pourrie la vie ! Tu as empêché le temps de m’travailler en douceur… J’te hais ! Je Te Hais ! » Le nain crache sur l’impassible paroi, et ajoute d’une voix qui contraste car plus calme, mais pas moins menaçante « Je te ferais sauté à la dynamite, toi, et tout le reste de cette putain d’ville… Je trouverais bien un moyen d’y parvenir… »
Dans le silence qui suivie une lucidité anesthésiante l’encombra : Que pourrait-il, faire concrètement face à l’apocalypse… Face à cette ville inerte et rouillé, face à ce peuple qui n’impose rien d’autre que l’anthropophagie, face à cette guerre perpétuelle d’idiot décérébré ?
Ces sentiments sont sertis, mais les partage-t-il avec au moins un autre homologue ?
En regardent le molard dégouliner lentement il fouille son sac. Maintenant ce qu’il lui manque c’est la nicotine, en remuent le sac il tâte une boite bien spécifique avec une pipe accroché par un élastique. Il ouvre la tabatière une forte odeur ce dégage « Et bin ! C’est salement moisi là-dedans… Qu’importe ! » Il remplit le foyer de la pipe en marmonnant, avec un soupçon de désespoir.
« Même pas perdue de mes pulsion, les cryogénisation ne résolve vraiment rien… C’est l’amnésie, une fucking lobotomie qu’il me faut ! »
Le nain inspire comme un dératé sur la pipe pour la faire s’allumer crament à l’occasion ses poumons. Entre les quintes de toux ingurgite une gorgé de pixel pour calmé la brulure… « Trop léger ce truc ! » Il jette la bouteille, qui roule au pied d’une cuve occupé par un impassible givré, et enchaine sur de la fiable vodkast.
Les souvenir revienne le hanté, il faut reprendre sa course effréné de l’excès. Une course contre ses propres neurones…

Du point de vue extérieur, notamment des caméras ont croirais voir un clodo assis sur le sol rouillé. La barbe dégoulinante, les bouteilles vides qui s’accumule rapidement. Et qu’il enchaine les gicler d’alcools fort, les bouffés de tabac trafiqué. Le carding gros lard profane ses lieux sacré de sa bave, fumé, et alcool… Lieux sacré pour ceux qui regrette ou attendent bêtement le retour de certaine endormies. Le désœuvré gimlïn fouille dans une poche et sort une petite boite : « Tien donc trois cachetons ! »
Le nain regarde ses pilules pas nettes, une vielle drogue d’au moins 20 ans d’âge maintenant. Il ne connaît pas le nom d’la drogue, mais n’hésite pas un instant et les prends toutes entre une gorgé de vodkas…
Il y a dans son crane par contre le souvenir encore frais de la nana qui lui les avais filé. Cette drogue qui lui fil un gout amère, qui lui traverse le gosier, mélangent le gout dégelasse des cachets à celui du deuil. Il proclama les larmes aux yeux « A la santé de tous que je dois oublier ! »
Le nain chez qui commence l’ébriété remarque une caméra l’observent, il se lève la fixent du regard, il tangue un peu de gauche à droite. Une goutte d’eau salée tombe de sa joue, puis d’une voix un peu pâteuse lui parle :
« Toi qui m’regarde, oui toi qui m’juge ! Sache que, putain… sache que jadis ont m’apprécier, car jamais j’n’oublie ce au qu’elle je tenais. Je leur étais loyal ! Et pour rien au monde j’imaginais les perdre avent de me perdre moi-même ! Et voilà qu’en un flash des décennies passent…
Et, je les ai tous perdue, tous abandonné…
Chaque jour mes espoirs d’en retrouver au moins un, étaient ravagés par des nouveaux deuils. Ouai c’est ça la cryogénisation, une catacombe dont j’aurais mieux fait de ne pas en sortir indemnes, perdre un proche est une chose tous les perdre en un éclair en est une autre !
Et pour t’achever c’est de retrouvé enfin l’un d’eux encore vivent… Une horreurs ! Tu ne découvres pas un ami, mais un méconnaissable ! Un de plus, autant méconnaissable que vous tous, car le temps vous métamorphose, a un telle point, qu’ont pourrais croire que c’est la seul chose qui ne soit pas inerte dans cette fichue ville !
Alors oui, je vais me défoncé la gueule, manqué de respect à vos vaine vie, et pisse ma colère sur votre ville ! Car seul les visages change, mais pas les rôles ! Tous à vous coltiné votre rôle, de manier bien servile, bourreaux, leadeur, samaritain, ou larbin, tous esclave de votre présent !
Tous à ont répété, les mêmes pièces de vie, bien servile face aux murailles de cette prison ! Même ma situation n’a qu’une étape. Je ne suis pas l’premier, et ni l’dernier.
Qui en sera le grain de sable ? Toi, lui ou l’autre ? La réponse est personne, car ce rôle n’ai pas viable, pas souhaitable, même pas pour moi!
Mais au finale, je ne vis pas dans l’délire, je sais simplement qu’ont fait s’qu’ont peu avec ses frustrations ! Et si tu crois que t’est une exception à la règle, c’est que ton cerveau et bien formaté au rouage de ce monde ! Bien heureux doit tu être si c’est le cas. Mais c’est temporaire, alors retarde au plus tard possible la lucidité qui te rattrape… Moi j’ai quitté ce rail qui te guide, et je me retrouve paumé dans l’envers du décor. Mais ça tu seras bien incapable de comprendre le sens de mes dires. Y a pas à l’comprendre, au mieux l’admettre, au pire le vivre.
Mais n’rêve pas, j’me relèverais ! Car je suis un nain, j’ai un mentale d’acier ! J’intégrerais même une place dans ses rouage que jadis je voyais magnifique et aujourd’hui que je trouve insipide. Mais le gout ne reviendra pas, et c’est pour cela que je serais plus pertinent ! En fait mon regard imbibé porte loin aujourd’hui, trop loin pour vous, mais pas assez pour moi, car des murs protecteur bloque ma vue… »
Le nain sans un truc solide dans sa proche, il sort l’objet, « Tien donc mon AITL, il jette un sourire malicieux a la caméra, cher hacker j’ai trouvé mieux toi comme interlocuteur ! héhé ! ». Et comme un civile studieux, mais à la l’haleine éthylique, il va lire en travers les annonces en ouvrant une autre bière.
« Pfff… Ils me font marrer entre pub, politique, et complot… » Il se tourne vers les caméras « Rien ne change s’pas ? La seule chose qui sort du lot est cette pénurie d’eau héhé ! Le GRAND événement ! Enfin sur que c’était à prévoir a force de laissé la ville rouiller ! On aura donc jamais d’instinct de survie ? » Il tapote l’écran, et torcha un message :

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Titre : Pour ma décadence et vanité !
Héhé, Trïll, se réveiller pfff ! Ouai mais pas trop, sinon on risquerait de ce cogné sur les murs. Si tu veux que tout le monde ne se foute la tête dans la glace de la cryogénisation, serais quand même bien de garder quelle que rêverie insouciante, bien qu’anesthésiante.
Enfin bon ce n’est pas me but de mon message d’entré dans ce genre de débat, je n’ai pas la tête à ça ! Une partie de moi en a marre de voir les choses aussi froidement que la glace qui m’entourais il y a quelle minute.
Donc revenons sur l’objectif de mon message : Retrouvé un peu de joie, d’illusion, et de nouveaux être à chérir aimé, et protéger… Je veux retrouver de mon instinct de survie, mon œil sera bien plus humain après ça.
Donc :
Nain déçu de l’inefficacité des cryogénisation en termes d’amnésie cherche nana de préférence naine pour baisser, histoire de complété ma décadence !
Quoi qu’il en soit répondre rapidement, car je serais plus très lucide dans les heures qui vont suivre.
Quant au patient(e) il ce pourrais que je ne m’éternise pas ; donc si vous voulez une aventure avec un éphémère fantôme c’est l’moment ou jamais !
Et si ont peu faire une pierre deux coup sa serais bien que tout cela finis par u
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Son gros doigt rip sur validé avent de finir le message, il a les mains qui tremble un peu et la vue qui ce trouble. Effectivement ça scotche avec rapidité… Ce n’est pas l’alcool… Putain de drogue !
Une nausée l’envahis, le nain regrette déjà d’avoir pris la drogue. 20 ans d’âge ou pas, ce n’était pas de la daube ! Il se souvient que trop tard du « UN à la fois, pas plus surtout ! Même pour ta constitution de nain. »
Bon bin une fois n’est pas coutume ont vas larguer les principes de l’ivresse contrôlé pour bien pire…

Musique de fin : The collapse Le parasite

« Au finale je ne veux pas vraiment mourir… Mais dans de telle condition, pourquoi n’aurai-je pas le droit de dire non ? Juste au moins pour voir que seront vos arguments minables ? »

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