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EDC de No22~43062

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[L] 90 degrés d'affection

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Évidement, inutilisable IG! et je tiens a préciser que j'ai eu l'accord du joueur impliqué.
Je n'étais pas vieux en ville la première fois que j'ai rencontré Hélina. Elle était petite, discrète, et avais cette drôle de façon de parler qui, étonnement, ne me déplaisais pas.
C'était une chouette fille. Au départ, nos conversations ne se résumait qu'a : Donne une pix La Timide. Ouais, j'pa un causeur, on l'saura. Seulement avec le temps, cette simple, faible et fragile humaine est devenu ma meilleure et seule amie. C'était bien l'amitié, elle était capable de me faire sourire et meme parfois elle parvenais a me faire rigoler. Au fond, je l'aimais bien la petite.
Un beau soir, j'entre dans le bar et elle est devenu aveugle, a l'époque je savais même pas si elle aurait été capable de reconnaitre mon visage de toute façon. Bien sur j'lui ai demandé qui lui avait fait ça: Un rebelle, sa vit loin un rebelle, et j'avais pas son visage. Peine perdu. Hélina travaillais bien pour une aveugle, elle a eu un certains temps d'adaptation, mais elle parvenais a déposer une pix devant moi quand je lui jappais de le faire, et ça j'appreciait. Un soir, alors que j'étais dans un autre bar, j'ai entendu des gens parler en mal du Dark Art', que leur serveuse était aveugle et que le service était merdique. Je me suis faché, j'ai defendu La Timide. J'avais jamais fait ca avant, défendre quelqu'un. Wil peut se défendre tout seul après tout. Que m'arrive-t-il?
Lors d'une soirée, Elle devait retourné chez elle. J'sais pas pourquoi, mais j'ai tenu a la racompagnée. Se fut amusant, on a rigolé, je lui ai fait évité des obstacles, on a escaladé des montagnes de débris. J'avais du plaisir, comme jamais avant. Mais, toute bonne chose a une fin, en redescendant la montagne, j'suis tombé avec elle dans les bras, j'avais vu quesqu'il y avait en bas, un bout de fer tout rouillé, qui dépassait, et il approchait a grande vitesse. J'ai du me retourner et tomber de tout mon poid, et le sien, dessus. je saigne, je me relève avec difficulté et je fais passé sa sous le fait qu'elle était lourde. Elle était aveugle après tout, elle pouvait pas me voir souffrir avec un morceau de métal planté dans mon dos. J'aurais pu crevé, pour elle. Merde, j'ai jamais fait ça avant.
Arrivé chez elle, je lui demande si elle a de l'alcool et je me dirige vers la salle de bain. j'arrache le metal de dans mon dos et elle me crie qu'elle a du désinfectant. faut croire que, du sang, sa sens fort. Je me couche sur sa table et je lui demande de me recoudre ça et elle s'y execute. Ce fut long et pénible.. mais j'avais autre chose a pensé: Wil lui, il est heureux en amour, alors pourquoi moi j'serais pas amoureux aussi? De la même femme qui me recoud le dos? Elle me fait rigoler et j'ai pas envie dl'a tuée, alors pourquoi pas. En me relevant après son travail terminé je lui dit avec difficulté: M'ci. C'était le premier et surement le dernier ''merci'' que quelqu'un aura la chance d'entendre de ma putain de bouche. Après ça, il y a eu un silence. Ce devait être le moment opportun, je lui attrape la tête et je l'embrasse rapidement. Je me surprend moi-même. J'suis pas doué avec les mots mais la y'a des p'tains d'limites! Elle réagis mal, elle a un ptit ami. après un moment de malaise je me lève et je m'en vais. J'oublie vite ce passage de ma vie.
Maintenant elle n'est plus aveugle. J'entre dans le bar et elle est avec un mec, une sorte de noble, ou un truc du genre, poli et avec un balais dans le cul. je l'aime pas. J'essaie de parler a Hélina mais elle ne me regarde pas. j'prend une bière et je file reflechir dehors: j'devrais p'tetre être aimable? Ouais.. fait un effort Lyv. J'entre et elle cause d'un type qui fait du trouble, je lui demande qui et elle me répond a peine, en chassant la conversation du revers de la main. Je plisse les yeux et je lui dit:
- Tu savais que t'a vie étais en danger?
  • N-Non?
  • Faut croire que c'est pas de tes affaires.

Et j'ai chassé le sujet du revers de la main. Elle croyait que c'était une blague. Elle connaitra bientot le fond de mon humour.
Le type s'en va. Je me lève et je fais le tour du comptoir, passant doucement une main dessus.
-T'a perdu tes belles manière... a m'ignorer comme ça.
-Ha, P-Pardon, je discutais..
-Me faire taire du revers de la main? J'savais pas que t'étais devenu noble.

Elle baisse légèrement la tête, je lui fait surement du mal.
  • Je ne v-voulais p-pas vous offencez n-ni rien. J'en s-suis navré
  • T'oublie un truc, J'suis pas un gentil.

Je m'approche toujours d'elle, elle commence a comprendre,
-V-vous n'oserez pas.
  • Tu te souviens quand je t'ai dit que ta vie étais en danger?

La elle a compris, elle glisse de son tabouret et se recule, je commence a dégainer mon agri et elle saute l'autre coté du comptoir. Je la suis. Je suis entre elle et la sortie. je continu d'avancer. et elle de reculer.
-J'te préfèrais aveugle.
  • V-vous en avez p-profité d'ailleurs
  • J'suis pas une bonne personne

Pourquoi fallait qu'elle remène ça? je m'étais excusé et c'est mon corp qui avait agis sans m'le demander. elle veut que j'me sente mal ou quoi? C'était de ma faute si elle m'ignorait? Trop de questions, je grogne et je montre mes dents d'un coup sec pour chasser cette pensée de ma tête.
Elle fait des allez retour dans le bar, j'ai compris ce qu'elle veux, la zone digicodé, ou la sortie. Malheureusement quoi qu'elle fasse, y'a moi entre les deux. Et je me fatigue. jouer au chat et a la souris, sa deviens très ennuyant a la longue. Je saute agressivement sur elle, lui portant un coup d'agri qui l'emmène au sol. Elle tente d'attraper son communicateur mais je lui écrase la main avec mon pied, tandis que je pose mon agrimensor sur son sternum. J'oche négativement la tête
-Tsk tsk tsk
-A-a-arreter

Ce n'est plus de la timidité a ce stade. Ma seule amie, et seule fille en qui j'ai eu des émotions, est terrifiée
- A la prochaine Hélina.
Elle me regarde froidement tandis que je lève mon agri, se regard, il m'a atteint. je ne la croyais pas capable de faire ça. J'lui plante l'agrimensor dans le sternum et je la fixe dans les yeux tandis qu'elle me dit ces derniers mots:
-Tu va crevé
-Ouais.

Je tourne l'agrimensor a 90 degré, dans un bruit de craquement d'os et je le retire. Je la regarde, mais pas longtemps. J'suis incapable de la voir comme ça. Je sors vers un autre bar.
J'entre a la moule. j'nettoie mes affaires et je commande une pix. les yeux dans le vide. Je revois toujours ces yeux froids qui me fixe. Ai-je fait une erreur? Elle le méritait pas nécessairement. j'aurais pû juste lui foutre les jettons et arrêter. Mais non, J'suis qu'un connard de fils d'orc. Mais j'ai un coté humain, et il se fait ressentir. Pour la première fois de ma vie, je rescend des remors. Bon dieux de merde qu'est-ce que j'viens dfaire?
.. Oh et puis. Ça va passer.

Informations sur l'article

Bronson
29 Août 2013
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