EDC de Hellguapo

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JOURNAL D' HELLGUAPO
date: inconnue

Ami lector, bonyour. céci é lé journal incompléta dé ma vie, yé parle pas
tré bien la langue, ni ne l'écris. Aussi vou mé pardonéré lé error.

souvenir d'enfance:

oun rêve révient sans cesse. yé vois dé holocauste noucléar.
yé mé rapelle pas mé papa, mama. yé dé souvénir tré vague,
dé cozas extragnas. En vérité yé mé rapelle ma langue maternel, yé crois, caramba. mé pas grand choz d'autre.
Aussi yé vé passé à la chapitre souivant,
lé chapitre UNO.
yé soui arrivé ici, un beau your, que yavé 33 ans biologique.
yé né savé pas, comment yété arrivé dans cé monde, exactamenté.

yé pense, qué yé né soui pas vénu au monde natourellement.
pour essayé dé comprendre dé choz sour moi, yé dois vou cité dé long passage dé la histoire dé Dreadcast, qué voilà, à la pagina souivante.
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Centre de clounage
Lé passage souivant est oun citation dé la historia dé l'impérium, qué on peut trouvé dans tout lé bon changelog dé la région.
il faut considéré qu'il contient pét-être ouna parté importanté dé propaganda, mé peut-être pas.

CENTRE DE CLONAGE
"Sans doute la plus grande avancée technologique amenée par l'Imperium, le centre de clonage donne à chacun le droit d'exister à jamais. Comment ignorer la toute puissance de l'Empereur avec cela ?
Hauts Dirigeants Impériaux, nobles, citoyens mais aussi criminels ont le droit d'être reconçus à volonté. La raison à cela est simple : à chaque clonage, une nouvelle conscience est placée dans le corps du sujet.
Cela le rend-il vraiment différent de son prédécesseur ? Pas si sûr...

Le principe est simple : tout citoyen peut venir au centre et effectuer une sauvegarde de son patrimoine physique et intellectuel. L'opération est sans danger mais reste coûteuse. Lors de la mort du sujet,
un autre corps est fabriqué à partir de la dernière sauvegarde.
Le système fonctionne quelle que soit la nature et la localisation du décès. Cependant, des pertes de facultés physiques ou mentales peuvent être notifiées. Le processus de clonage, lui, reste entièrement à la charge de l'Imperium.

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En ce qui concerne la dépouille du défunt, une option peut être souscrite pour la conserver. Il s'agit de l'APM (Autotéléportation Post-Mortem). Cet abonnement enclenche sur la dépouille une décomposition moléculaire quelques secondes après l'arrêt du coeur. Cela permet bien sûr de connaître précisément les raisons du décès, mais aussi de récupérer les éventuels équipements entourant la dépouille (il va de soi que quelques secondes suffisent parfois à l'agresseur pour s'emparer d'un objet).

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Mainteant, amigo lector, il vient oun passagé dé la historia
dé lé zimpérium, qué elle est tré tré intéresanté, amigo.
citation dé livre historico, copillé à la lettre:

Les races

Motivés par le désir de créer des travailleurs et soldats plus adaptés aux taches qui leurs sont confiées, l'Imperium finança une campagne de recherches scientifiques basées sur le clonage. Les clones n'étant pas considérés comme des humains, ce n'était pas illégal.
Les premières tentatives menèrent à créer le Centre de Clonage Impérial, où l'on peut actuellement faire conserver quelques cellules ainsi qu'« enregistrer » son état physique actuel grâce à un procédé informatique complexe. Ces données sont ensuite traitées pour être téléchargeables dans un clone à la demande ou à la mort du client. Une fois le cerveau traité, la remise en l'état des muscles se fait par des implants, de très longues aiguilles électrifiées.
Une partie de ce savoir fut transmis aux hôpitaux, qui désiraient notamment cloner différents organes pour les opérations de chirurgie réparatrice ou esthétique. Mais ces découvertes, bien que d'utilité publique, ne satisfaisaient pas l'Imperium. Un militaire fut donc nommé pour diriger le projet, orientant les recherches vers la manipulation génétique.

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De nombreux essais virent le jour avant de trouver une méthode viable. Ils choisirent de modifier un adénovirus, lui donnant une autre ADN et l'injectèrent à un fétus cloné. De là débuta la création des premières « races nouvelles ».
Il y eu des races créées sur commande. L'Armée Impériale, par exemple, désirait des fantassins à faible coût de production : des espèces résistantes et fortes. Après de nombreux tâtonnements, l'étude donna jour aux Trolls, Orcs, Gnolls et Dragonnets. Quelques autres races issues survécurent, mais elles furent finalement détruites par l'armée, qui les jugeait inaptes de par leur intelligence trop limitée. De gros groupes miniers désiraient des travailleurs de petites tailles, capables de se glisser n'importe où : ainsi créa-t-on les nains et les gobelins.
D'autres apparurent par erreur : les elfes naquirent grâce à une étude sur l'allongement chromosomique. En étendant les chromatides avec du matériel non codant, la durée de vie pouvait être augmentée. Enfin, il y eut d'inévitables croisements raciaux. Les Scientifiques Impériaux déterminèrent ainsi que toutes les races étaient reproductibles avec l'homme, mais pas les unes avec les autres. Ainsi, le croisement d'un humain et d'un elfe donna la créature appelée Halfelin.
Après quelques années de chaos juridique, certaines des nouvelles races furent jugés suffisamment intelligentes et stables pour obtenir un statut plus digne, mais inférieur à celui de l'humain. Ces races sont : Elfe, Halfelin, Nain, Gnoll, Dragonnet, Troll,

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Kobold, Gobelin, Orc, Outrillien et Vautour.
Il faut noter le cas particuliers des Androides. Considérés par l'Imperium comme formant une race à part entière, ils sont tout de même peu homogènes. En effet, un humain avec un grand nombre de prothèses et d'implants sera considéré comme un Androïde, de la même façon qu'une machine contrôlée par une intelligence artificielle très avancée.
Toutefois, l'Imperium ne leur donna pas un statut égal à celui de l'être humain : ce dernier est toujours considéré comme une espèce supérieure car à l'origine de toutes les autres.
L'intégration de ces nouvelles races dans la société se fit rapidement : chaque individu se tourna vers ce pour quoi il était fait. Ainsi, les réputations liées à certaines espèces se développèrent vite : les Kobolds ont tendance à fouiller les poches de par leur grande agilité, les Orcs sont souvent très violents, etc.
Les recherches génétiques lancées par l'Imperium ne sont pas terminées. Des avancées sont régulièrement faites, il est même probable qu'il soit un jour possible de changer son code génétique dans les hôpitaux.
Le but de l'Imperium n'est pas le confort médical pour tous, ni de permettre à de riches citoyens d'accéder à une forme d'immortalité. L'objectif final est de trouver l'ADN parfait.

NOTE HELLGUAPO: yé attire votre attencion sour cé dernié point:

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L'obyectif final, dé lé impérium, séré dé trouvé lé ADN perfecto.
Et cé là, qué yé pense, yé entre en scène.
Il é probable qué yé né suis pas lé seul, dans Dreadcast, qui
souffre dé problème dé décontextoualisation, et dé grande défaillance mémoriel. yé pense, yé la intim conviction, qué moi, Hellguapo, et péut être d'autre personne dé lé zone rébel mais aussi impérial, qué yé souis, moi, malgré mon caractère humain indéniablé, lé résoultat dé oun experienza dans oun laboratoire zimpérialista, qui a mal tourné.

B) SOUVENIRS POST ARRIVEE SR; sujet: HELLGUAPO
yé né sé pas comment yé attéri ici, mé, tout cé qué yé mé rappél dé cé laboratoire, ou yété, cé qué yé mé souis réveillé dans oun cuve, et qué yé connaissé pas lé language dé gens qui mé parlé.
yé soui resté un temps long dans cé labo, pét-être un an? pét-être moins? yé dou mal à mé rendre compte, car lé laboratoire été dans oun sous terrain. Yé vivé comme dans oun rêve étrange. la loumière qui mé véné, été artificiel. Il été tré difficil dé sé rendre compte dé la notion temporel. yé eut lé temps d'apprendre la langue. cé gens awec qui yété, parlé la langue dé l'impérium, il parlé beaucoup dé latin aussi. cette langue étrangère qué moi yé parlé, personne lé compréné trés bien, parmi cé laborantinos. Ils disaient qué cété pas normal yé mé souvienne dé ça. quand il ont compris qué yé commencé à comprendre cé qu'il sé disait entre eux,

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apré ils né parlé plous dévant moi. Il sé caché.
Un your, yé sourpris oune conversation awec lé militaire qu��
dirigé lé laboratoire, yé compris.
il été question dé mé faire disparaitre.
yé compris qué lé vent tourné pour moi, qué leur expérience n'avé pas tourné comme il fallait.
lé lendémain, yé avé out lé temps dé réfléchir, et préparé.
yé mé souis échappé.

ensouite, yé vécu dans dé ruinnes, mangé dé ratas, (variété dé écoureuil sauvage, pas dé tapas né pas confondre) bu dé l'eau qui sorté dé canalisation percé, ou qué moi yé aidé à percé.

yé sourvécou comme ça. Yé entendou parlé ensouite dé lé rébel,
et yé réjoint lé sector rébeldé.
cé comme ça mon histoire commence, à Dreadcast.
Hell Guapo
tourne la page

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Chapitre II: VRAIS souvénirs d'HELL GUAPO

Arrivée en zona Rébel date: indéfini

ma mémoire été donc awec plein dé trous. comme oun gruyère.
yé soui arrivé au centre d'arrivée caramba cé original ça. , et yé cherché dou boulot.
yé trouvé mon prémier job à Rebel Steel. et yé commencé à bossé comme technico. yé vite appris sour lé tas, comment réparé lé machine pourri dou sector rébel.
lé boss été content dé moi, et mé donné oun promotion.
mé, pas confiance pour mé donné lé code dou digi code.
à la época, yé né savé pas encore comment craqué oun digi.
yé n'avé pas dé logément.
et yé voulé dou pognon pour mé achété oun chapeau dé cowboy. alors yé fésé lé 3/8
à la ousine, à mi temps, 12h par jour.
lé reste dou temps yé dormé sour la machine, prêt à réprendre
lé travajo.
Et puis, oun jour qué il fésé nouit, yé mé voit débarqué, enfin,
yé né voit pas car yé dormait, alors qué yé véné dé obténir mon grade dé deuxième pompe, (niv2) youvre lé yeux alors qué
yé mé fé transpercé par oun agri, ou quélqué choz comme ça.
Mierda, ni oun, ni dos, yété MUERTO. mort. canné, déssoudé,
réfroidi comme oun steack d'écoureil croudo, cru.
Mierda de mierda... yé mé réveille encore dans oun couve.

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bon. yavé tout paumé dans la catastrophe dé ma muerté.
mon pistola, pistolé automatico à barilet, oun révolver quoi.
La marque yé sé plous. yé m'en été yamé servi.
et perdou mé patin à roulettas. mierda dé mierda. et yé mé réveille dé la mort, awec la cabeza como oun freezer.
caramba, gueule dé bois carabiné.
Alors, yé rétourne à rébel steel, yavé même perdou lé travail,
salaire, tout.
Mierda. cété donc ça. yé avé oublié dé prendre oun bonne assourance. qué mundo dé mierda. mé bon au moins yété dé nouveau vivant.
Alors yé rétourne a lé centre dé l'emploi, répostoule au boulot,
mé rémet au boulot, et là, yé broyait dou noir, mierda pourquoi
on m'avé bouté, moi qui avé pas fé dé mal à oun mouche?
moi qui étét enfant dé coeur quand yété pétit?
Mysterio. on mé raconte qué cé oun .... sa raste? non, andraste.
qui m'a bouté. cé qui celle là? même pas yé la conozco.
conné pas. pourquoi elle mé boute? on mé dit cé oun zimpérialista. si. yavé entendou parlé dé ça. et yé vu.
Caramba.
Bon, alors moi yé mé rémet au boulot, et ... deux your apré,
yé mé réfé butter, alors qué yé fésé mé course al hypermarché
dou coin! yé youste lé temps dé dire né tiré pas, né tiré pas,
et voilà yé souis par terre, et voilà qué la Andraste m'achève
encore! CARAMBA!
tourner la page

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Histoire dé ma postoulation et débout dé carrière dé militaire

Cette fois, yen avé marre, dé sé faire troué la peau pour un oui ou pour un non.
yé mé rend à nouveau, àl CIPE.
Et yé poustoule à oun empléo dé militar.
Oun trouc mé avé mit la pouce à l'oreille, avant dé prendre
cét décision. yé la intim conviction, qué dans ma vie dé avant,
qué yé mé rapelle pas, yé été militar, ou quélqué choz comme ça. Dé indice lé dise, ma façon dé marché la tête haute, la façon dé marché ét dé ouser la talonette dé la sémel dé lé chaussoure dé façon militar, lé talon gauche, il f�� yamé oun pli, sour la chaussoure. et aussi, ouna conaissance instinctivo dé certaine armas. Yété militar, pét-être révoloucionario.

Bon passon cé détail. yé sors dou CIPE, et yé mé carapate directo àl centro militar dé la zona rébelde. yarrive labàs, et yé raconte cé qui m'é arrivé. et on mé dit qu'il y a out oun massacre en ville. dé dizainne, centainne pét-être dé mort.
Lé impé, zimpérialistas, comment yé lé appelle.
Ils ont désoudé todo el mundo, sans distinction, qué cé soit militar, ou pas. On mé montre lé sas. on mé dit: va pas la dédans, cé trrré trrrré dangéreux, caramba hombré! Bon? yécoute lé ordre. et là yé décidé qu'il fallait défender la zona rébel, contra cé attaque dé zimpérialistas. Comment, nous, rébeldes, qui avont choisi la indépendencia, pouvon nous dévélopper lé sector, si on sé fé déssoudé tout lé temps?

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Livre inachevé...