EDC de 57416
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La terre sombre dans l'onde, le soleil s'éclipse;
Les astre se suicident en de dociles ellipses, tout brûle et tout s'évase, dans l'étrange atmosphère. Le ciel prend la couleur des roses de l'hivers.
C'est une ville, perdu au frontière de l'invisible, mangé d'un horizon de smog, d'immeuble et de ruines.
Un dernier rallye avant le vide, et après, plus rien.
De la glace, du vent. Des kilomètre de solitude séparent le village de la dernière ébauche de route; S'il y'a eu un nom, on ne le connait plus; on y parvient que par hasard. Gommé de toutes les carte par le passage du temps et le smog qui passe, il s’étant, long jardin de pierre grises, à l'entrée d'une petite vallée d'inexistants, de laisser pour comptes.
Un vieux fusil...Un métier à tisser...Ici, aucunes technologies ne survit. Ici, ni les t-cast ni les messages ne parviennent. Tout les jours, les errants, les oubliés, vont se perdre dans les ruelles, dans les dédales de ruines. Tout les jours, ils reviennent.
Et parfois, une habitation se libère.
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C'est ce que tu aura laisser. Ta charité, ton abnégation.
Tu sera parti, parti en fumée, dans cette fumée sombre. Tes cheveux gris, ta peau calcinée, noire. De cette époque, il ne reste que des cendres.
De cette époque où nulle ne pouvais renaître, de cette époque où tu t'es sacrifié. Encore les cendres.
Et tu offrais un monde, où personnes ne meurt, où toutes âmes, qu'elle soit mauvaise ou saine, foulera le sol de cette terre morte, tant qu'elles le désirent, soulevant sur leurs passages, les cendres que tu nous aura laissé.
Tu sera parti, parti en fumée, dans cette fumée sombre. Tes cheveux gris, ta peau calcinée, noire. De cette époque, il ne reste que des cendres.
De cette époque où nulle ne pouvais renaître, de cette époque où tu t'es sacrifié. Encore les cendres.
Et tu offrais un monde, où personnes ne meurt, où toutes âmes, qu'elle soit mauvaise ou saine, foulera le sol de cette terre morte, tant qu'elles le désirent, soulevant sur leurs passages, les cendres que tu nous aura laissé.
Et moi, tu ne m'aura transmis que des âmes as sauver. Tu ne
m'aura octroyé, que l'amour du malheurs. Tu n'aura fais de moi, que la martyr de leurs pleurs.
m'aura octroyé, que l'amour du malheurs. Tu n'aura fais de moi, que la martyr de leurs pleurs.
Informations sur l'article
Éphéméride
15 Octobre 2016
658√
9☆
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◊ Commentaires
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Lyxus~60811 (80☆) Le 15 Octobre 2016
C'est toujours aussi beau et prenant.. Très triste aussi. *
Le jour où elle va disparaitre elle me manquera la rouquine.