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" Windwall "
Des litres et des litres, le smog est bas derrière les vitres, une Comptine résonne dans la pièce c'est ainsi que son regard vide se pose sur la ville. Les bras ballants, parait-il qu'il faut aller de l'avant. Figé est le temps, plus rien ne se passe, tout se brise et se casse .. C'est l'Impasse.
Quelques pas pour se vautrer sur le canapé, l'allure désinvolte, on fait mine de bien aller, mais ailleurs.. Tout capote.
Crapule que tu es existence, à nous bercer de faux sens et de mauvaises directions, Il n'y a plus d'objections à faire, plus rien à défaire.
Quelques pas pour se vautrer sur le canapé, l'allure désinvolte, on fait mine de bien aller, mais ailleurs.. Tout capote.
Crapule que tu es existence, à nous bercer de faux sens et de mauvaises directions, Il n'y a plus d'objections à faire, plus rien à défaire.
Des pensées et souvenirs qui se font de plus en plus venir, ressentir. Jusqu'à probablement en vomir. Pire. Faire naître le doute, en conflit avec sois-même telle une joute, au plus profond de sois la bataille fait rage, l'odeur de poudre et de sang emplit les parages.
Je bois, je pleure. Je tiens en silence mes peurs et mes douleurs. Il n'y a plus de couleurs, juste des contrastes.. des nuances, des balafres.
Je vagabonde et déambule les nuits dans les rues, telle une somnambule, je marche, je vais. Il fait froid, il fait sombre, que de simples sensations en pensant à ses propres lois, dans les ombres.
Je bois, je pleure. Je tiens en silence mes peurs et mes douleurs. Il n'y a plus de couleurs, juste des contrastes.. des nuances, des balafres.
Je vagabonde et déambule les nuits dans les rues, telle une somnambule, je marche, je vais. Il fait froid, il fait sombre, que de simples sensations en pensant à ses propres lois, dans les ombres.
Je finis par trouver le chemin de la maison, laissant celui de la raison au fond de la bouteille de skiwi. Je m'approche du lit. D'un simple geste, l'arme est dégainée, le canon scié près de son visage, le miens remplit de sombres présages. J'inspire profondément, longuement puis la détente est pressée. Un simple bruit si commun me fait trembler au plus profond de mon être, de nos âmes. Je me sens perforée de milles et une lames.
Je retourne vagabonder dans les rues, plus alcoolisée que jamais, je traîne le pas. Les ombres me suivent, m'interpellent, leur répondant de me laisser en paix.
Je retourne vagabonder dans les rues, plus alcoolisée que jamais, je traîne le pas. Les ombres me suivent, m'interpellent, leur répondant de me laisser en paix.
Je croise quelques lueurs, celles des lampadaires m'aveuglent, me font mal. C'est la tête vide que je termine ma bouteille, le teint pâle. M'enfonçant peu à peu dans quelques rues mal famées, mal éclairées que je vais finir ma nuit, blessée, mon regard s’efface, l'alcool ou cette bousculade de sentiments, là seule chose que je sais c'est sans doute que je trépasse. Où se retrouver, seule, dans ce froid hivernal alors que les goûtes rougeâtres senteur acier se propage peu à peu sur mon sentier, le cœur et la tête comme poings liés. Quoi qu'il en soit ..
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Informations sur l'article
Cheveux dorés
19 Août 2015
1155√
14☆
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◊ Commentaires
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Flavie~46733 (0☆) Le 19 Août 2015
même le néant peut se révéler d'une infinie beauté.
Le vent change parfois de direction... -
Hellguapo (235☆) Le 23 Août 2015
Qué dé poésie... Tou es mure pour la rénaissance rébelle, Aleïda! jéhéhéhé! -
Pixelle (204☆) Le 30 Octobre 2015
Pour toujours ...♥