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Paria facere cum vita

5/241.3 cycle 20.
C'était la prédominance, j'aurais pu voir plus avec elle, mais c'était déjà la fin depuis bien des heures. Ce portrait féminin sous cette silhouette remarquable qu'elle offrait chaque fois qu'elle se mettait en colère contre moi, que ce soit par communicateur ou par simple face à face. Je ne voyais que ça, la beauté de cette femme que j'ai rencontré il y a de ça 9 ans , bien plus belle nue sous une autre forme euh pardon sous notre forme coquine et d'une nature survivante à toutes épreuves. C'est l'aura érotique , une sacré dose de vie dans un corps frais et innocent, innocent mais coupable dans la parole, dit elle lorsqu'elle pose le regard sur toi. Là t'es cuit mec..
Grisha semblait détendu avec Kéra à la grisaille , assit confortablement sur le sofa rouge qu'il appréciait tant, cette entreprise qui par fait ne servait à rien. Kéra était assise près de lui, ils parlaient ensemble en tout ce qui concernait ses journées passées à Dreadcast mais aussi parler des personnes qu'elle a pu convoiter, Grisha l'écoutait d'une oreille comme de l'autre, mais sa conscience pensait définitivement à Pixelle qui lui manquait profondément.
J'avais privilégié la pédagogie brève avec elle, dans un sentiment de haine comme de honte ou encorne de fierté et d'amour. Tout ça mélangé dans la fusion de mes sentiments, jaillissait dans mon cœur profond, j'avais déjà profané mon sérieux, cet amour brut qui me déchirait et qui me tuait jours après jours..Cette expression dense qui dansait dans nos coeurs animait l'espoir qu'un jour je puisse être l'amant parfait de Pixelle, sauf que je suis l'une des cartes de trèfle sous la masse de rois qui la convoite. C'était ce que j'appelais et ce qu'elle imaginait la progression interne du désespoir à l'espoir. Dans notre champs lexical apparaît comme un jargon péjoratif, en gros c'était cui cui.
J'ai pourtant célébré avec elle nos aventures sous nos ébats qui étaient presque rares, et peu fréquent, comme si ça se méritait. Cela faisait quatorze jours que j'étais sorti de cryogénisation et j'avoue l'avoir vu deux fois. C'était ce que j'avais provoqué cette partie close , impossible d'entrer dans ce serveur dans cet hall de vie. J'étais comme qui dirait transparent à tout cela et surtout exclu finalement.
Grisha? Tu dors?
Non..Non pardonne moi , et donc raconte moi un peu ce que tu prévois de faire plus tard..hm?
C'était notre thème, elle pensait que mon silence l'excluait de la salle, que j'étais perpétuellement jugé à huis clos, elle faisait partie de ma vie, mais je n'ai jamais pu admettre qu'elle pouvait me frapper en plus profond de moi.. J'étais à honnir.
Cycle 22
Grisha était donc paisiblement en train de lire l'aitl quand soudain Kéra prise d'une attention silencieuse se pressa dans une panique incompréhensible, dans un doute d'un danger.
Grisha c'est quoi ce bruit?
Il regardant son Aitl répondant poliment et interrogé quel bruit?
Elle se leva, glissant de la salle de repos à l'allée de la porte , Grisha la suivait du regard puis se hâta de la rejoindre, oscille lentement sous le bruit de pas , crépitement du bois, cela va de soit que l'on s'attaquait à la Grisaille.
Bon Kéra, il faut que tu partes, cela va mal finit.
Non je veux rester avec toi!

Son choix avait été prit et Grisha ne semblait avoir aucune autorité dessus, il s'approcha donc de la porte colla son ouïe à celle ci analysant du mieux qu'il pouvait les individus parler entre eux, dans un gouffre incompréhensible.
C'est qui? Dis-je.
Imprérator.
La réponse fut donnée, certes plaisante mais cachant une rage et un agacement dans sa forme de réponse. Dans le doute de la seconde Grisha aurait pu y croire, mais se tourna vers Kéra lui faisant signe de se mettre à couvert car oui, impérator a bien et bien fait sauter la porter propulsant des débris de murs et de la fumée se dégageait de l'endroit. Grisha s'était au préalable déjà éloigné poussant Kéra hors de ce champs dangereux. Une fumée épaisse , grasse et toxique se dégagea du corridor tel un torrent de vent, recouvrant la pièce d'une épaisse fumée fumigène. Grisha n'avait aucune vue sur sa Kéra , celle ci c'était réfugiait dans une autre pièce à l’abri du danger, le vautour quant à lui chargea son flingue plasma puis se colla au pur louchant curieusement sur le corridor. A travers la fumée épaisse se déplaçait des corps vétu d'armure scintillante d'un bleu impérial. Grisha a cru un instant que les forces impérialistes avait fait sauter sa porte, pas le temps de rire il se hissa dans le champs d'action du couloir tirant quelques laser visant les corps qui s'avançaient aveuglément dans cette grotte. La réaction fut en chaine, ils répliquèrent par des tirs d'armes plus lourdes et plus destructrices endommageant la salle principale de la grisaille, là ou il était caché.
Tirs..
Les tirs n'ont pas duré très longtemps , moins d'une minute l'équipe entra rapidement maitrisa Grisha au sol et Kéra, qu furent tout deux mis en captivité sous la surveillance de ceux ci.
L'équipe d'intervention passa son temps qui lui fut précieux à offrir au vautour un stage de punition. Des ordres qui se répercutèrent pas des gestes et des douleurs à en hurler la mort , comme ceux qui pouvaient faire comprendre au vautour que c'était la fin. L'entretien ne fut pas fructueux et endommagea le vautour sur 85 % de ses capacités.
La cuisse déchirée, le genou brulé puis fracturé arrosé au skiwi, la cuisse droite faut belle et bien amochée l 'artère touchée , et le visage abimé par le coups ainsi que quelques côtes cassées. Kéra avait était également blessée, au niveau de sa peau , l'un des hommes lui avait arraché de la peau pour la punir, une punition non méritée.
Un départ qui laissa Grisha pour une longue agonie de sentir son corps et son sang jouer de lui, quant à Kéra qui paniquait à ses côtés , des messages d'aides, mais une aide infortune et à en payer le prix du temps..
cycle 23

Les lianes d'hémoglobine me rendent mal à l'aise, j'ai mal à la cuisse, le sang coule, j'ai beau appuyer je sang cette grasse liqueur sanguinaire couler en douceur fouettant le sol dans la plus grande des répugnances, de se sentir là encore vivant malgré ces blessures. Je n'en peux plus, je ne fais pas ça à ceux qui l'ont mérité.. J'avais l'effet de correspondance , c'était la perfection et j'étais parfait avec ceux qui m'était compatible.. C'est ainsi que le sablier s'est mis en route, j'y comprends rien mais en tout cas les emmerdes elles s'ensuivent.

Monsieur Thomas rentre dans la pièce où se présente le vautour, déjà là et bien présent la discussion est plutôt sèche , la présence est la même sous une autre forme mais pour la même raison. Kéra est déjà partie chercher de l'aide, entre temps laissant le vautour et le sang faire mélange et bon marché. Des choses ont était dites que Grisha ne semblait pas y croire, qu'il ne concevait pas la possibilité, son principe ayant été bafoué , n'y croit pas et tient tête à l'homme qui s'est présenté à lui de façon digne et honnête. L'apparition de Pixelle au groupe fut certainement fatale, un petit cours d'humanisme sur le jugement, la réaction de l'homme étonna le vautour , sa prise en responsabilité , l'échec qui avait sonné à ses yeux.
Pixelle se tourna vers Grisha les mots étaient déjà connu sans être encore crées.
Echec.. Kéra! Pourquoi? Tu déconnes! Je prends tout! J'ai tout fais! Assumée!
Non! Tikran! Non!!

C'était ce que j'attendais d'elle, qu'elle vienne enfin m'engueuler, que je puisse avoir une nouvelle raison de me faire chérir par elle.. Je ne l'a vois plus bien mais qu'importe...J..Ô Pixelle..
Grisha perdit connaissance connaissance face aux deux personnes présentes à ce moment, jusqu'à que cette perte l'achève.
Mon apparition au smog est le prix de la disparition du monde où la débauche et l'amour entrainent toutes les richesses.

Signature matricielle..

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19 Mars 2014
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