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PORTRAIT d'hier a aujourd'hui

Que cherche t-on dans le regard de l'autre, une profonde intimité, entrer discrètement au profond de son âme?
a lire sur les lèvres de l'autre , boire ses paroles , se délecter de son intelligence ....si vous ne trouvez pas de fusion entre intellectuelle où émotionnelle ...que vous ne vibrez pas.....faites lui partager vos hobbies .Loreleii étudiante en médecine a effectuée divers travaux aux svt , elle effectua une ou deux années de travaux cfcdc, avant de tomber malade et de se décider a apprendre la médecine. Après quelques années de garde au c.i.e , elle repris la direction de celui-ci , ainsi commença sa vie qu'elle consacra au service de l'empereur , avec un pied dans le secteur du nexus là où elle retrouvait Do au nawak bar

Aujourd'hui assurée d'une expérience dans la direction d'entreprises diverses , elle reste d'une féminité incontestable , tout en gardant son flegme naturelle qui lui vas si bien , dans son tee-shirt serré près du corps , son jean moulant basse qui reposait sur ses hanches , elle arbore un sourire et une gaîté dont elle ne souhaite pas ce départir., .
Ce-ci est un regard sur moi...puis-je vous déshabiller des yeux ,...j'aimerais vous connaitre en toute amitié !!....
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[i]..et entama sa lecture

Dans le Calme........
L'image m'a toujours paru être un vecteur privilégié de l'émotion et le son ou l'écrit celui de l'intelligence. Quand l'un rend hommage à l'autre dans une fusion intime réussie, le Nirvana n'est pas loin... surtout si l'image devient un poème et le poème un jaillissement d'images.
Les deux auteurs ont ici choisi l'eau comme contexte, eau plutôt froide, chargée de mystère, voire d'illusion et dont l'écoulement est accompagné par celui de l'interrogation que porte le poète sur son être. Un robinet fermé ? Le poète bouillonne, mais ne peut que se taire. Et quand la pluie laisse sur la dalle son miroir, le poète s'y reflète et reprend vie.
Il me semble qu'il y a une très grande cohérence d'intention, d'interrogation sur soi et sur sa place ici et maintenant, qui s'exprime dans les textes. Et aussi beaucoup de reconnaissance sereine du bonheur de vivre, en dépit d'une quête, violente parfois, vers un au-delà des bonheurs du corps et de l'esprit, un "plus être" dont l'attente entre en conflit avec le "doux accomplissement" à portée de sagesse humaine. Se contenter du "rien de trop" ou banqueter avec les dieux ?
Je ressens, en revanche, une philosophie plus matérielle dans la recherche d'harmonie, directe et accessible, que propose le photographe. Une jouissance palpable de la richesse du monde, un accord intime avec celui-ci et, osons le dire, une sorte de reconnaissance d'être là. L'image, souvent superbe, conserve, bien entendu, son pouvoir évocateur d'émotions, mais on sait bien qu'il ne se réalise qu'à travers celui qui regarde, sa culture, son passé sa mémoire. La beauté est, dit-on, dans l'oeil de celui qui la voit.
Un beau livre qui peut se lire et se relire et révèle toujours quelque chose de nouveau.
De Philippe Brizon et jacqueline Warner

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Passé
06 Mars 2013
1452√  3 0

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