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EDC de 60140

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Comment décrire la décrépie ? En soi, on ressent sa présence avant de l'appréhender pleinement. Le point de l'hygiène semble temporairement amélioré : l'odeur est presque... Propre, relativement, bien que son corps demeure assez crasseux. A cause de ses mimiques, ensuite ; car elle semble dans une forme de spectacle permanent, où se mélangent jeux de silhouettes, vie de marionnettes, et attitudes aristocratiques au point de friser le grotesque.
C'est une amoureuse des mots, des arts et de la poésie, avec une qualité des plus variables ; vous vous en rendrez compte bien assez vite. Sans aucun doute, elle a également un côté mystique, bien qu'il soit difficile par moments de voir si c'est une réalité, ou un pan de spectacle.
Elle semble la plupart du temps couverte intégralement de vêtements amples, en partie en loque, semblable à une prêtresse pouilleuse perdue parmi les déchets. Tout au plus peut-on constater une absence de queue et une tignasse de propreté variable qui dissimule usuellement l'oeil gauche, cybernétique.
Si par un hasard quelconque, il vous arrive de la voir plus ou moins dénudée, il vous sera libre d'observer un corps glabre, malingre et pâle, maladif, abîmé et scarifié par endroits. En termes de rondeurs féminine, la génétique n'a guère été généreuse, et si son genre ne fait aucun doute, il serait moqueur de la qualifier de "plantureuse".
De ses gestuelles et de diverses précautions, vous pourrez constater qu'elle évite la plupart du temps toute forme de peau à peau, tout en cherchant le contact en outrîlienne assoiffée de chaleur. Chose relativement atypique à Dreadcast, elle évite également toute forme d'alcoolisation.
Les marionnettes à sa ceinture, Cocop le rat et Somnambule l'hermatodonte, semblent faire partie intégrante de sa vie. Elle nourrit les animaux morts, converse de temps à autre avec - de nouveau, il est difficile, ici, de classer ce qu'elle joue et ce qu'elle considère comme vrai. Mais la frontière entre les deux semble décidément mince.

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