EDC de Sylène
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Cacher
Penser à soi
Elle rangeait soigneusement des bocaux sur une étagère, sa collection était encore petite mais elle espérait avoir tout les éléments possible un jour.
Sa nouvelle chambre lui plaisait assez, ce n'était pas son ancien appartement mais sa suffirait pour le moment, le temps de recomposer son ancienne tanière.
Sa nouvelle chambre lui plaisait assez, ce n'était pas son ancien appartement mais sa suffirait pour le moment, le temps de recomposer son ancienne tanière.
Elle déboutonnait sa chemise avec douceur pour ne pas l'abimer, la pliait soigneusement pour la ranger dans son sac. L'outrilienne jetait négligemment ses bottes sur le sol.
Retirer son eye était un peu plus délicat, elle devait décrocher les agrafes au dessus de sa queue, c'était un peu le même système qu'un soutif mais pour appendice caudale, faire un simple trou dans le tissu ne suffisait pas.
Elle fini par y parvenir et le laissait glisser sur le sol, tendit qu'elle enfilait un short muni du même système et un débardeur blanc. Il était un peu serrer mais c'était une tenue qui lui permettait de se détendre. Sylène se laissait tomber dans son lit, se blottissant dans les draps propres.
Retirer son eye était un peu plus délicat, elle devait décrocher les agrafes au dessus de sa queue, c'était un peu le même système qu'un soutif mais pour appendice caudale, faire un simple trou dans le tissu ne suffisait pas.
Elle fini par y parvenir et le laissait glisser sur le sol, tendit qu'elle enfilait un short muni du même système et un débardeur blanc. Il était un peu serrer mais c'était une tenue qui lui permettait de se détendre. Sylène se laissait tomber dans son lit, se blottissant dans les draps propres.
Elle se redressait au bout d'un moment pour observer ses courbes, sa dernière mue lui avait laissé les écailles lisses, fini les plaques de cuirassé et bonjour la douceur d'une peau de serpent.
L'outrilienne fit la moue, entre la cryogénie et le sommeil, elle n'avait pas fait beaucoup d'exercice, ça commençait à se sentir dans ses courbes et même si elle avait eu besoin de se soigner récemment, ça ne suffisait pas, un peu de sport ne lui ferait pas de mal.
Soupirant, elle le laisser retomber sur le matelas, quelle pression elle se mettait en se moment, peut-être qu'elle continuait de se mettre la pression à la place de son père et rien qu'en y pensant, elle sentait les regrets et les remords revenir, tout se qui était arrivé était sa faute.
Elle aurait du rester une enfant sage plutôt que d'essayer de se rebeller à chaque fois, essayer de nouer des liens avec sa sœur, être présente pour lui mais elle avait camper sur ses positions comme une enfant qui refuse d'admettre ses tords, mais d'un autre côté, son père était pareil, têtu au delà du raisonnable.
L'outrilienne fit la moue, entre la cryogénie et le sommeil, elle n'avait pas fait beaucoup d'exercice, ça commençait à se sentir dans ses courbes et même si elle avait eu besoin de se soigner récemment, ça ne suffisait pas, un peu de sport ne lui ferait pas de mal.
Soupirant, elle le laisser retomber sur le matelas, quelle pression elle se mettait en se moment, peut-être qu'elle continuait de se mettre la pression à la place de son père et rien qu'en y pensant, elle sentait les regrets et les remords revenir, tout se qui était arrivé était sa faute.
Elle aurait du rester une enfant sage plutôt que d'essayer de se rebeller à chaque fois, essayer de nouer des liens avec sa sœur, être présente pour lui mais elle avait camper sur ses positions comme une enfant qui refuse d'admettre ses tords, mais d'un autre côté, son père était pareil, têtu au delà du raisonnable.
Elle chassait ses pensées de son esprit, le temps était au futur, entre les mariages et le reste qui se profilaient à l'horizon, il n'y avait pas lieu à la déprime.
Et puis non, elle avait envie d'être de mauvaise foi, personne ne faisait attention à elle, pourtant elle ne se sentait pas laide ni grosse ou autres, alors pourquoi les hommes ne la regardait jamais. Les femmes de sa famille avait un succès fous, elle était la seule exception pourtant ses écailles étaient aussi chaude et lisse qu'une peau humaine, elle n'était pas trop grande pour sa race.
L'outrilienne serrait sa queue dans ses bras, ce n'était que des prétextes, elle voulait juste une source de chaleur contre la quelle se blottir quand le smog devenait trop épais et lorsque la pluie se faisait violence contre les fenêtres.
Et puis non, elle avait envie d'être de mauvaise foi, personne ne faisait attention à elle, pourtant elle ne se sentait pas laide ni grosse ou autres, alors pourquoi les hommes ne la regardait jamais. Les femmes de sa famille avait un succès fous, elle était la seule exception pourtant ses écailles étaient aussi chaude et lisse qu'une peau humaine, elle n'était pas trop grande pour sa race.
L'outrilienne serrait sa queue dans ses bras, ce n'était que des prétextes, elle voulait juste une source de chaleur contre la quelle se blottir quand le smog devenait trop épais et lorsque la pluie se faisait violence contre les fenêtres.
Elle fermait les yeux et souriait doucement, même si elle avait froid, il y aurait toujours ses mots qui réchaufferait son cœur.
Hé bien... Je peut toujours essayer !